Tout à l'heure, mes yeux se posent sur la une de 20 minutes, dans son édition de lundi dernier. J'y découvre le titre suivant, en «surmanchette», comme on dit en langue vernaculaire journalistique :
Je n'imaginais pas le gazole si timoré, et, surtout, je n'ai aucun renseignement précis quant à la vélocité de l'essence. Je n'avais déjà pas grande estime pour les journalistes des magazines payants, je sais désormais ce qu'il convient de penser des titelmeister des gratuits.
Cher à la pompe, le gazole craint d'être pris de vitesse par l'essence.
Je n'imaginais pas le gazole si timoré, et, surtout, je n'ai aucun renseignement précis quant à la vélocité de l'essence. Je n'avais déjà pas grande estime pour les journalistes des magazines payants, je sais désormais ce qu'il convient de penser des titelmeister des gratuits.
La contrepèterie est pourtant excellente.
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