Il semble que les éoliennes n'ont plus le vent en poupe. Si cela s'avère, c'est la bonne, la très bonne nouvelle du jour, qui nous repose un peu des barbus polygames et des bergers nazis. Si j'ai bien compris ce que j'ai lu çà et là, les mickeys du Grenelle II de l'environnement (on en arrive à écrire de ces choses, je vous jure...) s'apprêteraient à prendre des mesures afin de ralentir – stopper serait tout de même trop beau – les métastases de ce cancer vertical. Du coup, chez les Verts, les éol'hyènes rient jaune. Il est vrai que priver de leurs jolis moulins post-modernes des gens n'ayant d'autre vocation que de brasser l'air n'est pas d'une grande gentillesse. Alors qu'au fond ils auraient pourtant de vrais motifs de se réjouir, nos petits implants mamères qui trépignent en faveur d'une énergie propre et suffisamment bien élevée pour ne pas aller faire des trous dans la couche d'ozone dès que ses parents ont le dos tourné. Car on en a une, qui répond parfaitement à leur vœux.
Ça s'appelle le nucléaire. Je sais bien qu'une tour de centrale est largement aussi moche qu'une dizaine d'éoliennes réunies en bouquet. L'avantage est qu'il y en a cent mille fois moins. Et que, si vous prenez la précaution d'habiter assez loin d'un cours d'eau à très gros débit, vous êtes assuré de n'en jamais voir pousser une au fond de votre jardin.
Quand on aura abattu la dernière éolienne du beau pays de France, et qu'ils viendront s'en plaindre à nous, on enverra nos chiens pisser le long de la jambe des écologistes. En les priant avec politesse de faire tourner aussi régulièrement que possible leurs grands bras inutiles.
Ça s'appelle le nucléaire. Je sais bien qu'une tour de centrale est largement aussi moche qu'une dizaine d'éoliennes réunies en bouquet. L'avantage est qu'il y en a cent mille fois moins. Et que, si vous prenez la précaution d'habiter assez loin d'un cours d'eau à très gros débit, vous êtes assuré de n'en jamais voir pousser une au fond de votre jardin.
Quand on aura abattu la dernière éolienne du beau pays de France, et qu'ils viendront s'en plaindre à nous, on enverra nos chiens pisser le long de la jambe des écologistes. En les priant avec politesse de faire tourner aussi régulièrement que possible leurs grands bras inutiles.
Prem's ! Des 2 mains et des 2 pieds j'applaudis ce billet qui m'a fait bien rire. sans doute un de vos meilleurs, si, si ! et le coup de ces implants mamères ...
RépondreSupprimermerci
Ola, moins de bruit avec ça tu vas reveiller Agathe :)
RépondreSupprimerBon , supposons qu'en 2012 il y ait des éléctions pour élire un(e) président(e), et que ceux qui ont le bas de pantalon mouillé y disent ""on vous aide à gagner mais on veut continuer d'installer des aerogeneratrices"" et que l'autre y dirait ""ben oui" ben ,alors on aurait encore des éoliennes.
Et c'est tant mieux
Même si je préfère voir des centrales nucléaires que des éoliennes, je trouve que vous idéalisez un peu cette énergie, Didier. Car le problème des déchets est loin, très loin d'être résolu.
RépondreSupprimerSans compter que la résolution du problème est loin, très loin d'être un déchet.
RépondreSupprimerEt que le déchet problématise les longues distances.
RépondreSupprimerVous ne devriez pas vous réjouir aussi vite ! D'après ce que je viens de lire, le gouvernement vient de faire un premier pas en arrière (comme d'habitude).
RépondreSupprimer"on enverra nos chiens pisser le long de la jambe des écologistes."
RépondreSupprimerA condition de prévoir le retraitement pour éliminer l'acide et réutiliser la flotte.
Toujours pas lu le "Quichotte" jusqu'au bout Didier ?
RépondreSupprimerLes éoliennes brassent du vent...Mais si ce n'était que ça! L'écologie est une connerie mais l'anti écologie ne l'est pas moins. Aïe! Trôp tôt pour a
RépondreSupprimerller se coucher!
ouiiiiii ? on m'a appelée ?
RépondreSupprimerVous m'avez entendue revendiquer dans la rue, Didier, moi et une petite partie des 10.000 emplois que ca a créé jusqu'à présent ?
Pardonnez-moi, Agathe que je ne connais pas, mais pensez-vous réellement que l'on peut pérenniser un projet qui salope crescendo nos paysages et rend la vie des milliers de personnes habitant à proximité des éoliennes proprement insupportable sous prétexte qu'il nourrit 100000 employés ?
