Chère Zoridae,
j'aime bien Dorham, je continue à bien l'aimer. Il pense à l'opposé de moi, ce qui ne me dérange nullement. En revanche, il semble que cela le dérange, lui. Je suis devenu une sorte de monstre, puisque je n'ai pas la chance d'être de gauche et de penser comme il se doit.
En effet, je ne pense pas comme il se doit. Ce qui rend M. Dorham relativement fou, éructant, et le conduit à brailler n'importe quoi, ce qui est parfaitement son droit. Il peut même le faire ici si cela lui chante, ce n'est pas moi qui l'en empêcherai.
Que se passe-t-il ? C'est tout simple, en fait. Je suis censé être un "troll", j'ai joué ce jeu. Mais, dès le départ, je me suis placé, positionné, dites comme vous le souhaitez, en tant que réactionnaire. J'ai parfaitement assumé ce que je suis, ou crois être. Il se trouve que vous êtes deux ou trois à m'avoir trouvé plus ou moins sympathique. Pour le coup, il vous a semblé urgent de me transformer en ce que je ne suis pas, parce que vous n'aviez pas d'autres moyens de continuer à m'aimer bien.
(Je pense notamment au désarroi de Nicolas, disant, à mon propos, je ne sais plus en quel commentaire, chez lui, en substance, "je n'arrive pas à savoir s'il est vraiment de droite". Ce qui était le plus savoureux compliment que l'on puisse me faire, au fond.)
j'aime bien Dorham, je continue à bien l'aimer. Il pense à l'opposé de moi, ce qui ne me dérange nullement. En revanche, il semble que cela le dérange, lui. Je suis devenu une sorte de monstre, puisque je n'ai pas la chance d'être de gauche et de penser comme il se doit.
En effet, je ne pense pas comme il se doit. Ce qui rend M. Dorham relativement fou, éructant, et le conduit à brailler n'importe quoi, ce qui est parfaitement son droit. Il peut même le faire ici si cela lui chante, ce n'est pas moi qui l'en empêcherai.
Que se passe-t-il ? C'est tout simple, en fait. Je suis censé être un "troll", j'ai joué ce jeu. Mais, dès le départ, je me suis placé, positionné, dites comme vous le souhaitez, en tant que réactionnaire. J'ai parfaitement assumé ce que je suis, ou crois être. Il se trouve que vous êtes deux ou trois à m'avoir trouvé plus ou moins sympathique. Pour le coup, il vous a semblé urgent de me transformer en ce que je ne suis pas, parce que vous n'aviez pas d'autres moyens de continuer à m'aimer bien.
(Je pense notamment au désarroi de Nicolas, disant, à mon propos, je ne sais plus en quel commentaire, chez lui, en substance, "je n'arrive pas à savoir s'il est vraiment de droite". Ce qui était le plus savoureux compliment que l'on puisse me faire, au fond.)
Vous me demandez si je préfère à votre "compagnie de pinailleurs" ma "cour habituelle". Mais quelle cour ? Et en quoi êtes-vous spécialement "pinailleurs" ?
Vous êtes de sales gosses, ça oui, tout prompts à exclure, à rejeter, à bannir toute personne ne pensant pas comme vous. Avec des côtés «gamin» assez amusants. Par exemple, j'ai bien repéré que, dès ce matin, j'ai disparu des "liens" de MM. Balmeyer et Dorham : puni, le vieux réac ! Cela m'a fait sourire, évidemment.
Bon, il va être temps de conclure. Oui, c'est vrai, j'ai malmené cette personne qui se fait appeler Audine, et dans des termes que j'aurais pu éviter, je le reconnais. Néanmoins, elle a relayé (chez Dorham) des accusations contre Renaud Camus (qu'elle se flatte de n'avoir jamais lu) que je ne pouvais pas laisser passer. On a parfaitement le droit d'être idiot, de ne rien lire, de désigner à la vindicte des imbéciles des gens dont on ignore tout. Mais, si on le fait, il ne faut pas s'étonner de se prendre, parfois, des retours de boomerang en pleine figure. C'est ce qui lui est arrivé ici, je ne retire rien, et même je persiste et signe.
Et ne venez pas me parler de gens qui «partagent leur réflexion» : il n'y avait aucune réflexion chez Audine, juste un ressassement nauséabond (oui, moi aussi, je sais me servir de ce mot) de petit commissaire du peuple, visant un écrivain dont elle n'a jamais pris la peine de lire la moindre ligne. Ce que je ne pardonne pas. Ni à elle, ni à qui que ce soit.
Oui, je vous ai ôté de mes liens, c'est une façon d'occuper ma colère, et de ne pas pointer vers vos insultes ! Pour le reste, on verra après quelques nuits de sommeil.
RépondreSupprimerOulala!!!
RépondreSupprimer:(( les secousses telluriques de grandes magnitudes perdurent ici
RépondreSupprimerTempête dans une pinte de bière.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerJe suis touchée que vous ayez usé un peu de votre temps pour me répondre. Certains passages ressemblent presque à de la contrition et c'est tout à votre honneur.
A vrai dire réactionnaire c'est un terme qui ne m'évoque pas grand chose : je suis même allée lire ici et ça ne m'a rien appris sur la question du racisme qui semble être le point d'achoppement des sympathies bloguesques établies depuis quelques mois entre vous et quelques vigilants (dans lesquels je m'inclus, pour des questions de partage d'opinion, même si je ne vigile pas.)
(Libre à vous d'éclairer ma lanterne ou non sur ce sujet.)
Malgré tout vous continuez de glisser légèrement sur le sujet :
- Ce n'est pas parce que vous n'êtes pas de gauche que Dorham vous en veut et vous le savez très bien.
