Oui, vous avez raison moi aussi je préfère les plantureuses Gina Lolobridgida et Sophia Loren !
D'ailleurs vous connaissez la différence entre les trains électriques et les seins des femmes ? Il n'y en a pas, c'est fait pour les enfants et c'est les papas qui s'en servent.
Elle n'a pas de souvenirs d'enfance heureux, cette dame ? Elle n'a jamais eu d'amours cachées dans des cabanes au fond du jardin, de premières lectures sous le cerisier, de gâteau encore un peu chaud au sortir de l'école, d'escapades dans les bois, de chasse au trésor n'importe où, de bonbons volés, de soirs de retours de vacances, de Noëls scintillants, de copains à la vie à la mort?
Je suis très honorée d'être en ce lieu dans lequel j'espère avoir prochainement le temps de naviguer plus avant Didier :-). Cependant, vous voyez, il me semble que cela fait plus encore grincer les dents (de lait) des "enfants" que celles des mamans - enfants intéressants cela dit, puisqu'il suppose un travelo capable d'être mère...
Merci aussi, Anne, pour cette illustration, mais est-ce à dire qu'il vous semble que ce texte est celui d'une pédophage ?
Très bonne journée pour vous Didier et à bientôt !
@ Albertine : bien sûr que non... une illustration peut-être lue à des différents degrés tout comme des mots. Pour ma part j'aime bcp celle-là, chacun peut l'interpréter selon son cheminement. Certains vont penser effectivement que vous êtes une digne descendante de Lilith...;)) , tout ce qui touche à l'enfance est tellement tabou qu'il est pourtant parfois sain d'oser dire. Cela ne témoigne absolument pas du rejet de l'enfance ou de la haine de l'enfance.Simplement d'une certaine lucidité. Et SURTOUT, oui, j'estime tjs ceux qui ont le courage de dire et d'écrire à contre courant, sans que cela soit exprimé uniquement pour provoquer.Il me semble que c'est votre cas, vos propos sont parfaitement argumentés.Même si je ne suis en accord avec tous. (notamment sur la notion du "sérieux" )
Je renouvelle mes remerciements Anne et vais m'empresser d'ajouter cette image qui, effectivement, pour l'avoir mieux regardée, illustre parfaitement le billet. MERCI ! (Et vous avez raison, je vous remercie de l'avoir lu ainsi : il n'y a aucune volonté de provocation, comme telle, ni certainement aucune haine contre les enfants dans ce texte.)
@Suzanne : Quel rapport ?
@Ipidiblue : Ne vous inquiétez pas pour les patins : à mon grand âge, on est un peu sourd... Mais merci tout de même pour tant d'égards et de prévention ;-).
Albertine : belle entrée en fanfare ! et je suis ravi de voir que les choses se passent bien entre iPidiblue et vous (vous savez comment ils sont, à l'adolescence...)
Une objection, si vous voulez, mais je dois donner quelques exemples de ce qui m'a étonnée, Albertine ; vous écrivez très bien, et surtout sans aucune faute d'orthographe, c'est rafraîchissant, surtout dans un long texte. Ce qui m'a étonnée, c'est l'impression que vous vous adressez à un public plein d'idées préconçues, et sûr de son faît, voilà : lecteurs qui vous imaginez que c'est la période la plus heureuse (ah mais qui a dit ça ?), après : "famille, usine à pathologies", bien oui on sait, d'accord, mais encore madame ? On est soupçonnés de croire dur comme fer que "la vérité sort de la bouche des enfants" c'est l'enfilage de pseudo-perles dont même "Marie-Claire" ne voudrait pas. Puis la critique du comportement abominable des enfants, "regardez ça, ils savent exactement quelle personne il faut séduire".... pfouh, je ne sais pas ce que je peux vous dire, les enfants m'intéressent, sans que je les idolâtre. On continue : "La valorisation de ce qui n'est qu'un passage" : qui valorise ?,mais on s'en garde bien, tudieu ! Ce genre de conversation ou remarques très gnangnan que vous rapportez ne sont pas émises chez tout le monde, ou bien alors c'est que je vis autre part que sur la Terre.
