Hier, dans ma voiture, je me suis surpris à fredonner une chanson de Brassens : La Première Fille. Et j'y ai pensé. À elle, la première. Il m'a semblé que les femmes l'avaient aussi, ce premier. Alors l'idée m'est venue de cette chaîne : racontez comment vous avez rencontré "votre premier", celui ou celle qui vous a dépucelé. Pourquoi lui ? Ou elle ? Pourquoi pas celui ou celle du flirt d'avant ? Réfléchissez-y. Et dans quelles circonstances vous êtes-vous rencontrés ? Je commence, donc.
C'était à l'été 1976. Derniers jours de juillet. J'avais une blouse bleue, j'avais vingt ans tout juste (je sais : peu précoce...). Je passais mon été à la SNCF, et, pour être plus précis, au portillon de la gare des Aubrais (Orléans), travaillant selon cete règle que l'on appelait les "3 x 8". Il se trouve que, ce soir-là, j'étais de nuit : 20 h – 4 h.
Aux alentours de minuit, j'étais dans mon petit portillon (mon travail consistait à poinçonner les billets des voyageurs, à leur indiquer sur quel quai leur train allait les recevoir, et aussi à leur indiquer, le cas échéant, comment allait se dérouler leur changement, ici ou là. Pour cela on se servair de cet énorme et très compliqué livre qu'on appelait le "Chaix", que j'avais mis un point d'honneur à maîtriser, tandis que mes petits camarades étudiants anarcho-trotskystes, sous prétexte que, deux mois plus tard, ils rejoindraient la bourgeoisie triomphante, mettaient un point de déshonneur à n'en rien savoir, n'en rien comprendre) – j'étais donc dans mon petit portillon. La gare des Aubrais (celle de l'époque) se vidait, les deux ou trois trains de nuit encore en attente draînaient de moins en moins de voyageurs. On allait pouvoir se mettre à somnoler...
Et elle arrive. Une petite brune, cheveux longs, épais et brillants, lunettes de myope, sac à dos semblant faire à peu près le même poids qu'elle-même. Elle vient droit sur moi, dans ma petite guérite, me demande sur quel quai sera reçu le train qui va la mener dans son extrême Sud-Ouest natal. Elle n'est pas très belle (enfin, c'est la première image que j'en ai eu – aujourd'hui, forcément, plus de trente ans après, elle l'est). Souriante. (Je la revoie arriver vers mon portillon, au moment où j'écris ceci, c'est étonnant...) Je lui indique le quai où son train va s' arrêter. Presque plus personne, dans cette gare. Et, moi, ce moi de vingt ans, persuadé depuis déjà quelques années de son insignifiance et de sa laideur, je sors de mon portillon et empoigne son sac, pour l'accompagner jusqu'au quai (qui, à la gare des Aubrais, est au-dessus de la gare, il y a des escaliers à monter).
Le train n'est pas encore là. Nous parlons ? Oui. On se dit quoi ? Je ne sais plus. Le train s'annonce, dans le haut-parleur du quai, on va se séparer, forcément. Bien entendu, je ne saurai jmais ce qui m'a poussé à dire à cette fille (Nadine : elle s'appelle NADINE) que j'aimerais bien qu'elle m'envoie une carte postale de son Sud-Ouest à la con (elle y est née, elle y va s'occuper d'une colonie de vacances – elle a 19 ans). Je lui note mon adresse (le train freine) sur... sur je ne sais plus quoi : son horaire SNCF peut-être... Nadine monte dans le train, et disparait de ma vie.
Une semaine après, je reçois une carte postale, venant de Bruges ou de Gand (car, il existe un Bruges et un Gand, quelque part dans l'extrême sud-ouest de la France, figurez-vous !) Un mois plus tard, Nadine me racontera que sa mère avait été très surprise de voir sa fille fouiller fébrilement dans la poubelle de la cuisine, afin de retrouver ce torchon chiffonné sur lequel était inscrit son dépucelage futur, et le mien.