RépondreSupprimerNe pourrait-on pas penser au contraire à mobiliser ces employés sur des chantiers qui respectent davantage l'environnement ?
Au nom de quoi devrait-on permettre l'enlaidissement de notre pays ? De l'emploi ? Et la fin justifie les moyens ? Et allons-y pour plus d'éoliennes qui produiront plus d'emplois ?
oui, bonne idée ! quoi comme chantiers ?
RépondreSupprimerVous savez très bien que je me doutais bien que vous alliez me poser cette question, Agathe, vous savez bien que je n'ai pas la réponse, comme vous savez très bien que cela n'invalide pas mon objection.
RépondreSupprimerC'est pas moi qui ai conçu les éoliennes, hein !
Le problème, c'est que si l'on suit votre raisonnement, on ouvre la porte à tout ce qui peut créer des emplois, pour le meilleur et surtout pour le pire : qu'importent les nuisances tant qu'il y a de l'emploi ?
On ne peut pas accepter cela, comme on peut certes pas, je vous l'accorde, envoyer se faire foutre 10000 salariés.
Mais si les responsables politiques pouvaient être fermes sur le renoncement catégorique aux projets d'éolienne (ce pour quoi je suis) tout en proposant sérieusement une reconversion équivalente aux salariés, avouez que cela serait bon pour tout le monde, non ?
Panneaux solaires ? Énergie hydro-dynamique ?
Pour l'instant, les éoliennes produisent plus d'euros que d'énergie. On pourrait peut-être les refiler aux grecs...
RépondreSupprimerEt pourquoi pas un peu de tout ca à la fois ? Le tout solaire peut engendrer les même craintes que le tout éolien, le tout hydro-électricité ou le tout nucléaire s'il est installé à outrance !
RépondreSupprimerJe vais pas envoyer se faire foutre tous les agriculteurs de France et de Navarre, et clamer qu'ils sont inutiles, parce que la vision de leurs silos pourrait me faire horreur et que leurs vaches puent du cul (enfin un argument objectif !).
On a suffisamment de potentiel en France pour pouvoir imaginer un mélange des genres, n'en déplaise à certains.
Y a pas un des ces trucs éoliens qui pourrait tomber sur la gueule du Mamère ? Parce que lui, là, s'il y a en a un qui me sort du... de... bon, bref...
RépondreSupprimerLa mort dans l'âme, je reconnais ici que l'idée n'est pas de moi, elle est de l'un de mes suiveurs/suvis sur twitter :
RépondreSupprimer"j'ai la solution, conservons mais enterrons les éoliennes de telle sorte qu'elles ne nuisent pas au paysage"
Idem que beaucoup, j'applaudis aussi (j'aime pas les éoliennes, grr)
RépondreSupprimerMais qu'est-ce que vous pouvez être bavards, tous, quand je suis au lit !
RépondreSupprimerOn pourrait faire péter les vaches près des éoliennes pour faire du vent! Enfin une alternative écologique au gaz naturel…
RépondreSupprimerLe premier qui dit du mal des vaches, je lui pète la gueule.
RépondreSupprimerVous souvenez-vous, Didier, de tout le foin qu'on avait fait autour de Louis Pauwels et de son propos sur la jeunesse atteinte d'un "sida mental" ?
RépondreSupprimerOr vous, tranquille comme Baptiste, vous parlez, à propos des éoliennes, "des métastases de ce cancer vertical".
Le concerné au premier chef que je suis, malheureusement, est outré par cette expression !
Je me demande même si je ne vais pas vous traîner devant les tribunaux, vous mener la vie dure, vous empêcher de dormir, bref vous rendre la vie impossible...
En attendant, n'était que moi, je lancerais bien un (faux) buzz là-dessus...
Cordialement et bonne après-midi.
MOI JE aime beaucoup les vaches.
RépondreSupprimerJe suis partisan du nucléaire, mais il faut reconnaître que le stock d'uranium disponible. Et avant que le projet ITER (production d'énergie par fusion nucléaire, donc plus besoin d'uranium, c'est à dire indépendance énergétique totale) se concrétise il va falloir du temps.
RépondreSupprimerMais sur le fond, oui les éoliennes sont affreuses :)
C'est bon, Carine, on a compris, vous draguez Georges, très bien, mais ne rameutez pas, par pitié, les vaches dans ce bourbier !
