La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
samedi 29 mai 2010
De la lecture pour le week-end...
Étant absent jusqu'à demain soir, je n'ai pas eu le cœur de vous laisser sans lecture. Voici donc (roulements de tambour...), avec deux jours d'avance (re-roulements), le Journal d'avril.
Décidément, Monsieur Goux, vous vous adorez. A vous suivre ainsi le long des jours, on est quand même surpris par une certaine monotonie : vais-je ou ne vais-je pas ? Heureusement que vous aimez mieux vos chiens que les humains.. de gauche ou de droite bien sûr. Une petite restriction sur les journées des 24 et 28 avril où vous vous énervez un peu ... Il sont heureux les enfants que vous n'avez pas.
La Pecnaude : mais qu'est-ce qui vous a pris de lire tout ça ? Vous êtes maso, ma parole ! C'est pas de la lecture pour petite fille progressiste, voyons !
merci d'avoir su croquer si joliment la journée du 10 avril.En vous relisant, je retrouve toute ma joie passée à l'issue de cette belle journée. Ah!J'attends que vous nous reveniez avec Catherine!
Pour Eltsir, je crois qu'il avait peur du ballon...Dans tous les cas, les petits, avec Eltsir, n'ont plus peur des chiens maintenant...(Basile me l'a réclamé plusieurs fois depuis et de temps à autre, lorsqu'il est fatigué le soir, je lui montre la photo du chien.Il aime bien, ça l'apaise.)
Oui Suzanne, saint Basile et saint Grégoire, deux frères, deux saints dans une famille incroyable, je vous donne le début de Wiki (taper Grégoire de Nysse):
Grégoire naît vers 331[A 1],[Note 1]. Il nait dans une famille d'avocats et de rhéteurs chrétienne de dix enfants[1],[2]. Sa Grand-Mère Sainte Macrine l'Ancienne avait connu les enseignement de Grégoire le Thaumaturge[3],[4]qu'elle transmis à ces enfants. Deux de ses frères, Saint Basile de Césarée, son ainé de cinq ans[A 2] et Saint Pierre de Sébaste furent évêques comme lui. Sa mère Emmélie, une fois veuve et sa sœur, sainte Macrine la Jeune, devinrent religieuses[5]. Il nait dans une famille nombreuse, Son père tenait une école de rhétorique à Néocésarée. Il bénéficie de la très forte influence de sa sœur Macrine et davantage encore de celle de son frère Basile qu'il appellera « un maître et un père » et « la merveille de l'univers ».
Voilà, pour nos jumeaux, Basile et Grégoire donc, nous voulions de beaux prénoms, porteurs de sens chrétien, de bons saints patrons comme on dit(c'étaient des hommes, des vrais à l'époque avec des joutes intellectuelles impressionnantes de force et de rigueur et ils risquaient souvent leur peau dans l'affirmation de leur foi!)
La Crevette : je n'en attendais pas moins de Damien et de vous. Et j'aime beaucoup vos commentaires.
Corto : Geargies a raison : vous ne suivez pas ! C'était déjà annoncé dans le Journal de mars...
Je ne donne pas la date (ou bien si ? P'tain, j'ai oublié...) parce que que je suis paranoïaque rt ne tiens pas à voir débarquer toute une pochtron pride, ce jour-là, à Pacy-sur-Eure...
Or, comme chacun sait, il est quand même compliqué - dans un journal - de ne pas parler de soi ; c'est même plutôt indiqué. C'est comme si l'on reprochait à un conteur de raconter des histoires.
La "Pochtron Pride". Belle trouvaille! Mais j'insiste sur le fait que le pochtron basique n'est pas obligé de se reconnaître dans les ostentations des participants! Pochtron certes, mais discret...jamais militant. Je dis ça pour rire, parce que je suis citée fugitivement dans le journal juste quand je me tais^^.
"L'un de nos voisins, celui qui possède le verger devant notre maison (laquelle est perpendiculaire à la rue de l'Église), saisi d'une sorte de démence gazonnière, en est cette année à tondre tous les cinq ou six jours. Si le mal progresse encore, l'année prochaine il tondra la terre battue"
Je ne suis pas petit, je suis proportionné...
RépondreSupprimerAh mais je ne parlais pas de votre taille ! Plutôt de votre jeune âge...
RépondreSupprimerDécidément, Monsieur Goux, vous vous adorez. A vous suivre ainsi le long des jours, on est quand même surpris par une certaine monotonie : vais-je ou ne vais-je pas ? Heureusement que vous aimez mieux vos chiens que les humains.. de gauche ou de droite bien sûr. Une petite restriction sur les journées des 24 et 28 avril où vous vous énervez un peu ... Il sont heureux les enfants que vous n'avez pas.
RépondreSupprimerAhhh !!! J'adore L'Invention de Morel ! Labyrinthe mental réjouissant , non?
RépondreSupprimerLa Pecnaude : mais qu'est-ce qui vous a pris de lire tout ça ? Vous êtes maso, ma parole ! C'est pas de la lecture pour petite fille progressiste, voyons !
RépondreSupprimerGeargies : j'ai adoré ce roman, oui.
Cher Didier,
RépondreSupprimermerci d'avoir su croquer si joliment la journée du 10 avril.En vous relisant, je retrouve toute ma joie passée à l'issue de cette belle journée.