@Suzanne : Oh, mais nulle raison de vous pardonner Suzanne, puisque je n'ai relevé aucune "faute" de votre part à mon encontre ;-). J'interrogeais sur le rapport parce que je ne vois absolument pas en quoi ce que j'écrivais là-bas impliquerait quelque négation de ce que vous écrivez ici, voilà tout.
@Emma : Certes Emma, j'entends bien. C'est là, peut-être, le côté un peu "rhétorique" de la chose. Vous avez bien sûr absolument raison de pointer que ce n'est pas là le discours de "tout le monde" (Dieu merci !), il me semble simplement qu'il est devenu une sorte de "topos" d'"idéaliser" l'enfance et les enfants, lieu commun dont les corrélats (conception de la liberté comme libre arbitre ou "pouvoir" de "faire ce que l'on veut" qui se manifestent dans le fait de se sentir systématiquement empêché par toute "contrainte", sorte de culte étrange du "naturel" comme "immédiat", etc) sont, je crois, comme les présupposés de bon nombre de positions. Par ailleurs, je le répète, je n'ai rien contre les enfants, il s'agit ici d'un certain rapport de certains adultes aux enfants et à l'enfance. Et... mon "discours" ne prétend certes pas non plus à une grande originalité.
@ emma : tout de même la notion de "l'enfant sacré" ou de "l'enfance innocence" est bien ancrée dans les mentalités...bcp plus que l'inverse. La pondération dans ce domaine n'est pas courante. Oui, Albertine écrit des choses qui peuvent sembler évidentes, mais sur le sujet des enfants justement les "conversations ou remarques très gnangnan" comme vs dites,sont très dominantes. Je parle en général. L a preuve on peut même plus mettre une fessée à un môme...pffff....
@Didier : vous allez planter votre "zonne" ailleurs, c'est quoi cette plante ? @Albertine et Anne, vos réponses très tranquilles pour lesquelles je vous remercie, me plaisent bien ; vous êtes disposées à débattre sans mots désagréables, ouf ! C'est même moi qui me suis montrée revêche dans mon premier message, excusez-moi.
@ emma : ne vous excusez pas ,l'hôte de ce lieu nous a dressés à la souplesse :)) (D.G., soit dit en passant est à mes yeux le Bacri de la blogosphère, mais moi ça me fait marrer)
"il me semble simplement qu'il est devenu une sorte de "topos" d'"idéaliser" l'enfance et les enfants, lieu commun dont les corrélats (conception de la liberté comme libre arbitre ou "pouvoir" de "faire ce que l'on veut" qui se manifestent dans le fait de se sentir systématiquement empêché par toute "contrainte", sorte de culte étrange du "naturel" comme "immédiat", etc) sont, je crois, comme les présupposés de bon nombre de positions."
Seriez-vous la dernière attachée de presse de Michel Onfray ?
Oui, vous avez raison moi aussi je préfère les plantureuses Gina Lolobridgida et Sophia Loren !
RépondreSupprimerD'ailleurs vous connaissez la différence entre les trains électriques et les seins des femmes ?
Il n'y en a pas, c'est fait pour les enfants et c'est les papas qui s'en servent.
iPidiblue annus horribilis
pour illustrer le beau billet d'Albertine
RépondreSupprimerhttp://www.spamula.net/blog/i45/lipton5.jpg
L'illustration proposée par Anne.
RépondreSupprimerC'est la mère de Houellebecq qui tient ce blog au fait ? Et qui a le bon goût de s'appeler Albertine comme tout travesti qui se respecte ...
RépondreSupprimeriPidiblue chez Michou
Albertine, vous trouvez que cela fait travelo, vraiment ?
RépondreSupprimerÔ mais je ne savais pas que ce blog appartenait au club des éminents "gender studies" sinon j'aurais tourné ma langue trois fois dans ma bouche !
RépondreSupprimeriPidiblue docteur honoris causa
Elle n'a pas de souvenirs d'enfance heureux, cette dame ? Elle n'a jamais eu d'amours cachées dans des cabanes au fond du jardin, de premières lectures sous le cerisier, de gâteau encore un peu chaud au sortir de l'école, d'escapades dans les bois, de chasse au trésor n'importe où, de bonbons volés, de soirs de retours de vacances, de Noëls scintillants, de copains à la vie à la mort?