RépondreSupprimerIl faut absolument réhabiliter nos vaches. Et je ne parle pas des vaches sacrées et autres exotismes vénérables, je parle bien de nos vaches normandes, savoyardes, bretonnes, limousines, tarentaises, montbéliardes, charolaises, gasconnes, aquitaines, etc. Rien de plus amical et doux qu'une vache, et si bien accordée à nos paysages.
RépondreSupprimerAbsolument, absolument.
RépondreSupprimerEt nos cochons ! N'oublions pas nos cochons ! Ah ! Le Noir de Bigorre !
RépondreSupprimer@Beuche:
RépondreSupprimerComment ça dans ce bourbier?
Pourquoi pas ce cloaque, pendant que vous y êtes?
Elle nie le bourbier, mais elle ne nie pas la drague.
RépondreSupprimerBeuche a visé juste.
@Georges et Beuche:
RépondreSupprimerouéééééééé vive TOUTES les vaches bien de chez nous et d'ailleurs!
MOI JE aime beaucoup le cochon aussi! vivant, cru et cuit. Sous toutes ses formes.
Sauf dans les porcheries qui puent. Faut les laisser courir ces ptites bêtes. Faut les lâcher dans les banlieues même, rien que pour voir la fuite éperdue. A chaque bus son cochon prêt à mordre. Rangez vos CRS.
Christophe : non, non, vous ne pouvez rien contre moi, dans la mesure où j'ai moi-même eu un cancer ! Donc, j'ai droit aux plaisanteries douteuses sur le sujet ! Toujours le principe de la blague antisémite faite par un juif, quoi...
RépondreSupprimerSinon, pour ce qui est des vaches, je voudrais qu'on n'oublie pas les Auvergnates, avec leurs grandes cornes recourbées, leurs yeux absolument magnifiques, et leurs entrecôtes de Salers.
Pour le cochon, ma préférence ira à l'Espagnol qui donne de si sublimes jambons.
« Pour le cochon, ma préférence ira à l'Espagnol qui donne de si sublimes jambons. »
RépondreSupprimerBouh le traître à sa patrie ! Vous n'avez jamais dû goûter un jambon de Bigorre vous pour dire ça ! (même si je vous accorde qu'un pata negra estexcellent).
C'est vrai ça.
RépondreSupprimerChez Gemmey et Loréal, ils prennent n'importe quelle greluche à faux cils pour faire la pub des cosmétiques. Ils n'ont jamais pensé aux cils des vaches pour la longueur, la couleur et la courbure?
Beuche, couché!
Jusqu'à reprendre les expressions de l'objet de son désir... Elle est addict du Georges la Carine !
RépondreSupprimerAh bon? Quelle expression?
RépondreSupprimerEt le cochon corse ! On voit que vous ne le connaissez pas pour proférer ces énormités !
RépondreSupprimerMais excusez-moi, je ne vois pas très bien comment l'on peut sérieusement comparer un cochon et une vache. J'avais une vache, à dix ans, qui était mon amie la plus chère, et je me voix mal caressant de la même manière un cochon, fut-il corse !
D'accord avec Carine, lâchons des milliers de cochons en banlieue, qu'ils nous débarrassent de cette puanteur !
Beuchy, tu te poses un peu là, hein, quand il s'agit de reprendre les expressions de tes sujets du désir…
RépondreSupprimerManque pas d'air celui-là !
L'expression : des yeux de vaches, pour dénigrer le regard d'une femme, m'a toujours paru extrêmement insultant… pour les vaches.
RépondreSupprimerC'est comme les yeux de merlans frits pour les hommes.
RépondreSupprimerUn peu de patience, Beuche, je sens que ça va mal finir^^
Ah ben, si on en est à s'élever contre la stigmatisation des merlans frits, alors...
RépondreSupprimerOn ne peut pas s'identifier à un merlan. Alors que je m'identifie très facilement à une vache, et même à une très vache.
RépondreSupprimerCarine, je suis un homme faible, vieux, fatigué, gentil, tolérant, aimable, sympa et ouvert.
RépondreSupprimerGeorges:
RépondreSupprimerC'est bin vrai ça!
Je suis tout le contraire!
Zut, c'est dommage!
V'là qu'il nous refait le coup du pôv'vieux fatigué prêt à se faire consoler...
RépondreSupprimerJ'y peux rien si ça marche à tous les coups…
RépondreSupprimerEn plein dans le sujet:
RépondreSupprimerhttp://www.rue89.com/planete89/2010/04/30/fervent-adepte-des-energies-renouvelables-je-suis-devenu-anti-eolien-149575
H : très intéressant, ce garçon ! C'est le moderne déchiré et en lutte contre lui-même...
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