Pour Liszt, essayez encore les "années de pélerinage". Si vous n'accrochez pas à cela, vous pourrez définitivement laisser tomber... (Georges, je vous merde).
La lecture de votre journal m'est de plus en plus agréable, je dois dire, sans doute parce que j'y apparais enfin, ou en fin... J'ajoute que je suis passablement flatté de vous avoir, fort involontairement, et bien indirectement, inspiré le titre de ce Janvier 2011, très poétique au demeurant, si on ne pense qu'aux guerrières mythologiques. Et bravo pour le moral de guerrier, sur le front tabacologique.
Tiens je croyais avoir laissé un mot? je l'ai lu ce ouikenne: moi aussi j'ai arrêté de fumer et moi aussi j'ai pris 6/8 kilos... et moi aussi je suis au régime..; etc.. et le reste aussi.. on dirait des nouvelles d'un cousin d'une branche éloignée... Geargies.
Ah, quand même !
RépondreSupprimerJe me précipite dès ce soir, mais j'attends aussi une mise à jour pour la Meute des gâteux, scrogneugneu !!!
Bonne soirée.
Estelle92
Pour Liszt, essayez encore les "années de pélerinage". Si vous n'accrochez pas à cela, vous pourrez définitivement laisser tomber... (Georges, je vous merde).
RépondreSupprimerLa lecture de votre journal m'est de plus en plus agréable, je dois dire, sans doute parce que j'y apparais enfin, ou en fin... J'ajoute que je suis passablement flatté de vous avoir, fort involontairement, et bien indirectement, inspiré le titre de ce Janvier 2011, très poétique au demeurant, si on ne pense qu'aux guerrières mythologiques. Et bravo pour le moral de guerrier, sur le front tabacologique.
RépondreSupprimertrès bon cru !
RépondreSupprimermerci !
Tiens je croyais avoir laissé un mot? je l'ai lu ce ouikenne: moi aussi j'ai arrêté de fumer et moi aussi j'ai pris 6/8 kilos... et moi aussi je suis au régime..; etc.. et le reste aussi.. on dirait des nouvelles d'un cousin d'une branche éloignée... Geargies.
RépondreSupprimerEstelle : ben quoi, je suis même en avance d'une journée !
RépondreSupprimerK2R : oh mais je ne renonce pas ! Un peu con mais très obstiné, l'écrivain en bâtiment…
Bertrand Labarre : C'est à moi de vous remercier : j'ai toujours un peu de mal, avec les titres de ce journal.
Artémise : espérons qu'il ne madérisera pas trop vite…
Geargies : nous voilà vous et moi condamnés à ne pas refumer, sous peine de passer pour une chiffe par rapport à l'autre !
Mes pensées vont vers les vôtres, cher Didier, quelque part dans les Ardennes.
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