RépondreSupprimerSuzanne
Je suis très honorée d'être en ce lieu dans lequel j'espère avoir prochainement le temps de naviguer plus avant Didier :-).
RépondreSupprimerCependant, vous voyez, il me semble que cela fait plus encore grincer les dents (de lait) des "enfants" que celles des mamans - enfants intéressants cela dit, puisqu'il suppose un travelo capable d'être mère...
Merci aussi, Anne, pour cette illustration, mais est-ce à dire qu'il vous semble que ce texte est celui d'une pédophage ?
Très bonne journée pour vous Didier et à bientôt !
ils supposent, pardon.
RépondreSupprimerOn mettra les patins la prochaine fois tantine Albertine et on ne fera pas de bruit pour vous déranger !
RépondreSupprimeriPidiblue sale gosse
@ Albertine : bien sûr que non...
RépondreSupprimerune illustration peut-être lue à des différents degrés tout comme des mots.
Pour ma part j'aime bcp celle-là, chacun peut l'interpréter selon son cheminement.
Certains vont penser effectivement que vous êtes une digne descendante de Lilith...;)) , tout ce qui touche à l'enfance est tellement tabou qu'il est pourtant parfois sain d'oser dire.
Cela ne témoigne absolument pas du rejet de l'enfance ou de la haine de l'enfance.Simplement d'une certaine lucidité.
Et SURTOUT, oui, j'estime tjs ceux qui ont le courage de dire et d'écrire à contre courant, sans que cela soit exprimé uniquement pour provoquer.Il me semble que c'est votre cas, vos propos sont parfaitement argumentés.Même si je ne suis en accord avec tous. (notamment sur la notion du "sérieux" )
Je renouvelle mes remerciements Anne et vais m'empresser d'ajouter cette image qui, effectivement, pour l'avoir mieux regardée, illustre parfaitement le billet. MERCI ! (Et vous avez raison, je vous remercie de l'avoir lu ainsi : il n'y a aucune volonté de provocation, comme telle, ni certainement aucune haine contre les enfants dans ce texte.)
RépondreSupprimer@Suzanne : Quel rapport ?
@Ipidiblue : Ne vous inquiétez pas pour les patins : à mon grand âge, on est un peu sourd... Mais merci tout de même pour tant d'égards et de prévention ;-).
Albertine : belle entrée en fanfare ! et je suis ravi de voir que les choses se passent bien entre iPidiblue et vous (vous savez comment ils sont, à l'adolescence...)
RépondreSupprimerAlbertine, ce n'est pas de la provocation c'est de l'enfonçage de porte ouverte.
RépondreSupprimerJ'aime bien les trompettes et puisque je vois qu'il y a bien du Proust ici, vous savez déjà qu'"Albertine" est joueuse ;-).
RépondreSupprimer@Emma : Est-ce là une objection ?
Je vous laisse discuter entre filles : il faut que j'aille planter ma zonne ailleurs...
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAlbertine: s'il n'y a aucun rapport, c'est que j'ai sans doute lu trop hâtivement votre billet, et répondu à côté de la plaque, pardon.
RépondreSupprimerUne objection, si vous voulez, mais je dois donner quelques exemples de ce qui m'a étonnée, Albertine ; vous écrivez très bien, et surtout sans aucune faute d'orthographe, c'est rafraîchissant, surtout dans un long texte.
RépondreSupprimerCe qui m'a étonnée, c'est l'impression que vous vous adressez à un public plein d'idées préconçues, et sûr de son faît, voilà : lecteurs qui vous imaginez que c'est la période la plus heureuse (ah mais qui a dit ça ?), après : "famille, usine à pathologies", bien oui on sait, d'accord, mais encore madame ? On est soupçonnés de croire dur comme fer que "la vérité sort de la bouche des enfants" c'est l'enfilage de pseudo-perles dont même "Marie-Claire" ne voudrait pas.
Puis la critique du comportement abominable des enfants, "regardez ça, ils savent exactement quelle personne il faut séduire".... pfouh, je ne sais pas ce que je peux vous dire, les enfants m'intéressent, sans que je les idolâtre.