Car ce fut une double découverte, deux mois plus tard. J'étas peu en avance pour mon âge, Nadine pas davantage. Lorsque, l'été fini, elle est venue prendre possession de sa chambre d'étudiante en je ne sais plus quoi, elle m'y a admis. Une fin d'après-midi. J'étas le plus péteux des péteux, ce jour, vous pouvez me croire. Elle aussi. Dans sa cellule de moniale, il y a avait un lit une place et une chaise : à peu près rien d'autre. Nadine était si remuée qu'elle n'a trouvé qu'une échappatoire : le sommeil. Et, en effet, je m'en souviens merveilleusement. J'étais entré chez elle depuis dix minutes lorsque, s'allongeant sur ce lit, elle m'a dit : « Ça t'ennuie, si je dors un peu ? »
Non, ça ne m'ennuyait pas. Et elle s'est endormie. Et moi, sur la chaise, je l'ai regardée dormir. Pas très longtemps, je crois. Un quart d'heure... Le double, peut-être. Je ne sais plus. Le temps ne m'a pas paru long. Quand elle s'est éveillée, je crois qu'on s'est embrassé presque tout de suite, mais vraiment je ne jurerais de rien. Ensuite...
Ensuite, on a joué au petit couple, dans les semaines suivantes. Moi, en cet automne 1976, je prenais (mal, très mal) mes marques à Paris ; elle vivait donc dans cette école de je ne sais plus quoi. On se voyait en fin de semaine. On s'explorait joyeusement – sérieusement : je me souviens, entre elle et moi, d'une découverte joyeuse dezs corps et des sexes. Nadine s'étonnait – et même riait – de mes érections spontanées, s'émerveillait (mais avec humour) d'en être la cause. De mon côté, je pense que mon attirance pour les femmes brunes à peau pâle, et mon appétence pour les chattes abondamment fournies me viennent d'elle – car elle était de ce genre.
Il nous a bien fallu deux mois (à peu près, je ne sais plus) pour “passer à l'acte”, comme on dit. Rappelez-vous que nous étions délicieusement puceaux tous les deux. Rappelez-vous aussi que j'étais à genoux devant cette fille qui, pour une raison qui m'échappait largement, me trouvait à son goût. Et rappelez-vous encore que nous allions franchir une sorte de cap que ni elle ni moi ne comprenions.
Je me souviens d'un soir où “la chose” a failli se faire, dans le studio de France-Hélène et de Monique, rue Porte-Saint-Vincent, à Orléans. Et puis, finalement, non. On est resté, ce soir-là, “au bord”, si je puis dire.
Une semaine ou deux ensuite, dans cette chambre où Nadine s'était endormie, elle a donc perdu ce fameux pucelage – de mon fait. Ça l'a fait rire. J'ai joui, pas elle : maladresse, précipitation de ma part, évidemment. Mais, nous fûmes content l'un de l'autre, je m'en souviens fort bien.
Deux semaines plus tard, ou trois, j'ai oublié, rupture. Nouds avions fait, sans doute, ce que nous devions. La rupture a eu lieu dans ce même studio de France-Hélène (qui n'en a jamais rien su). Je me souviens avoir pleuré beaucoup, resté seul. Beaucoup, mais pas très longtemps : j'avais 21 ans. – Je me souviens que Nadine s'est offert le luxe de me plaindre, avant de partir.
Je refile cette chaîne à... Voyons...
Olivier P. Mademoiselle Ciguë, Poison Social, Dorham, Zoridae, ma nièce Nef, Suzanne, Mtislav et Pierre Robes-Roule. Et tous ceux qui ont envie de se souvenir...
C'était à l'été 1976. Derniers jours de juillet. J'avais une blouse bleue, j'avais vingt ans tout juste (je sais : peu précoce...). Je passais mon été à la SNCF, et, pour être plus précis, au portillon de la gare des Aubrais (Orléans), travaillant selon cete règle que l'on appelait les "3 x 8". Il se trouve que, ce soir-là, j'étais de nuit : 20 h – 4 h.
