samedi 31 octobre 2009

À la demande générale...

Hier soir, même pas bourré, j'ai publié ici un billet très ironique et un peu méchant sur un blogueur qui, comme tout le monde en ce moment, blablatait sur l'identité nationale – sujet bateau par excellence. L'un de mes plus fidèles lecteurs, tout en reconnaissant volontiers que le gaillard visé est un con, m'a suggéré de le supprimer (le billet, pas son auteur) pour diverses raisons. Me sentant ce matin d'humeur magnanime, voire bonasse, j'ai accédé à sa requête : mille pardons à ceux qui avaient pris la peine de laisser un commentaire...

De toute façon, mon correspondant a raison : si on commence à cogner sur tous les crétins, on ne fera bientôt plus que ça du matin au soir. Et inversement.

11 commentaires:

  1. Ah ce vieux fond chrétien et magnanime, il vous sauvera ou vous perdra .....

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  2. Les deux, alternativement...

    Et, pour répondre à un commentaire que vous avez laissé je ne sais plus où, oui, Bernanos est la subversion même. Irrécupérable.

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  3. Dommage...mais bon, l'essentiel est de s'être bien marré !

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  4. Encore un petit effort, et vous écrirez une "ode à Céleste" !

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  5. ah, bravo, je ne sais même pas de quoi il s'agissait, rien vu venir !
    Voila qu'il supprime des billets, maintenant...

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  6. Merde j'ai raté ça.
    Même si c'était du mauvais Goux c'était quand même du Goux. Cette auto censure pique ma curiosité.

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  7. Putain ! Vous auriez pu attendre que je le lise. Ou alors je l'ai fait. Je me rappelle vaguement avoir commenté chez vous mais avec deux ou trous grammes.

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  8. Amusant ces "trous grammes".
    Évoque le lien direct qui existe entre taux d'alcool et trou de mémoire. Ne dit-on pas souvent qu'on boit pour oublier ? À partir de combien de grammes l'amnésie complète ?

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  9. Sniper,

    il y a toujours un con pour nous rappeler les conneries qu'on a faites. Généralement, le patron du bistro.

    En outre, l'oubli est plus souvent une conséquence qu'un motif.

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  10. D'accord avec le diagnostique de Nicolas.

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  11. Je m'incline devant les considérations de deux experts en la manière.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.