- Il y a des sujets qui conduisent à brailler, certes, à dire des grossièretés, même, et il se trouve que le racisme en est un, d'un côté comme de l'autre : il n'y a qu'à lire les commentaires des plus ardents de vos lecteurs...
- Audine a évoqué les liens que vous faisiez vers des sites douteux et vers un écrivain qui avait été accusé d'antisémitisme à une époque. Par ailleurs elle ne s'est pas contenté de colporter cette accusation, elle a parlé du site de Camus (qu'elle a parcouru ainsi que je l'ai fait) où certains points sont parfaitement clairs dans les chapitres immigration et démographie. J'y ai notamment appris que mon père dont les deux parents étaient Espagnols, d'après Camus, n'aurait pas dû obtenir la nationalité française. Et moi non plus du coup...
- Il y a de quoi se mettre en colère quand on rencontre sur un site une photo d'Hitler. Il y a de quoi brailler. Oui !
Par contre, je ne trouve pas qu'il soit aussi nécessaire de le faire parce que quelqu'un se permet de parler d'un livre qu'il n'a pas lu ou pire, de choses qu'il a entendues à propos d'un livre qu'il n'a pas lu. On fait ça tout le temps, vous comme moi, non ? Il y a même des livres sur le sujet (que je n'ai pas lus non plus d'ailleurs !).
Une phrase me trouble néanmoins... "Pour le coup, il vous a semblé urgent de me transformer en ce que je ne suis pas, parce que vous n'aviez pas d'autres moyens de continuer à m'aimer bien."
Franchement, je m'interroge là-dessus depuis tout à l'heure. Et je ne crois pas que ce soit vrai. Enfin, ce n'est pas tout à fait comme ça que je vois les choses : nous vous avons bien aimé parce que vous avez été aimable monsieur Goux. Parce que vous êtes quelqu'un de brillant, de touchant, d'érudit, un personnage.
Pour les mêmes raisons j'ai toujours cru que vos délires sur les musulmans tenaient de la provocation plus que de vos opinions sincères. Je n'y peux rien. J'ai toujours eu du mal - et même encore maintenant - à croire que les racistes puissent revêtir les habits d'un lettré aussi grincheux soit-il. Chez moi celui qui tenait ce rôle c'était l'oncle, patron de bistrot, avec sa moustache, ses marcels en été et ses grosses blagues salaces en fin de repas. J'avais déjà eu un choc qui a été évoqué là .
Vous êtes le deuxième.
Ça aussi il faudrait que vous me l'expliquiez.
Deux derniers détails et je vous laisse pour ce soir :
- nous sommes pinailleurs parce que nous ne vous applaudissons pas à la moindre de vos saillies. Votre cour, elle, comme de bien entendu, est toute ébaubie de votre emploi tellement judicieux du mot "connasse" envers une femme qui a osé rapporté des accusations à l'encontre d'un auteur dont elle n'avait ouvert aucun livre. Vous auriez dû botter le cul de votre cour pour être certain qu'elle savait sur quoi elle déblatérait à gogo.Mais vous ne l'avez pas fait ou quasiment pas.
- et bien sûr quand je parlais de gens qui partagent leur réflexion je parlais de l'article de Dorham et non du commentaire d'Audine.
Sur ce, bonne nuit ?
"J'ai toujours eu du mal - et même encore maintenant - à croire que les racistes puissent revêtir les habits d'un lettré aussi grincheux soit-il. Chez moi celui qui tenait ce rôle c'était l'oncle, patron de bistrot, avec sa moustache, ses marcels en été et ses grosses blagues salaces en fin de repas."
RépondreSupprimeron ne dira jamais assez tout le mal que les boeufs ont fait au racisme
Zoridae : vos parents espagnols ont-ils eu un comportement (ou vous) qui est l'équivalent de celui des caïds de banlieue ?
RépondreSupprimerDe mon côté avec des grands-parents d'origine russe, et arrivés sans un sou vaillant, qu'ont-ils fait, à part de travailler, et de respecter profondément tout ce qui est français ? Ont-ils brûlé des voitures, saccagé des écoles et des bibliothèques ?
Si de s'alarmer de tous ces évènements pour vous (et les gens "de gauche") c'est du racisme, on est dans le n'importe quoi.
« Il y a de quoi se mettre en colère quand on rencontre sur un site une photo d'Hitler. Il y a de quoi brailler. Oui ! » De quoi s'agit-il ? Vous faites allusion à quel site ? Sincèrement je ne comprends pas ce mystère, et pourquoi cette photo , etc...
Cela me fait penser à un livre écrit par William Shirer , un journaliste américain : "Le Troisième Reich" avec la photo de ce personnage sur la tranche du livre, trés épais, qu'auriez-vous dit en voyant ce livre sur mes étagères, « ben on est chez une nazie ».
Tout cela est grotesque, je me demande si c'est bien raisonnable de chercher ainsi querelle à des inconnus.
Heureusement qu'il y a de ci de là les interventions souriantes de iPidiblue, sinon on est tous dans les mugissements des grandes symphonies.
Allez mon grand, mais oui mais oui, t'es un faux méchant, p'tèt même un vrai gentil. Bon et après l'enculage de mouche, il y a un programme ?
RépondreSupprimerAh bruler des voitures oui oui, heureusement qu'il reste encore une jeunesss vindiou !
RépondreSupprimer"De mon côté avec des grands-parents d'origine russe, et arrivés sans un sou vaillant, qu'ont-ils fait, à part de travailler, et de respecter profondément tout ce qui est français ? Ont-ils brûlé des voitures, saccagé des écoles et des bibliothèques ?"
RépondreSupprimerAh oui ah oui, c'est pas comme tous ces putains d'arabes, il faudrait les parquer ceux-là, mettre des barrières autour des cités et contrôler les sorties, même pas blancs comme des slaves et paresseux en plus, ils respectent pas la France, le respect s'perd, mais que fait la police vindiou !