Aux alentours de minuit, j'étais dans mon petit portillon (mon travail consistait à poinçonner les billets des voyageurs, à leur indiquer sur quel quai leur train allait les recevoir, et aussi à leur indiquer, le cas échéant, comment allait se dérouler leur changement, ici ou là. Pour cela on se servair de cet énorme et très compliqué livre qu'on appelait le "Chaix", que j'avais mis un point d'honneur à maîtriser, tandis que mes petits camarades étudiants anarcho-trotskystes, sous prétexte que, deux mois plus tard, ils rejoindraient la bourgeoisie triomphante, mettaient un point de déshonneur à n'en rien savoir, n'en rien comprendre) – j'étais donc dans mon petit portillon. La gare des Aubrais (celle de l'époque) se vidait, les deux ou trois trains de nuit encore en attente draînaient de moins en moins de voyageurs. On allait pouvoir se mettre à somnoler...
Et elle arrive. Une petite brune, cheveux longs, épais et brillants, lunettes de myope, sac à dos semblant faire à peu près le même poids qu'elle-même. Elle vient droit sur moi, dans ma petite guérite, me demande sur quel quai sera reçu le train qui va la mener dans son extrême Sud-Ouest natal. Elle n'est pas très belle (enfin, c'est la première image que j'en ai eu – aujourd'hui, forcément, plus de trente ans après, elle l'est). Souriante. (Je la revoie arriver vers mon portillon, au moment où j'écris ceci, c'est étonnant...) Je lui indique le quai où son train va s' arrêter. Presque plus personne, dans cette gare. Et, moi, ce moi de vingt ans, persuadé depuis déjà quelques années de son insignifiance et de sa laideur, je sors de mon portillon et empoigne son sac, pour l'accompagner jusqu'au quai (qui, à la gare des Aubrais, est au-dessus de la gare, il y a des escaliers à monter).
Le train n'est pas encore là. Nous parlons ? Oui. On se dit quoi ? Je ne sais plus. Le train s'annonce, dans le haut-parleur du quai, on va se séparer, forcément. Bien entendu, je ne saurai jmais ce qui m'a poussé à dire à cette fille (Nadine : elle s'appelle NADINE) que j'aimerais bien qu'elle m'envoie une carte postale de son Sud-Ouest à la con (elle y est née, elle y va s'occuper d'une colonie de vacances – elle a 19 ans). Je lui note mon adresse (le train freine) sur... sur je ne sais plus quoi : son horaire SNCF peut-être... Nadine monte dans le train, et disparait de ma vie.
Une semaine après, je reçois une carte postale, venant de Bruges ou de Gand (car, il existe un Bruges et un Gand, quelque part dans l'extrême sud-ouest de la France, figurez-vous !) Un mois plus tard, Nadine me racontera que sa mère avait été très surprise de voir sa fille fouiller fébrilement dans la poubelle de la cuisine, afin de retrouver ce torchon chiffonné sur lequel était inscrit son dépucelage futur, et le mien.
Car ce fut une double découverte, deux mois plus tard. J'étas peu en avance pour mon âge, Nadine pas davantage. Lorsque, l'été fini, elle est venue prendre possession de sa chambre d'étudiante en je ne sais plus quoi, elle m'y a admis. Une fin d'après-midi. J'étas le plus péteux des péteux, ce jour, vous pouvez me croire. Elle aussi. Dans sa cellule de moniale, il y a avait un lit une place et une chaise : à peu près rien d'autre. Nadine était si remuée qu'elle n'a trouvé qu'une échappatoire : le sommeil. Et, en effet, je m'en souviens merveilleusement. J'étais entré chez elle depuis dix minutes lorsque, s'allongeant sur ce lit, elle m'a dit : « Ça t'ennuie, si je dors un peu ? »
Non, ça ne m'ennuyait pas. Et elle s'est endormie. Et moi, sur la chaise, je l'ai regardée dormir. Pas très longtemps, je crois. Un quart d'heure... Le double, peut-être. Je ne sais plus. Le temps ne m'a pas paru long. Quand elle s'est éveillée, je crois qu'on s'est embrassé presque tout de suite, mais vraiment je ne jurerais de rien. Ensuite...