On continue : "La valorisation de ce qui n'est qu'un passage" : qui valorise ?,mais on s'en garde bien, tudieu ! Ce genre de conversation ou remarques très gnangnan que vous rapportez ne sont pas émises chez tout le monde, ou bien alors c'est que je vis autre part que sur la Terre.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer@Suzanne : Oh, mais nulle raison de vous pardonner Suzanne, puisque je n'ai relevé aucune "faute" de votre part à mon encontre ;-). J'interrogeais sur le rapport parce que je ne vois absolument pas en quoi ce que j'écrivais là-bas impliquerait quelque négation de ce que vous écrivez ici, voilà tout.
RépondreSupprimer@Emma : Certes Emma, j'entends bien. C'est là, peut-être, le côté un peu "rhétorique" de la chose. Vous avez bien sûr absolument raison de pointer que ce n'est pas là le discours de "tout le monde" (Dieu merci !), il me semble simplement qu'il est devenu une sorte de "topos" d'"idéaliser" l'enfance et les enfants, lieu commun dont les corrélats (conception de la liberté comme libre arbitre ou "pouvoir" de "faire ce que l'on veut" qui se manifestent dans le fait de se sentir systématiquement empêché par toute "contrainte", sorte de culte étrange du "naturel" comme "immédiat", etc) sont, je crois, comme les présupposés de bon nombre de positions. Par ailleurs, je le répète, je n'ai rien contre les enfants, il s'agit ici d'un certain rapport de certains adultes aux enfants et à l'enfance. Et... mon "discours" ne prétend certes pas non plus à une grande originalité.
Alertine:
RépondreSupprimerVous voulez dire, en fait, que les demeurés et autres gagas babillants vous gonflent ?
@ emma : tout de même la notion de "l'enfant sacré" ou de "l'enfance innocence" est bien ancrée dans les mentalités...bcp plus que l'inverse. La pondération dans ce domaine n'est pas courante.
RépondreSupprimerOui, Albertine écrit des choses qui peuvent sembler évidentes, mais sur le sujet des enfants justement les "conversations ou remarques très gnangnan" comme vs dites,sont très dominantes. Je parle en général. L a preuve on peut même plus mettre une fessée à un môme...pffff....
"Qu'est-ce enfin que cette admiration et ce regret de l'enfance ?"
RépondreSupprimerPeut être le rapport au temps ...
@Didier : vous allez planter votre "zonne" ailleurs, c'est quoi cette plante ?
RépondreSupprimer@Albertine et Anne, vos réponses très tranquilles pour lesquelles je vous remercie, me plaisent bien ; vous êtes disposées à débattre sans mots désagréables, ouf ! C'est même moi qui me suis montrée revêche dans mon premier message, excusez-moi.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimeriPidiblue : mois aussi j'aime bien les lolos plantureux.
RépondreSupprimerEmma : la « zonne » est le nom de code du houblon ...
C'est malin, de relever mes fautes de frappe : après, je n'ose plus les corriger !
RépondreSupprimerSinon, ça va, je n'ai manqué à personne ?
Non mais, monsieur demande s'il n'a manqué à personne, après avoir filé à l'anglaise (planter des machins avec faute de frappe).
RépondreSupprimer@ emma : ne vous excusez pas ,l'hôte de ce lieu nous a dressés à la souplesse :)) (D.G., soit dit en passant est à mes yeux le Bacri de la blogosphère, mais moi ça me fait marrer)
RépondreSupprimer"il me semble simplement qu'il est devenu une sorte de "topos" d'"idéaliser" l'enfance et les enfants, lieu commun dont les corrélats (conception de la liberté comme libre arbitre ou "pouvoir" de "faire ce que l'on veut" qui se manifestent dans le fait de se sentir systématiquement empêché par toute "contrainte", sorte de culte étrange du "naturel" comme "immédiat", etc) sont, je crois, comme les présupposés de bon nombre de positions."
RépondreSupprimerSeriez-vous la dernière attachée de presse de Michel Onfray ?
Chat huant : j'aurais préféré en être le Noël Roquevert, mais l'emploi est déjà revendiqué par Renaud Camus !
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