"iPidiblue" , il mugit pas ?
RépondreSupprimerMon pitbull non plus d'ailleurs, c'est pas un bovidé.
Zoridae : que pourrais-je bien vous répondre ? Dois-je écrire encore des pages et des pages pour montrer que je ne suis nullement raciste ? C'est inutile, je le crains : j'ai été jugé tel, du haut de la tour de contrôle idéologique dont certains ne descendent jamais, mon cas semble entendu. Si vous n'êtes pas à même de comprendre que l'on peut n'éprouver nulle haine envers les étrangers quels qu'ils soient et, en même temps ne pas avoir très envie qu'ils débarquent ici par centaines de milliers, que puis-je y faire ? (De la même manière, avec un peu de logique dans le raisonnement, vous devriez considérer que je hais et méprise mes voisins, puisque aussi bien je n'ai pas envie de les voir venir s'installer dans mon salon.)
RépondreSupprimerLe plus fatigant, dans tout cela, voyez-vous, ce qui m'énerve le plus, ce n'est pas tant l'afflux massif de populations exogènes que la sommation qui nous est faite de nous en réjouir bruyamment, sous peine de fatwa morale.
Il y a tout de même une chose assez piquante, là-dedans. C'est de voir un M. Dorham, par exemple, fustiger ma prétendue haine des étrangers et, dans le même temps, se livrer à de belles démonstrations génétique pour nous prouver que nous sommes tous rigoureusement semblables et que, donc, au sens propre, IL N'Y A PAS d'étrangers.
Quant à ma phrase sur laquelle vous dites buter, elle signifiait simplement que, pour me trouver "fréquentable", un certain nombre de vigilants (j'emploie ce mot par simple commodité) ont d'abord dû me transformer en ce que je n'étais pas ou, à tout le moins, n'éclairer que mon "bon" profil. Un peu comme ces jeunes femmes qui, excitées par une brute épaisse, doivent d'abord le métamorphoser en poète afin de pouvoir en tomber réellement amoureuse. Et l'affaire se termine généralement comme elle est en train de se terminer ici : au bout de quelques mois, la jeune femme pleurniche auprès de ses copines en se demandant comment elle a pu tomber amoureuse d'un con pareil.
Si de s'alarmer de tous ces évènements c'est du racisme...voilà tout ce que j'ai dit, et non tout ce que vous dites vous-même, ce matin, monsieur Cafard.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerPuisque vous parlez de moi dans le billet, je vous réponds directement (précisez bien à vos trolls habituels que c'est à vous que je m'adresse, pas à eux).
Voilà : il y a 15 jours ou 3 semaines, vous avez changé dans votre manière de bloguer et surtout commenter.
Avant vous étiez drole ! Vous avez perdu ça en quelques jours. Maitenant la plupart de vos interventions sont haineuses ou, comme ici, sur la défensive.
Que vous soyez raciste ou pas, je n'en ai rien à cirer depuis le jour où j'ai décidé de vous trouver sympathique. Mais ne soyez pas que "militant de la droite dure".
Avant ces 2 ou 3 semaines, vous étiez réactionnaire et drôle. C'était amusant. Maintenant vous êtes militant d'extrème droite. Ca use.
J'ai lu quelque part ici un commentaire d'Olivier P. qui disait "remettez vous mon vieux".
Il a raison.
Remarquez, les russes travailleurs et civilisés qui sont allés récupérés leurs terres deux mille ans après avec l'aide des nations travailleuses et civilisées n'étaient pas des racistes non plus.
RépondreSupprimerBen ouais, il y a trois mille ans (quatre mille, cinq mille ?) c'est God himself qui la leur avait donné la Palestine.
Et puis M. Goux a raison, on peut pas accueillir tous les va-nu-pied du globe dans notre petit salon de thé. Je propose de n'accueillir que les ingénieurs et les médecins, on fera des économies dans le Mammouth en plus pis les autres ils ont qu'à crever ça fera de l'engrais, c'est bon pour le maïs et le meïs c'est bon pour les voitures.
Vive Sarko, lui il échange des centrale nucléaire contre la sous-traitence en matière de contrôle de certains flux ...
M'enfain ils restera toujours quelque belle italienne à baiser.
En résumé, vous êtes en phase descendante.
RépondreSupprimerRien d'inquiétant, c'est juste le cycle naturel des relations bloguesques et communautaires.
Je me prends d'affectation pour un tel, je le lis, je le commente, je veux qu'il soit tout comme moi.
Mon miroir.
Sauf qu'à un moment, l'image devient floue, parce que l'autre existe ou en tout cas essaie.
Et qu'il s'ébroue devant tant de volonté à le réduire à un reflet.
Les moins fins s'en iront.
Les autres demeureront, parce qu'ils auront compris, appris, et attendront tranquillement la phase ascendante.
La vie quoi.
Putain de bordel de merde, schitt, en disant tout cela, en plus d'écrire comme un putain d'arabe, j'ai pas vu que je m'éloignais de la pensée magistrale du monde !
RépondreSupprimermerde merde merde
Chuttt !
RépondreSupprimerOn ferme.
Marcel
Mon cher Didier,
RépondreSupprimerQue viennent faire ici tous ces grands humanistes alors qu'il y a tant de combats glorieux qui les attendent sur tous les champs de bataille où la morale du monde se décide ? Qu'ils ne perdent plus de temps avec un mécréant, en avant !
PS Didier, pourriez-vous dans votre grande bonté leur payer un billet de charter pour l'Afrique où il y a tant à faire ?
iPidiblue grande conscience morale à l'aise dans ses sabots
Ah, parce que c'est encore moi qui dois payer l'avion ? Pfff...
RépondreSupprimeriPidigoux low cost
Bon.
RépondreSupprimerCa y est ? c'est fini ?