Ensuite, on a joué au petit couple, dans les semaines suivantes. Moi, en cet automne 1976, je prenais (mal, très mal) mes marques à Paris ; elle vivait donc dans cette école de je ne sais plus quoi. On se voyait en fin de semaine. On s'explorait joyeusement – sérieusement : je me souviens, entre elle et moi, d'une découverte joyeuse dezs corps et des sexes. Nadine s'étonnait – et même riait – de mes érections spontanées, s'émerveillait (mais avec humour) d'en être la cause. De mon côté, je pense que mon attirance pour les femmes brunes à peau pâle, et mon appétence pour les chattes abondamment fournies me viennent d'elle – car elle était de ce genre.
Il nous a bien fallu deux mois (à peu près, je ne sais plus) pour “passer à l'acte”, comme on dit. Rappelez-vous que nous étions délicieusement puceaux tous les deux. Rappelez-vous aussi que j'étais à genoux devant cette fille qui, pour une raison qui m'échappait largement, me trouvait à son goût. Et rappelez-vous encore que nous allions franchir une sorte de cap que ni elle ni moi ne comprenions.
Je me souviens d'un soir où “la chose” a failli se faire, dans le studio de France-Hélène et de Monique, rue Porte-Saint-Vincent, à Orléans. Et puis, finalement, non. On est resté, ce soir-là, “au bord”, si je puis dire.
Une semaine ou deux ensuite, dans cette chambre où Nadine s'était endormie, elle a donc perdu ce fameux pucelage – de mon fait. Ça l'a fait rire. J'ai joui, pas elle : maladresse, précipitation de ma part, évidemment. Mais, nous fûmes content l'un de l'autre, je m'en souviens fort bien.
Deux semaines plus tard, ou trois, j'ai oublié, rupture. Nouds avions fait, sans doute, ce que nous devions. La rupture a eu lieu dans ce même studio de France-Hélène (qui n'en a jamais rien su). Je me souviens avoir pleuré beaucoup, resté seul. Beaucoup, mais pas très longtemps : j'avais 21 ans. – Je me souviens que Nadine s'est offert le luxe de me plaindre, avant de partir.
Je refile cette chaîne à... Voyons...
Olivier P. Mademoiselle Ciguë, Poison Social, Dorham, Zoridae, ma nièce Nef, Suzanne, Mtislav et Pierre Robes-Roule. Et tous ceux qui ont envie de se souvenir...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerenfoiré ! Mais merci de m'avoir mis en dernière position. Une majorité de nana devant moi, j'ai 2 ou 3 ans avant qu'elles ne se découvrent !
RépondreSupprimer(non, non, non, on ne change pas l'ordre "naturel" de la liste, Didier, sinon le jeune mac va niquer sa mère !)
Chouette idée (et chouette billet qui m'évoque plein de choses...), je vous suivrai...
RépondreSupprimerOkay !
RépondreSupprimerDidier, vous me posez un cas de conscience.
RépondreSupprimerCar c'est sur mon blog, qu'on me demande de me raconter, et je déteste y parler de mon passé.
Mais d'un autre côté... j'aime les défis.
L'Irremplaçable n'est même pas citée, quel manque de courtoisie!
RépondreSupprimerBordel ! C'est donc vous qui avez mis ma cousine en cloque !
RépondreSupprimerParce que, franchement, un type qui a bossé il y a 30 ans à la gare d'Orléans, a une petite bite et bossait à Paname un peu après, heu...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerDidier, merci d'avoir pensé à moi.
RépondreSupprimerBon je ne suis pas du genre à me défiler... Je vous livre ça dans la soirée.