Ah!J'attends que vous nous reveniez avec Catherine!
Pour Eltsir, je crois qu'il avait peur du ballon...Dans tous les cas, les petits, avec Eltsir, n'ont plus peur des chiens maintenant...(Basile me l'a réclamé plusieurs fois depuis et de temps à autre, lorsqu'il est fatigué le soir, je lui montre la photo du chien.Il aime bien, ça l'apaise.)
J'aime beaucoup le prénom Basile.
RépondreSupprimerOui Suzanne, saint Basile et saint Grégoire, deux frères, deux saints dans une famille incroyable, je vous donne le début de Wiki (taper Grégoire de Nysse):
RépondreSupprimerGrégoire naît vers 331[A 1],[Note 1]. Il nait dans une famille d'avocats et de rhéteurs chrétienne de dix enfants[1],[2]. Sa Grand-Mère Sainte Macrine l'Ancienne avait connu les enseignement de Grégoire le Thaumaturge[3],[4]qu'elle transmis à ces enfants. Deux de ses frères, Saint Basile de Césarée, son ainé de cinq ans[A 2] et Saint Pierre de Sébaste furent évêques comme lui. Sa mère Emmélie, une fois veuve et sa sœur, sainte Macrine la Jeune, devinrent religieuses[5]. Il nait dans une famille nombreuse, Son père tenait une école de rhétorique à Néocésarée. Il bénéficie de la très forte influence de sa sœur Macrine et davantage encore de celle de son frère Basile qu'il appellera « un maître et un père » et « la merveille de l'univers ».
Voilà, pour nos jumeaux, Basile et Grégoire donc, nous voulions de beaux prénoms, porteurs de sens chrétien, de bons saints patrons comme on dit(c'étaient des hommes, des vrais à l'époque avec des joutes intellectuelles impressionnantes de force et de rigueur et ils risquaient souvent leur peau dans l'affirmation de leur foi!)
C'est moi (ou Ludovic) qui a fumé l'herbe qui fait rire mais seriez vous entrain de nous annoncer vos religieuses épousailles ?
RépondreSupprimerAh , j'en vois un qui suit pas ou qui a trop fumé la moquette au choix…
RépondreSupprimerLa Crevette : je n'en attendais pas moins de Damien et de vous. Et j'aime beaucoup vos commentaires.
RépondreSupprimerCorto : Geargies a raison : vous ne suivez pas ! C'était déjà annoncé dans le Journal de mars...
Je ne donne pas la date (ou bien si ? P'tain, j'ai oublié...) parce que que je suis paranoïaque rt ne tiens pas à voir débarquer toute une pochtron pride, ce jour-là, à Pacy-sur-Eure...
Ben si, tu donnes la date...
RépondreSupprimerLa Crevette, il semblerait qu'Elstir de son côté ait fait des progrès. À bientôt.
Le 23 octobre, c'est bien ça ? Et moi qui vous classait plutôt parmi les anticonformistes.
RépondreSupprimerQuelle mouche vous a piqué ?
Ah oui, merde, j'ai donné la date !
RépondreSupprimerSniper : se marier à l'Église, ça ne vous semble pas furieusement anticonformiste, par les temps qui courent ?
De toute façon, je ne cherche nullement à être anticonformiste...
Didier,
RépondreSupprimerVous êtes content ? Vous avez inventé le journal qui parle de soi...
La Pecnaude a bien raison de relever cette étonnante incongruité.
Dorham : je crains de ne pas bien comprendre le sens de votre critique. Un journal qui parle de soi ?
RépondreSupprimerC'était ironique.
RépondreSupprimerEn rapport avec le commentaire de la Pecnaude.
Qui vous reproche un certain narcissisme.
Or, comme chacun sait, il est quand même compliqué - dans un journal - de ne pas parler de soi ; c'est même plutôt indiqué. C'est comme si l'on reprochait à un conteur de raconter des histoires.
Ce n'est donc pas une critique, Didier, en tout cas, on ne peut pas critiquer un journal sous cet angle...
RépondreSupprimerAh, je me disais, aussi...
RépondreSupprimer(Dois pas être très réveillé, moi !)
Vous avez sans doute la tête dans le cul de Sandrine Bonnaire...
RépondreSupprimerLa "Pochtron Pride". Belle trouvaille!
RépondreSupprimerMais j'insiste sur le fait que le pochtron basique n'est pas obligé de se reconnaître dans les ostentations des participants!
Pochtron certes, mais discret...jamais militant.
Je dis ça pour rire, parce que je suis citée fugitivement dans le journal juste quand je me tais^^.
"L'un de nos voisins, celui qui possède le verger devant notre maison (laquelle est perpendiculaire à la rue de l'Église), saisi d'une sorte de démence gazonnière, en est cette année à tondre tous les cinq ou six jours. Si le mal progresse encore, l'année prochaine il tondra la terre battue"
RépondreSupprimerLéautaud! On dirait du Léautaud!
Carine : un pochtron se doit de NE PAS être basique, voyons ! Les buveurs d'eau sont basique, ça oui... Mais nous, enfin...
RépondreSupprimerSuzanne : dites tout de suite que je suis fringué en clodo et que je pue la pisse de chat !