« "Je vais vous faire une confidence, le blog de Goux n'est pas fait pour les bisounours qui voudraient jeter leur gourme."A lire les mots "bite", "salope", "branlette", "sperme" et "foutre" tous les deux mots ici, ça a l'air surtout fait pour les vieux impuissants en manque de cacheton bleu.Encore une fois, vous faites semblant de ne pas comprendre que le débat n'est pas Renaud Camus.Et il y a une frontière entre le monde des bisounours et le monde des ordureries.50 messages (je déduis les messages intelligents) pour dégueuler ça fait beaucoup. Une chose est sure, vous donnez des leçons d'éducation via vos idées dégueulasses sur la pseudo-déliquescence du monde mais vous n'en avez que très peu vous-même. Vous êtes des idiots doublés de mal appris. La virtualité vous donne le courage que la réalité ne vous offre pas. Quant à la bienpensance, ce miracle qui donne la parole aux imbéciles, permettez-moi de rire. Vous trouvez honnête de véhiculer des idées racistes (je parle de vous là, pas de votre écrivain madone, quoi que, le site de l'in-nocence contient aussi ses cadavres), des insultes envers trisomiques, enfants, tout ce qui est différent de vous.Mais vous vous trompez, c'est juste de la misère intellectuelle et de la connerie.Allez donc vous faire foutre, ça vous fera du bien ! quant aux hommes, il me semble également qu'un système d'enlargement existe si vous souhaitez guérir vos problèmes de virilité. »
Voilà ce qu'il nous écrit, le charmant Dorham. C'est un garçon qui pense être écrivain. Il n'est du reste pas impossible qu'il le soit, on a vu des choses plus surprenantes. Soudain, tout de même, il perd son calme. Il balance des gros mots (on le sent excité), il dit : "bite", "caca", "raciste". Des vrais gros mots, donc.
Il y a trois jours, M. Dorham a cru devoir pondre un interminable texte sur... sur... sur LE RACISME, mais oui, mais oui, forcément ! Il s'y montre d'une sottise (attendez, je vous le mets en lien... Voilà...) inattendue, mais solide. J'ai évidemment failli répondre (puisque ce petit poulet stupide était fait pour que je sorte du bois), et puis, finalement, non.
M. Dorham, en plus, parce qu'il passe la moitié de ses journées à torcher ses mômes, n'aime pas beaucoup que l'on ait des avis différents des siens concernant les enfants (ni sur le reste, d'ailleurs). J'aimerais quand même vivre assez vieux pour savoir comment ses rejetons jugeront le monde que lui et sa cohorte de crétins vigilants vont léguer à cette génération. Heureusement pour eux, ils seront morts et n'en sauront rien.
Voilà ce qu'il nous écrit, le charmant Dorham. C'est un garçon qui pense être écrivain. Il n'est du reste pas impossible qu'il le soit, on a vu des choses plus surprenantes. Soudain, tout de même, il perd son calme. Il balance des gros mots (on le sent excité), il dit : "bite", "caca", "raciste". Des vrais gros mots, donc.
Il y a trois jours, M. Dorham a cru devoir pondre un interminable texte sur... sur... sur LE RACISME, mais oui, mais oui, forcément ! Il s'y montre d'une sottise (attendez, je vous le mets en lien... Voilà...) inattendue, mais solide. J'ai évidemment failli répondre (puisque ce petit poulet stupide était fait pour que je sorte du bois), et puis, finalement, non.
M. Dorham, en plus, parce qu'il passe la moitié de ses journées à torcher ses mômes, n'aime pas beaucoup que l'on ait des avis différents des siens concernant les enfants (ni sur le reste, d'ailleurs). J'aimerais quand même vivre assez vieux pour savoir comment ses rejetons jugeront le monde que lui et sa cohorte de crétins vigilants vont léguer à cette génération. Heureusement pour eux, ils seront morts et n'en sauront rien.
Et quoi ? Je réponds qu'à votre âge, vous passez vos journées à sucrer les fraises devant la télé ?
RépondreSupprimerEt vous parlez de puérilité ?
Le portrait que vous faites...m'enfin. Me fait même rire.
La vérité, c'est que je connais vos cordes sensibles comme si je les avait tissées. Mais j'ai davantage d'élégance et comme vous manquez en plus ridiculement votre cible, je laisse mon tour à un autre.
En tant que non-vigilants, je me "barre" et vous laisse entre bonne compagnie. Rassurez-vous ! Finalement soulagé de ne pas m'être trompé.
Vous êtes incontestablement le seigneur de ce château...
RépondreSupprimer(Au fait, attaquer les gens sur leur âge, ça ne fait pas partie de ce "racisme" qui vous fait si peur ?)
"Je vous laisse entre bonne compagnie" : apprenez donc à parler français, cela vous occupera.
Et je comprends votre soulagement.
Didier,
RépondreSupprimerVous n'en avez pas marre de tout casser ? Vous voulez vraiment que l'on vous laisse ?
Je me souviens de l'admiration que vous aviez confessé éprouver pour Dorham lorsque nous avions dîné ensemble... Alors ? Elle a disparu ? Vous vous êtes lassé ?
Je suis perplexe ?
Est-ce que tout cela vous apporte une quelconque forme de joie, de satisfaction ? Est-ce que vous préférez vraiment à notre compagnie de pinailleurs celle de votre cour habituelle ?
Vous êtes de mauvaise foi et mesquin : c'est vous qui avez traité plusieurs fois Dorham comme un gamin, logique qu'il vous ramène à votre grand âge...
Au lieu de parler de la sottise et de la stupidité de ceux qui font l'effort de partager leur réflexion sur certains sujets sensibles, éclairez donc notre lanterne. Répondez mais vraiment, autrement qu'en insultant, mouillez vous un peu au lieu d'éclabousser les autres du bout des pieds.
Je suis curieuse de voir jusqu'où vous pourrez aller...
Je ne comptais plus intervenir, mais la sincérité de Z. m'a un peu ému et me fait ajouter ceci : pensez vous que ce bouquet de "lettrés gauchistes" que vous jetez à la poubelle à présent sont venus s'échouer chez vous par hasard, parce qu'ils n'avaient rien de mieux à faire ?
RépondreSupprimerPensez-vous que les gens comme nous se collent comme des mouches ici, presque mécaniquement ?
Vous aviez apporté quelque chose à nos discussions, et malgré nos idées opposées nous prenions beaucoup de plaisir à vous contredire. Le revers de cette affection est que quand vous vous plantez complètement (que c'est superflu ces remarques sur Dorham...) et bien ça réagit...
Ne déplacez pas ça de manière idéologique sur les "grands écrivains", les "sectaires de gauche", la "civilisation qu'est morte mais qui le sait même pas"... c'est une question de bon sens, de cette "courtoisie" que vous avez louée, un moment donné, c'est tout.