On a fini de se perdre en débats oiseux ? De confondre racisme de base et préoccupations quand à la gestion des primo-arrivants et que sais-je encore ? De regarder du mauvais côté des problèmes ? Et de de perdre dans le débat ?
Merci pour cette belle démonstration à petite échelle de la marche du monde.
Et au final, qui a gagné la bataille au fait ?
@ cafard pendu
RépondreSupprimer"les russes travailleurs et civilisés qui sont allés récupérés leurs terres deux mille ans après avec l'aide des nations travailleuses et civilisées"
Tiens, je croyais que c'étaient les juifs d'origine allemande, polonaise, néerlandaise, française qui, après avoir connu l'exceptionnelle expérience de la "solution finale" avaient été parmi les tout premiers à retourner sur "leur" terre, vu qu'ils avaient été déclarés indésirables dans le reste de l'Europe.
Sauf erreur de ma part, les russes sont arrivés bien plus tard (quand le régime soviétique a décidé de se débarrasser d'eux ...).
Enfin, je n'ai pas bien compris le lien que vous semblez faire entre ces russes et le racisme.
Geneviève : Dieu merci ! Vous élevez le niveau du débat.
RépondreSupprimerouais c'est cool, et en Palestine c'est là qu'ils étaient désirés. C'est sûr, avec Dieu dans l'affaire, on s'élève, c'en est même pléonastique, la v'là la pensée magistrale
RépondreSupprimerJe suis un peu terre à terre après toutes ces envolées idéologiques, mais entre nous, Didier, n'aurait-il pas été plus simple de répondre à Audine dans le fil des commentaires où tout a commencé, que vous n'étiez pas d'accord, et de tenter de prouver que ces accusations portées sur Renaud Camus étaient "fausses" ? Si vous êtes sûr de votre fait, et si vous connaissez bien Camus, cette démonstration n'aurait pour vous pas été difficile. Au lieu de ça, et au mépris de toute courtoisie (vous savez, cette chose que vous louiez et qui nous différencie des "barbares") vous vous servez de votre blog comme tribune pour placer le mot "conasse"...
RépondreSupprimerJe vous signale que tout part de là, et que personne n'a évoqué ce "monstre qui n'a pas la chance d'être de gauche". Après, les jeunes ont des mauvaises manières, mais le formalisme (élastique) doit savoir s'effacer pour les nobles causes, c'est bien connu...
Essayez de ne pas trop nous dénigrer, au passage, et de dire que nos reproches communs sont le fruit d'une sorte de "mode"... je sais que techniquement, les "réactionnaires modernes" (une oxymore ! je suis poète) ne sont pas antisémites. Les réactionnaires, neo-conservateurs, désignent comme menace l'Islamisme, et pointent justement un certain antisémitisme qui s'y larve comme preuve d'un "fascisme vert", soulignant qu'Israel est la seule démocratie du proche orient.
De plus, les réactionnaires sont conservateurs, ce qui les différencient des fascismes étant de nature révolutionnaires. La Gestapo, vous le savez, avait d'ailleurs son département pour s'occuper des réacs et des libéraux...
Tout ça pour dire que vous aviez matière à répondre, au lieu de vous rassembler dans votre blog comme dans un hall d'immeuble...
La dérive sur l'immigration qui suit est un peu hors sujet, entre nous je ne sais pas si je dois convoquer Sarkozy, les tibétains et les OGM à présent...
Hors sujet ? En fait, vos insultes ont été vécues comme la goutte d'eau qui ont fait déborder le vase, après l'accélération idéologique perceptible sur votre blog, ces dernières semaines, comme l'a dit Nicolas.
Je suis trop long : je vais faire une sélection de ce que je trouve sur vos liens, tout en sachant que les auteurs sont multiples et variés, et nous en discuterons...
"je hais et méprise mes voisins, puisque aussi bien je n'ai pas envie de les voir venir s'installer dans mon salon."
RépondreSupprimerOù l'on voit qu'il ne s'agit nullement d'un problème de race, Mesdames, Messieurs, veuillez reconsiderez humblement vos positions au regard de cette proposition.
"Il y a tout de même une chose assez piquante, là-dedans. C'est de voir un M. Dorham, par exemple, fustiger ma prétendue haine des étrangers et, dans le même temps, se livrer à de belles démonstrations génétique pour nous prouver que nous sommes tous rigoureusement semblables et que, donc, au sens propre, IL N'Y A PAS d'étrangers"
RépondreSupprimerDécidément, vous avez de très sérieux problèmes de lecture Didier.
Premièrement avant de donner des conseils de bonne lecture, relisez votre paragraphe.
Si je vous suis, je dis qu'il n'y a pas d'étrangers. Partant de ce constat, logiquement, je vais trouver inquiétant que d'autres pensent qu'une chose inexistante existe bel et et bien (parce que cela veut dire qu'ils sont fous et les fous sont inquiétants), et secondement, usent de ce néant distinctif pour pratiquer de l'exclusion ou du protectionnisme (ce qui revient à être fou et méchant). Tout se tient. Pour comprendre ce qu'est le pragmatisme, relisez également Descartes tiens, et Socrate. C'est bien plus intelligent que moi, vous et Camus réunis.
Votre réflexion est absurde, d'une effarante balourdise intellectuelle.
Je vous ai connu plus inspiré.
Deuxièmement, il vous faut également relire mon "interminable texte" (interminable pour quiconque aime avoir des avis fulgurants sur tout, soit une pensée d'estomac comme le dit Alain (chacun ses maîtres à penser), car je n'ai jamais mentionné le terme étranger. J'ai parlé de races.
Je ne nierai jamais que l'étranger existe,
1 - parce que ce serait nier les nations. Elles existent. Et que quand l'on vient ici, c'est que l'on vient d'ailleurs (on est donc un étranger).
