Car en effet, c'était elle : Olympe, l'auteur de l'appel téléphonique d'hier matin. On se souvient que le héros de ce blog était alors immédiatement parti faire provision de boissons-qui-font-parler-et-rire, afin d'accueillir comme il se doit cette grande figure de la blogosphère féministe. – J'avais opté pour divers vins blancs secs, une association bourguigno-ligérienne du meilleur effet.
Et puis, comme Charlot dans La Ruée vers l'or, nous avons attendu jusqu'au petit matin, l'œil triste et les épaules affaissées, rejouant mécaniquement la danse des petits pains, mais Olympe n'est pas venue. On a fini par s'endormir, aux primes lueurs d'une aube grise et sale...
Et puis, ce matin, vers dix heures, appel d'icelle, nous annonçant sa survenue aux environs de midi. Joie ! Et course jusqu'à Pacy, afin de compléter notre attirail de réception par une bouteille de Saumur-Champigny rouge et d'un saucisson sec basque.
Finalement, elle est bien venue, sans Plafond de verre discernable au-dessus de sa tête – pas d'auréole non plus, normale et souriante. On a aussitôt débouché les flacons, et je puis vous assurer que le cochon noir du Pays Basque n'est pas mort en vain, non plus que les cornichons Malossol qui l'accompagnaient dans une joyeuse farandole multiculturelle.
La première demi-heure de conversation a été un peu curieuse, dans la mesure où la dame, à chacune de nos questions, posait le même préambule : « Mais vous n'allez pas le raconter sur votre blog ? » Au bout de ma douzième assurance négative, elle a eu l'air de me croire. Et, de fait, vous ne saurez rien de ce qu'on a pu se dire – pourtant, on vous a tous massacrés avec un entrain et une méchanceté qui faisaient plaisir à voir, comme vous devez vous en douter.
Ensuite, Madame Olympe est partie pour son déjeuner, cependant que nous restions pour le nôtre. Et la vie normale a repris tranquillement son cours.
Et puis, comme Charlot dans La Ruée vers l'or, nous avons attendu jusqu'au petit matin, l'œil triste et les épaules affaissées, rejouant mécaniquement la danse des petits pains, mais Olympe n'est pas venue. On a fini par s'endormir, aux primes lueurs d'une aube grise et sale...
Et puis, ce matin, vers dix heures, appel d'icelle, nous annonçant sa survenue aux environs de midi. Joie ! Et course jusqu'à Pacy, afin de compléter notre attirail de réception par une bouteille de Saumur-Champigny rouge et d'un saucisson sec basque.
Finalement, elle est bien venue, sans Plafond de verre discernable au-dessus de sa tête – pas d'auréole non plus, normale et souriante. On a aussitôt débouché les flacons, et je puis vous assurer que le cochon noir du Pays Basque n'est pas mort en vain, non plus que les cornichons Malossol qui l'accompagnaient dans une joyeuse farandole multiculturelle.
La première demi-heure de conversation a été un peu curieuse, dans la mesure où la dame, à chacune de nos questions, posait le même préambule : « Mais vous n'allez pas le raconter sur votre blog ? » Au bout de ma douzième assurance négative, elle a eu l'air de me croire. Et, de fait, vous ne saurez rien de ce qu'on a pu se dire – pourtant, on vous a tous massacrés avec un entrain et une méchanceté qui faisaient plaisir à voir, comme vous devez vous en douter.
Ensuite, Madame Olympe est partie pour son déjeuner, cependant que nous restions pour le nôtre. Et la vie normale a repris tranquillement son cours.
Moi, si on me pose un lapin le samedi 1er mai, sans me prévenir par un tout petit coup de fil ou de transmission de pensée, si on me laisse attendre jusqu'à l'aube sale, je ne suis pas disponible le dimanche. Cash!
RépondreSupprimerMais j'ai très mauvais esprit et je n'ai pas la bonté bonne. Et c'est pour ça que je ne suis jamais devenue votre amie.
