Or, ouvrant les yeux et les tournant vers la fenêtre, j'ai pu constater qu'un épais brouillard amoindrissait la terre. Et je me suis demandé si le cerveau du dormeur était capable, avant même d'émerger de nouveau à la conscience, de deviner le temps qu'il faisait dehors, puis de rechercher dans sa mémoire vive un vers, ou une phrase, ou tout un poème y correspondant.
Comme je n'ai pas trouvé la réponse, je me suis levé faire le café.
Bof. Vous auriez pu penser ceci.
RépondreSupprimerHmm Nicolas ! Provoc tout ça...
RépondreSupprimer@Nicolas: sinistre, et puis ras-le-bol de ça!
RépondreSupprimerJ'ai mieux: "Demain dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne..."
Ah oui ! La chanson d'Hugo Fray.
RépondreSupprimerIl y a aussi la chanson que fredonnait Émile Zola en pensant au capitaine Dreyfus :
RépondreSupprimerJ'aimerais tant voir, si j'accuse,
L'île du Diable et Kairouan...
Ah oui? moi c'était plutôt Lova Moor:
RépondreSupprimer"Et je danse...., oui je jee daaaaannnnse !!!..."
Bonne question, en effet.
RépondreSupprimerMarine : quelle question ?
RépondreSupprimerLa question posée par votre billet, tiens!
RépondreSupprimerVous avez déjà oublié?
Rappel:
RépondreSupprimer"Et je me suis demandé si le cerveau du dormeur était capable, avant même d'émerger de nouveau à la conscience, de deviner le temps qu'il faisait dehors, puis de rechercher dans sa mémoire vive un vers, ou une phrase, ou tout un poème y correspondant."
Je suis certaine que le cerveau du dormeur en est capable (il est capable de bien des choses d'ailleurs...Saleté ! )
RépondreSupprimerPhoto de l'Irrempe ? Ça lui ressemblerait bien je trouve.