2 - parce que de plus, il existe de manière démesurée et idéologique dans l'oeil de peureux dans votre genre qui veillent sur un trésor dont ils n'ont pas saisi qu'il est à partager.
Car, c'est bien de cela qu'il s'agit. Vous et vos amis êtes des froussards.
Balmeyer : j'admets volontiers que j'aurais sans doute dû me montrer plus mesuré dans mes qualificatifs, surtout parlant d'une femme. Mais j'étais vraiment furieux.
RépondreSupprimerPour le reste, je trouve étrange de devoir me justifier (et même d'être pratiquement sommé de le faire) de je ne sais quel "glissement idéologique" dont je serais (bien évidemment) coupable. Mais (et je vais aggraver mon cas, sans nul doute), je ne me sens coupable de rien ; en tout cas pas de "glissement idéologique". Et si même glissement il y avait, qu'est-ce que cela pourrait bien vous faire, aux uns et aux autres ? Vous n'êtes pas mes directeurs de conscience, que je sache ! Ou bien si, vous l'êtes et je n'en savais rien ?
Dorham : froussard, si vous voulez. Si je suis toujours de ce monde dans un quart de siècle (ce qui me surprendrait beaucoup), nous reparlerons de tout cela à ce moment-là. Ce sera sûrement très instructif.
RépondreSupprimerEmma, vous n'êtes pas à court d'absurdités, dites.
RépondreSupprimerJe vois que vous habitez en région PACA. Cette région est amusante parce qu'elle est majoritairement habitée par des individus qui détestent tout ce qui n'est pas de leur coin.
Impossible pour un parisien d'aller s'y installer. Là bas, on ne respecte pas la France, mais son lopin de terre.
Ensuite, vous parlez de choses que vous ne connaissez pas.
Pour ma part, j'ai grandi jusqu'à 16 ans en banlieue parisienne dans le Val de Marne, une des cités prétendument réputée pour sa caïdité !
Autrefois, cette ville était réputée également pour sa massive communauté italienne, dont je suis issu. Mes grands pères étaient résistants. Tous les deux. Et leur volonté d'assimilation était telle qu'ils passaient leur temps à gommer tout ce qui pouvait faire de nous de petits italiens. Noms de famille, repas dominicaux, floutage des origines etc...
Et pourtant, il faut les entendre raconter les insultes, les brimades, les mots de ces hommes qui les traitaient de paysans, de voleurs, de menteurs, de puants. A la longue, l'assimilation s'est faite.
Votre vision de la vieille immigration idéale me fait sourdement marrer. Quand vous arrivez dans un pays, vous n'avez rien, il faut aller chercher ce que personne ne veut vous donner. Les italiens de France n'ont pas choisi la même voie que ceux d'Amérique. Malgré les insultes, les brimades, les violences et ce métier du bâtiment qui tue à petit feu les populations immigrées.
Rien n'a changé, c'est votre oeil qui vieillit et qui déforme la réalité.
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Je tiens à donner un exemple. Aux USA qu'on vilipendent bien trop souvent à mon avis, les communautés ne s'assimilent pas véritablement. Elles fonctionnent en vase clos. On pourrait penser menacée, la cohésion nationale. Or, lors du 11 septembre, toutes les communautés, oubliaient leur désaccord pour affirmer la résistance de leur pays.
Toutes.
Sans exception.
Pourquoi ? Le pays qui par dessus tout est celui qui s'est bâti sur l'immigration est le plus patriote d'entre tous. Je ne sais pas si ça vous embouche un coin mais ça m'étonne à chaque coup et pour vous, cela devrait être une piste de réflexion.
Allez plus loin Didier, ce sera quoi le monde dans 25 ans selon vous si ça continue comme ça ?
RépondreSupprimerDites le avec vos mots qu'on comprenne bien, sans formules allusives ou sous-entendus.
Froussard et devin.
RépondreSupprimerDidier, vous ne me connaissez pas, ne préjugez pas de ce dont je suis capable ou non. Nous n'avons pas la même histoire. La mienne me prédispose à la résistance.
C'est aussi pour cela que la virtualité est un atout pour vous.
Sniper,
RépondreSupprimeren gros ce sera le choc des civilisations, des barbus tarés qui viendront égorger nos gosses, et baiser nos femmes. Et il nous faudra sortir les armes etc...
Didier sait de quoi il parle, il a vécu rue de Patay entouré de L'armée du salut, et de foyers Sonacotra pleins de vieux noirs édentés qui attendent la mort avec un smic divisé par 5 !
Sniper : je ne sais nullement à quoi ressemblera l'Europe dans 25 ans. En revanche, je vois très bien ce qui sépare celle d'aujourd'hui de celle d'il y a 25 ans. Et je vois aussi très bien ce que vous essayez de me faire dire.
RépondreSupprimerDorham : que vous soyez du côté de la résistance ne se voit pas trop, je vous assure. Et je vous trouve bien présomptueux de l'affirmer : le courage des grands-parents ne se reçoit pas en héritage, vous savez.
Les accusations de racisme envers Renaud Camus n'ont rien de faux et ses contempteurs auraient mieux fait de lire son Journal depuis le tome 1 plutôt que tous s'embrocher sur la phrase célèbre : "les collaborateurs juifs du Panorama de France Culture sont en « nette surreprésentation d'un groupe ethnique ou religieux donné ; d'autre part, ils font en sorte qu'une émission par semaine au moins soit consacrée à la culture juive, à la religion juive, à des écrivains juifs, à l'Etat d'Israël et à sa politique, à la vie des juifs en France et de par le monde, aujourd'hui ou à travers les siècles. C'est quelquefois très intéressant, quelquefois non ; mais c'est surtout un peu agaçant, à la longue, par défaut d'équilibre .
