Une interview "croisée" de Claude Durand, patron des éditions Fayard, et de Renaud Camus, l'un de ses auteurs. C'est dans Le Magazine littéraire.
(Merci à Scheiro de me l'avoir obligeamment signalée.)
(Merci à Scheiro de me l'avoir obligeamment signalée.)
Merci pour ce lien cher Didier !
RépondreSupprimerMerci !
RépondreSupprimerJe me demande s'il y a beaucoup d'auteurs rétribués pour leur seul Journal, et quand je lis R.C, j'ai souvent peur que ça s'arrête. Quand il a des démêlés avec un de ses éditeurs (Fayard et la ponctuation!), j'ai envie de retenir R.C par la manche en lui soufflant chut, ne dis pas ça, 'tention, pense à tout ce que tu perdrais... (évidemment, quand je lis R.C, je le tutoie, je sais bien qu'il n'aimerait pas ça mais après tout, hein, j'ai payé le livre et en plus je le lis jusqu'au bout.)
Suzanne
Je ne pense pas qu'on puisse passer comme ça de la notion de la précarité des écrivains (qui a toujours existé non ?) à celle de leur "prolétarisation", du moins en tant que seul écrivain.
RépondreSupprimerOu même en tant que journaliste - écrivain ou éditeur - écrivain par exemple.
Faudrait veiller tout de même à respecter un minimum les définitions : le "travail d'écriture" est loin d'être une force de travail ou alors Marx est mort, non ?
Audine, venant de vous, cette remarque est bien décevante...
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