Remarque générale, tout d'abord : nul n'est jamais obligé de se soumettre à une chaîne, il va de soi. Et d'autant moins lorsque celle-ci est d'un caractère assez intime. Donc, on peut se défiler sans problème.
RépondreSupprimerPRR : Je suis sûr que vous ferez cela très bien...
Zoridae : tant mieux !
Dorham : allez, on plonge dans sa mémoire. Et en apnée !
Monsieur Social : on est obligé à rien, n'est-ce pas...
Orage : Vous voulez dire : dans la liste des "tagués" ? Mais je sais que Catherine n'aime pas trop écrire...
Nicolas : encore un mot sur ce ton et je vous rajoute à la liste !
Olivier : prenez votre temps, hein : y a pas de date butoir !
Nadine ? 1976 ? Alors vous devez vous souvenir de ceci.
RépondreSupprimerDidier, j'attaque tout de suite, j'ai retrouvé les photos...
RépondreSupprimerOui, Didier, j'avais compris, mais comme Olivier P. (mais moi, je n'ai pas pris de photos, mdrrr), je ne me défile jamais, c'est un principe.
RépondreSupprimerEt puis j'aime bien les chaines, en plus !
J'en apprends de belles sur l'usage que tu as fait de mon studio !
RépondreSupprimerFrance-Hélène
Dis tonton, tu sais que mon padre me lit ?
RépondreSupprimerPas grave, il fermera les yeux.
I did it.
RépondreSupprimerJe m'y mets, mais je ne sais pas quand. Et comme je suis dissimulatrice, je vais raconter trois amours, trois premières fois, dont une seule sera vraie.
RépondreSupprimerSuzanne : excellent idée !
RépondreSupprimerDidier, il est hors de question que je raconte ça... et la prescription alors ???
RépondreSupprimerJe ne sais pas si je peux raconter ce genre d'intimités, c'est très personnel !
RépondreSupprimer:-))
On ne dira jamais assez l'utilité des services publics de transport ferré pour faire des rencontres !
RépondreSupprimer:-))
Guillaume : pas de prescription pour les crimes sexuels !
RépondreSupprimerMonsieur Poireau : c'est à vous de vour, hein ! De toute façon, pour le moment, vous n'êtes pas tagué...
Nefisa : il s'agit juste de relater la RENCONTRE : pas ce qui s'est déroulé ensuite...
Ayé tonton, C'est fait
RépondreSupprimerC'est trop chou.
RépondreSupprimer76 ... un été de canicule je crois.
Alors comme ça, vous me taguez, je vous livre le machin dans les 48h, et bernique, pas un commentaire.
RépondreSupprimerEt en plus, c'était une brune à peau blanche, vous devriez débarquer chez moi la bave libidineuse aux lèvres, bordel !
Monsieur Social, vous savez bien qu'on a qu'un ordinateur pour deux et même 3, ce week-end, Fiston est là. J'en profite pour aller lire avant Didier, gnark, gnark, gnark....
RépondreSupprimerMais non Mme Irremplaçable, je ne le sais point.
RépondreSupprimerje ne viens vous rendre visite que depuis peu.
A ce propos, ce site avec de bonnes recettes est très alléchant.
Vous avez raison, allez y donc voir avant lui.
Monsieur Social, vous n'avez pas lu les deux billets précédents ? Didier explique qu'il n'a plus d'ordinateur !
RépondreSupprimerAh, ça a dû me passer au dessus la tête, je lis tellement de blogs, vous savez...
RépondreSupprimerAh, oui, "sauvez la carte mère" ? je ne l'ai pas encore lu,lui...
RépondreSupprimerhop ! mission (en partie) accomplie.
RépondreSupprimervous allez rallier même vos ennemis avec de telles confessions...
RépondreSupprimerAyé !
RépondreSupprimerc'est plein de fôtes d'orth.. ça n'en est que plus émouvant... Geargies
RépondreSupprimerMerci pour la proposition.
RépondreSupprimerJe viens de récidiver.
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