RépondreSupprimerIl suffit de parcourir le reste de son oeuvre pour vomir à chaque page. Ne dit-il pas, ailleurs, par ci par là, que pour lui, toutes les cultures ne sont pas égales et que la culture juive a apporté cent fois (ou mille fois, je ne recherche pas l'original) plus à l'humanité que la culture bretonne ou auvergnate? Les Bretons et les Auvergnats apprécieront.
Ce sale type n'arrête pas de comparer. Les tableaux, les artistes, les courants artistiques, les religions, les pays, les cultures. Il compare, il évalue, il discrimine, il juge, et pour finir il écrit.
Evidemment, on ne trouvera dans aucune page de ce long torchon qu'est son Journal un appel au meurtre, à l'éviction, à la haine, à l'appartheid, de quelque sorte que ce soit. C'est qu'il sait mesurer ses termes, ce vieux chattemite. N'est-ce pas dans cette mesure même, cette maîtrise de la langue pateline, que s'épanouit le racisme larvé le plus abject ? à ses protestations d'innocence se joignent en écho des témoignages de réactionnaires moisis, de philosophes simplets et de Juifs abusés. Le procédé est connu, on l'appelle le MMAEN (Mon Meilleur Ami Est Noir) et ne trompe que les imbéciles.
N'achetez pas son Journal, ni aucun de ses livres. Ne lui donnez pas un sou, un radis, un euro. Lisez sur la toile son "Vaisseaux brûlés", vous verrez bien. On saute d'une phrase raciste à une autre antisémite. Si, si, puisque je vous le dis....
J'ai lu le Journal de Renaud Camus. Tout entier. Je n'y ai rien vu, rien, mais alors rien du tout qui s'entache de racisme dans le sens que lui donne le Robert: Théorie de la hiérarchie des races, qui conclut à la nécessité de préserver la race dite supérieure de tout croisement, et à son droit de dominer les autres. ni de xénophobie: Hostilité aux étrangers, à tout ce qui vient de l'étranger.
Dorham, vous êtes un idiot ! Vous vous noyez dans un immonde gargouilli de mots : communauté, étranger, immigration, races. Vous mélangez tout ! Vous êtes une insulte à la parole qui vous a été donnée ! Et vous invoquez Descartes, Socrate et Alain ?!?
RépondreSupprimerVotre cuisine langagière a le goût et l'odeur de ces vieux fromages où grouillent de stupides vers qui se rêvent pêcheurs de baleine !
Vous vous réfugiez "politiquement" dans un passé "glorieux" : allez donc consulter un thérapeuthe pour vous soulager de cette névrose idéologique qui vous encombre !
Je ne vous ai pas demandé de vous justifier, Didier. J'explique un contexte. Ou plutôt, je "m'explique" comment de Renaud Camus nous en sommes arrivé à l'immigration et à l'Islam...
RépondreSupprimerVous faites effectivement bien ce que vous voulez, et vous avez noté que personne n'est venu vous contredire ou vous donner de leçon dernièrement, alors c'est astucieux de nous faire passer pour des moralisateurs ou des censeurs à présent...
Je crois que Nicolas, Dorham, moi ou d'autres, avons toujours discuté en toute bonne foi, avec appétit, même. Des militants efficaces n'auraient pas perdu leur temps ici.
Quand à dire que le propre de la "majorité manipulée de gauche" est d'accueillir avec joie une république islamiste, vous prenez les gens pour des imbéciles, quand même.
Suzanne : si le climat était moins électrique, nous pourrions discuter de Renaud Camus. Son parti de l'in-nocence est hors-littérature, si j'ai bien compris ? C'est un vrai programme, et pas un roman ? Dans ce cadre là, est-il permis de se faire une opinion ?
RépondreSupprimerJ'ai regardé le programme, je crois qu'il y aurait matière à discuter, comme pour tout parti politique. Si vous me dites que non, qu'il n'y a pas matière à discuter, je suis bien embêté.
Balmeyer: à discuter, certainement, je ne suis pas certaine d'en être capable. Si j'aime le Journal de Camus, je ne partage pas ses opinions politiques. Mais concernant le supposé racisme (ou antisémitisme, mais l'antisémitisme n'est-il pas un racisme ?, je me dis que s'il n'y avait pas pire raciste sur terre que Renaud Camus, la vie serait bien douce.
RépondreSupprimerPar ailleurs, je trouve que ce blog est vachement plus chouette pour discuter de Renaud Camus que sa société des lecteurs.
RépondreSupprimerEt, euh, j'aime bien ce blog, les participations des gens, et le fait qu'on s'y fritte sans que ça tombe dans le glauque.
RépondreSupprimerSilencieuse,
RépondreSupprimer"vous" êtes une idiote, vous ne savez pas lire.
Au contraire tout est parfaitement distingué. Races, notions d'étranger, communautés tout est parfaitement différent et je l'ai expliqué déjà longuement.
J'ai d'ailleurs sciemment scindé le tout en deux messages pour éviter le mélange. C'est précisément Didier qui mélange puisqu'il a entendu "étranger" dans un texte où je ne prononçais même pas ce mot.
Allez pour vous, je récapitule. La race, allez sur le lien pour savoir ce que j'en pense. C'est une notion génétique.
La notion d'étranger est de deux natures, sociales (comment l'autre vous perçoit) et bien entendu géographique. C'est expliqué.
Après, vous pouvez faire semblant de ne pas comprendre mais cela sera pure mauvaise foi...allez, ici, c'est bien la chose la mieux partagée.
Suzanne : merci pour vos réponses pleine de nuance, vraiment ! J'espère qu'on reviendra dessus.
RépondreSupprimer...
En attendant, en parlant de nuance, je découvre à l'instant même un afflux de visite chez moi... en provenance "I Like Your Style ! ". La gloire !
En cherchant un peu, je tombe sur ce billet du jour de votre commentateur "Il sorpasso".
