Sinon, plus sérieusement, je n'adhère pas vraiment à ce qu'il raconte. Je crois bien n'avoir vraiment pas la tripe libérale. La loi du marché, adoptée par ces anciens gauchistes (Vargas Llosa en fait partie), ne me satisfait nullement.
Nicolas : je ne me sens pas libéral. Mais alors pas du tout. En revanche, je pense que vous et vos pareils avez une image parfaitement caricaturale des libéraux. (Et sans doute moi aussi.)
Je reste parfaitement "réactionnaire", c'est-à-dire aussi éloigné du socialisme que du libéralisme que prône Vargas Llosa.
Vargas Llosas a ses faiblesses, ses longueurs lassantes. N'empêche "La Tante truc-muche et le scribouilard" m'ont bien fait rire (surtout le scribouillard). "Les tours et détours de la vilaine fille" m'ont plu tout en me lassant parfois.
Il y a du grand écrivain chez Vargas-Llosa. Du bien plus grand que chez nos enculeurs de mouches locaux sur lesquels se pâment nos semi-grabataires "amoureux des lettres".
J'ai comme une impression que l'Amérique du Sud fait vivre une littérature splendide alors que celle du Nord vend du papier et que l'Europe* tente de hisser des chiures de mouches au niveau de l'Universel. *A l'exception de l'Angleterre où l'on écrit encore avec talent.
@Nicolas ? Moi avoir iphone et moi voir toutes les coms! Toi pas se servir comyfaut du tien???!! Ça être surprenant!
Je suis d' accord pour les personnages de Balzac ( un de mes rêves étant de pouvoir "faire" des personnages aussi ceci- cela ) ils sont vivants!!! ( mais contrairement aux zapparences, c'est pô facile)
Je me souviens avoir lu et beaucoup aimé, il y a au moins 35 ans, l'un des premiers romans de lui : Conversation à "La Cathédrale" (la cathédrale en question étant le nom d'un bistrot...). Mais je n'en ai aucun souvenir précis.
Prems"
RépondreSupprimerPeut-être bien parce qu'il n'écrit pas que des conneries ...
et vice et versa. Intrinsèquement itou.
RépondreSupprimerou qu'il ressemble à Yves Montand
RépondreSupprimerMouais... il aurait pu écrire que tout socialisme est intrinsèquement bureaucratique...
RépondreSupprimerdésolé PRR, vous l'aviez déjà dit...
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerVous bossez pas dans un bureau, vous ?
Nicolas, soyez gentil : ne vous faites pas plus con que vous ne l'êtes...
RépondreSupprimerSinon, plus sérieusement, je n'adhère pas vraiment à ce qu'il raconte. Je crois bien n'avoir vraiment pas la tripe libérale. La loi du marché, adoptée par ces anciens gauchistes (Vargas Llosa en fait partie), ne me satisfait nullement.
RépondreSupprimerMais c'est parce que je suis pire, sans doute...
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerDidier,
Devant ce genre de connerie, si. Un de mes clients emploie 160000 personnes et est une immense bureaucratie ET un symbole du libéralisme ambiant.
Vous vous lancez dans une caricature que même un blogueur réactionnaire n'oserait pas pondre.
Ah merde ! Avec l'iPhone on ne voit pas ses coms et, Didier, je n'avais pas lu vos deux suivants.
RépondreSupprimerNicolas : je ne me sens pas libéral. Mais alors pas du tout. En revanche, je pense que vous et vos pareils avez une image parfaitement caricaturale des libéraux. (Et sans doute moi aussi.)
RépondreSupprimerJe reste parfaitement "réactionnaire", c'est-à-dire aussi éloigné du socialisme que du libéralisme que prône Vargas Llosa.
Vargas Llosas a ses faiblesses, ses longueurs lassantes. N'empêche "La Tante truc-muche et le scribouilard" m'ont bien fait rire (surtout le scribouillard). "Les tours et détours de la vilaine fille" m'ont plu tout en me lassant parfois.
RépondreSupprimerIl y a du grand écrivain chez Vargas-Llosa. Du bien plus grand que chez nos enculeurs de mouches locaux sur lesquels se pâment nos semi-grabataires "amoureux des lettres".
J'ai comme une impression que l'Amérique du Sud fait vivre une littérature splendide alors que celle du Nord vend du papier et que l'Europe* tente de hisser des chiures de mouches au niveau de l'Universel.
*A l'exception de l'Angleterre où l'on écrit encore avec talent.
D'un autre côté, il nous reste Georges, arbiter elegantiarum litteraturae et aliorum dominorum.
RépondreSupprimerTout n'est donc pas perdu!
@Nicolas ? Moi avoir iphone et moi voir toutes les coms! Toi pas se servir comyfaut du tien???!! Ça être surprenant!
RépondreSupprimerJe suis d' accord pour les personnages de Balzac ( un de mes rêves étant de pouvoir "faire" des personnages aussi ceci- cela ) ils sont vivants!!! ( mais contrairement aux zapparences, c'est pô facile)
C'est un Nobel mérité. Une rareté, vu le palmarès de ces dernières années...
RépondreSupprimer"C'est un Nobel mérité."
RépondreSupprimerOn ne saurait mieux dire.
Geargies,
RépondreSupprimerVous n'avez pas besoin d'intervenir dans une conversation qui est visiblement entre Didier et moi. Sauf si vous êtes un trou du cul. Ah ? Pardon.
Je me souviens avoir lu et beaucoup aimé, il y a au moins 35 ans, l'un des premiers romans de lui : Conversation à "La Cathédrale" (la cathédrale en question étant le nom d'un bistrot...). Mais je n'en ai aucun souvenir précis.
RépondreSupprimerNobel mérité en effet. Pour une fois.
Je ne sais pas si Geargies est un trou du cul, mais Nicolas ne s'est pas essuyé depuis fort longtemps, on le sait dès qu'il l'ouvre…
RépondreSupprimerNon, Georges, je t'aime bien accroché à mes fesses.
RépondreSupprimerCommence par les accrocher à ton coccyx, les pauvres.
RépondreSupprimerCe Nobel pue la CIA à plein nez.
RépondreSupprimerCet anonyme pue la connerie à plein nez.
RépondreSupprimerGil pue du cul.
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