Moi, quand j'écris …. je commence pas par " moi,je" … ou presque ;-))
RépondreSupprimerCarine : j'ai "un tout petit peu" mis en scène, tout de même...
RépondreSupprimerGeargies : moi je non plus.
RépondreSupprimerBon d'accord mais elle baise comment ?
RépondreSupprimerElle n'a pas dit "moi, je" la dame, elle a seulement dit "moi".
RépondreSupprimerJe n'ai pas la bonté bonne et je ne suis aucune bienséance épistolaire non plus. Faut que je remplace le "je" par quoi?
J'adore les remarques de gens qui ne parlent que d'eux et qui viennent dire ce genre de truc. Hein Geargies?
Vous me mettez de très méchante humeur.
Et de toute façon, c'est Didier et Catherine que ça regarde!
RépondreSupprimerMoi je m'en fous complètement, je n'ai pas attendu en vain. C'est juste une réaction à fleur de peau dont tout le monde se tape. Donc admettons que la dame n'ait rien dit.
Carine, je vous signale que vous parlez toute seule là : les autres sont couchés, tentant de récupérer de leur déjeuner dominical avant l'apéral vespéro.
RépondreSupprimerC'est la luuuuuuuuuuute finaaaaaaaaaaaaaaale !
RépondreSupprimerAh, non, pardon : Georges vient de rouvrir un œil.
RépondreSupprimerTout ça pour une féministe...
RépondreSupprimerT'as raison, Beuchy, encore ce serait une hoministe…
RépondreSupprimerMieux : une masculiniste !
RépondreSupprimerOu le top : une beuchienne.
Les Beuchiennes, on peut pas leur faire confiance. Je les connais, t'as le dos tourné et paf, elles pissent contre un arbre.
RépondreSupprimerLa pov'krine!!! Si vous saviez!! Bon c'est l'heure, effectivement, du café postprendial…
RépondreSupprimerT'as fini de nous causer arabe, toi ?!
RépondreSupprimerVive Olympe, quoi !
RépondreSupprimerComme vous vous êtes engagé à ne rien raconter de cette rencontre au sommet sur votre blog, en l'espèce celui-ci, j'attends donc avec une fébrile impatience la livraison de votre journal de mai.
RépondreSupprimerUn Didier Goux qui rencontre une féministe, ça a de quoi attiser les curiosités, c'est certain...
RépondreSupprimerCe serait un peu comme un ondiniste qui rencontrerait une Beuchienne, ou un Camusien qui rencontrerait un Sollersien ?
RépondreSupprimerElle est bavarde? Je suis sûre qu'elle est bavarde.
RépondreSupprimerFloréal : moins que vous ! Mais bon, pas muette non plus...
RépondreSupprimerPire que ça, Georges, pire que ça !
RépondreSupprimermerci pour le moment et le saucisson
RépondreSupprimerAttention quand même à ce que vous dites, vous êtes, je vous le rappelle, chez Didier Goux.
RépondreSupprimerOlympe : il en reste ! (Du saucisson.)
RépondreSupprimerChieuvrou : mais comment faites-vous pour vous rappeler tout ça ?
Chieuvrou: mordelol !
RépondreSupprimerChieuvrou, maintenant que vous le dites : saucisson et cornichons....
RépondreSupprimer« Chieuvrou : mais comment faites-vous pour vous rappeler tout ça ? »
RépondreSupprimerMais... Mais... M'sieur Goux... Ne m'avez-vous point nommé naguère historiographe officiel de ce blogue ?
Ne me dites pas que c'était pour du beurre.
Chieuvrou : certes, certes ! mais je n'aurais jamais pensé que vous pourriez être aussi efficace !
RépondreSupprimerAh, le saussiflard, putain qu'elle invention !
RépondreSupprimer« je n'aurais jamais pensé que vous pourriez être aussi efficace »
RépondreSupprimerEnfin, voyons, porcini nihil a me alienum puto, comme tout un chacun, ou presque.