Il a dû fouiner chez moi - la sentence déjà en poche - pour se mettre quelque chose sous la dent, et partager avec ses potes ! :-) Ma première impression est que je suis bien con avec mes civilités et ma manie du dialogue ! :-)
Didier,
RépondreSupprimerDeuxième fois que je vous le dis, adoptez davantage de rigueur dans votre lecture.
je me cite moi-même (c'est usant à la longue) :
"Didier, vous ne me connaissez pas, ne préjugez pas de ce dont je suis capable ou non. Nous n'avons pas la même histoire. La mienne me prédispose à la résistance."
J'ai dit la mienne. Pas celle des mes ancêtres. La mienne. Mon histoire de 0 à 32 ans.
vous dites également :
"Et je vous trouve bien présomptueux de l'affirmer : le courage des grands-parents ne se reçoit pas en héritage"
Qui a parlé de "courage" à part vous...
J'ai parlé de résistance. RESISTANCE ! Qu'est-ce que le courage a à voir là dedans ? Je veux dire, il en faut peut-être dans certains cas, mais la résistance peut aussi être une forme d'aveuglement (vous qui fustigez par exemple les systèmes de pensée).
Parfois résister demande plus de lâcheté que de renoncer.
C'est donc encore vous qui mélangez tout. Comme votre autre groupie...
Cela dit (voyez, je n'ai pas oublié votre leçon), je vous accorde en tous cas que ma petite personne n'a que peu d'intérêt... Enfin, je veux dire, on s'en fout que je sois ou non apte à me défendre...
J'ai de la chance, puisque Silencieuse est venue à mon secours.
RépondreSupprimerPour répondre à Dorham : si, pour vous
j'énonce des absurdités, je dois dire, que justement l'absurdité de cette déclaration rend impossible quelque échange que ce soit, et surtout m' ôte toute envie de continuer.
"La race, allez sur le lien pour savoir ce que j'en pense. C'est une notion génétique."
RépondreSupprimerVous n'êtes pas sorti de l'auberge !
"A l’inverse, si l’on croit que ce qui définit le mieux l’homme n’est pas ce qu’il fait mais ce qu’il est, c’est à dire, un être doué de pensée et de sentiments (unique chose animée à en être pourvue sur cette fichue planète), que la pensée précisément, n’est pas un gêne, mais une substance indéfinissable échappant à toute localisation, alors, toutes les questions, avis, angoisses, opinions compilées ci-dessus n’ont aucune espèce d’importance."
L'absurdité à l'état pur : magnifique, rare, précieux ! Vraiment, les neurosciences vous remercient ! Quelle avancée scientifique spectaculaire !
Et les commentaires de cet article sont d'une subtilité qui m'est toute étrangère. Toutes mes félicitations aux différents intervenants qui ont su apporter leurs diverses contributions à ce sujet traité sans finesse !
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RépondreSupprimerSilencieuse, vous êtes particulièrement idiote. Un type d'exception. Les paragraphes sur la race et la génétique sont tout en haut.
RépondreSupprimerOn commence par l'élémentaire (la science).
Après, on dresse les idéologies (je refais le chemin pour le petit poucet que vous êtes) et ensuite, une fois le tout démonté, je donne mon avis sur la question.
Soit, un peu de pensée chrétienne schématisée. Vous venez de jeter 2000 ans d'histoire aux chiottes. Bravo, vous êtes très intelligente.
Emma, Didier et d'autres (sauf cela va de soi les plus demeurés ; Silencieuse et afférents) :
RépondreSupprimerDans le fond, je ne fais que finir de dessiner la queue de la comète. Purement et simplement. ça vous ennuie que l'on vous taxe de ces mots là : "sottise", "absurdités", "idioties". C'est bien pourtant les mots que vous utilisez depuis le début de ce faux débat.
"Sottise", "absurdités", "bêtise", "ignorance". J'oublie connasse décervelée (c'est encore plus élégant), mais je ne souhaite pas verser dans l'insulte. Ce n'est plus mon genre depuis ma 25e année.
Je ne fais seulement que pointer un peu de la votre parce que les jugements définitifs sont toujours idiots. Le pensée n'est pas une chose toute faite, c'est un progrès intérieur.
Vous n'avancez même rien. Vous sous entendez. Vous avez même peut de vos propres pensées. Vous avez peur de votre ombre.
Tout comme plein d'autres choses. La conduite de la vie, la conduite du monde, le rapport avec l'Autre, l'apprentissage, le libre arbitre, l'éducation. Toutes ces notions sont certes universelles, tangibles, absolues, mais nous ne sommes que peu de choses pour oser les aborder avec une attitude aussi péremptoire et dénuée d'humilité que vous, Didier et quelques autres.
Momentanément, j'ai donc quitté mon corps pour prendre le votre (en tout bien tout honneur). D'ailleurs, je vous le rends, mon but est atteint. Didier a reconnu en partie son outrance. C'est déjà pas si mal. La note est moins "visible" et il s'en est pris à d'autres. Dont moi et ça me va très bien.
Cette fois-ci, je vous laisse définitivement et ne vous encombre plus. J'espère néanmoins que vous trouverez un jour la force ou l'envie d'entreprendre le monde avec davantage de pudeur, pour le comprendre et apprendre à l'aimer un peu plus. (c'est un "vous" pluriel ; je précise car Didier, en ce moment, rippe sur la moindre phrase)
Je sais, je sais, je suis une "connasse" naïve de type mâloïde, et altruiste avec ça, et c'est pour ça que nous allons tous mourir par le glaive.
Fin de la récré, je range mes billes, je meurs sur scène avec plein de traviatas envoyées par Balmeyer. clap clap clap et hou hou hou !
Dorham : la voilà !
RépondreSupprimer"Cette fois-ci, je vous laisse définitivement et ne vous encombre plus."
RépondreSupprimerQuel philosophe vous aura piqué pour faire preuve d'une si soudaine sagesse ? Auriez-vous donc enfin compris que vos bavardages incessants ne sont que nuisances sonores ? Vous êtes surprenant !
Silencieuse: sonores, les nuisances, sur un blog ?
RépondreSupprimernea : Je me prends d'affectation pour un tel
RépondreSupprimerhé hé (smilet)
Sinon, je suis d'accord avec la fin de votre message, là, et aussi avec un autre, celui où vous disiez que vous préfériez lire Didier Goux que Philippe Muray.
J'aime bien les textes de Didier Goux, j'aime bien quand il fulmine contre les mômes et poste la photo de son Irremplaçable en belle enfant posée sur la pelouse comme une fleur avec sa grande corolle blanche.
Bon, là, ça fait beaucoup de commentaires ! Je ne ferai donc que trois mini-réponses, que les autres m'absolvent.
RépondreSupprimerSuzanne : je suppose que votre long message anti-camusien (sauf le dernier paragraphe) était de l'ironie ? (Ou bien vous citez en oubliant les guillemets ?)
Dorham : le mot race n'a un sens génétique que depuis fort peu de temps, un sens parmi plusieurs autres tout aussi pertinents et depuis bien plus longtemps : pourquoi devrions-nous les jeter par-dessus bord ? Parce que les généticiens en ont ainsi décrété ? De plus, je me demande si vous ne faites pas une confusion entre "race" et "espèce"...
Balmeyer : je ne dis pas que vous l'accueilleriez (cette éventuelle "république islamique") avec joie, mais simplement que vous vous mettez en condition pour ne pas la voir venir et qu'en plus toute personne posant la moindre question à ce sujet, faisant part de la plus légère réserve se voit immédiatement transformé en sympathisant nazi, en mettant les choses au mieux. C'est à la fois puéril, cette reductio ad hitlerum systématique, et à la longue un peu agaçant pour celui qui se voit "nazifié" dès qu'il ne pousse pas des hurlements d'allégresse face à l'immigration massive et incontrôlée.
Quant au parti de l'in-nocence, auquel je n'appartiens nullement, pas plus qu'à aucun autre, il n'a qu'un très lâche rapport avec l'oeuvre de Camus (mais les thèmes, certaines préoccupations, des interrogations circulent de l'un à l'autre, bien entendu).
Suzanne et Emma, merci d'être ici, et Monsieur Yanka de m'avoir fait sourire...
Moi je propose que vous créez un blog spécial "Dupont-la-Joie" comme ça nos redresseurs de torts baigneront dans leur élément et ils feront des ratonnades de français de base sinon de souche !
RépondreSupprimeriPidiblue proche du zéro absolu
Que c'est drôle de lire tout ça en fin de journée ! Drôle et triste, affligeant et démoralisant.
RépondreSupprimerEnfin bref...
Bien sûr que vous n'êtes pas nazi, même pas nazillon, mais ne levez pas la main droite pour le jurer, ça pourrait être mal interprété.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBlogger Suzanne a dit...
RépondreSupprimerDidier: oui, c'est de l'ironie.
C'est lassant de toujours revenir aux mêmes explications, aux mêmes arguments.
Dans un tome de son journal (Rannoch Mooor, je crois,) R.Camus plaint ceux qui voyagent sans rien voir, ceux qui ne veulent pas voir, ceux qu"on voit littéralement ne rien voir". Moi je plains ceux qui lisent sans rien lire et qui n'ont que l'opinion d'autrui pour paysage. Ces histoires d'antisémitisme concernant son journal sont gavantes, comme disent les djeunes. Avance-t-on qu'on s'est fadé des milliers de pages sans avoir rien lu qui ressemble à du racisme, bien au contraire ? Ah ben c'est que t'es raciste toi même, si tu ne vois pas ce qu'il y a de raciste là dedans, vous répond-on. Et puis, d'ailleurs, s'il a été accusé de racisme... Et c'est reparti de plus belle.
On peut lui reprocher bien d'autres choses, à ce journal, on peut dire que non, vraiment, le style le vous plait-pas, que la personne ne vous inspire aucune sympathie, voire vous débecte carrément, mais ça... En sortira-ton ?
Didier, je vous en conjure, restez comme vous êtes : Le meilleur blogueur qui n'ait jamais été en fait.
RépondreSupprimerSoyez un peu plus fou et sauvage quand même hein (vous mollissez un peu en ce moment, je trouve) ; ça nous fera du bien à tous (et surtout à un certain nombre de §@§é§@é§ de vos commentateurs qui ne savent de la vie à priori que ce que certains ont bien voulu leur dire - du bout des lèvres - manifestement) Mais bon, nous n'avons pas tous la même bonne ou mauvaise étoile non plus.
Vous avez droit à une réponse de l'intéressée à l'origine de votre crise de nerfs, réponse qui ne noie pas le poisson.
RépondreSupprimerZoridae : triste ? Pourquoi triste ? Il y a ici des gens qui se confrontent, qui s'engueulent même, qui sont ni ne seront jamais d'accord probablement, mais quelle importance ? C'est L'Espèce humaine, comme dirait Robert Antelme...
RépondreSupprimerMartin-lothar : vous vous moquez ! C'est très vilain...
Suzanne : concernant Renaud Camus et son "affaire" en particulier. Soit vous vous trouvez face à des gens qui acceptent de le lire pour juger par eux-mêmes, et avec ceux-là il est permis de discuter. Soit vous êtes confrontée à des personnes qui préfèrent rester sur l'opinion falsifiée, pré-mâchée que leur ont livrée ces phares de la pensée contemporaine que sont Le Monde, Libération ou encore Les Inrockmachins. Ceux-là doivent être, il me semble, laissés dans leur bauge.