En Égypte, l'armée reprend les rênes du pouvoir, lâchées bien à contrecœur par le camarade Moubarak.
En France, les gauchistes exultent de cette grande et merveilleuse victoire du peuple égyptien, de l'aube nouvelle qui se lève à l'Orient.
Un détail m'aurait-il échappé ? C'est moi ou ils deviennent tous fous ?
En France, les gauchistes exultent de cette grande et merveilleuse victoire du peuple égyptien, de l'aube nouvelle qui se lève à l'Orient.
Un détail m'aurait-il échappé ? C'est moi ou ils deviennent tous fous ?
Mais ils ont toujours adoré les militaires...
RépondreSupprimerJe confirme, ils sont tous fous, les gauchisss et ceux qui les soutiennent.
RépondreSupprimerC'est beau une manifestation qui se met le cul en l'air à heures fixes…
Cela dit, Moubarak s'est fait un beau pécule, il peut prendre sa retraite.
Au suivant !
Moi j'ai Thalassa.
L'armée ? l'a-t-elle seulement perdu un instant le pouvoir ?
RépondreSupprimerVous n’êtes pas fou mais vous vous laissez influencer par l’histoire officielle conchiant l’armée en général et française en particulier (mutins de 1917, cocos de 39-40, Indochine, salle guerre d’Algérie, Vie-Nam, etc.)
RépondreSupprimerLes gauchiasses n’ont rien en soi contre l’armée (sous réserve d’y échapper…) Il suffit qu’ils la croient au service de l’empire du Bien (chœurs de l’Armée Rouge, tanks à Budapest, portugaise aux œillets, etc.)
Hier l’Armée rouge, demain l’armée verte…
Ce qui est curieux, c'est qu'ils ne voient pas la CIA derrière les casques...
RépondreSupprimerEnfin bref.
Dans l'absolu c'est beau un peuple qui se libère d'une dictature non ? J'ai connu cette fièvre, la joie partout c'est communicatif ... en Egypte, faut pas se faire de polar, des militaires remplacent des militaires.
RépondreSupprimerOn voit surtout que cela vous dérange que des Arabes aient une prétention à la liberté et à la démocratie et qu'ils réussissent à l'obtenir sur leur seule volonté populaire.
RépondreSupprimerCe qu'en pensent ici en France, les gens de droite ou les gauchistes n'a rien à voir.
Les Égyptiens n'ont pas eu besoin des Occidentaux pour se libérer.Et des musulmans non plus.Ce n'est pas dans vos schémas de pensées, alors ça vous ennuie.
Et s'il y a une passion des militaires c'est, je pense, à moins que je ne me trompe, plutôt dans les rangs de la droite qu'on la trouve.
Il y a dans votre réflexion comme un parfum de contre révolution, mais bon ce n'est pas anormal, vous êtes dans votre rôle de réactionnaire.
Moi dès que la liberté pointe son nez là où elle n'était pas, je me réjouis, même si son chemin n'est pas facile.Vous n'avez pas, je suppose, la même façon de penser.
Vous vous plantez complètement Pierre. J'ai déjà connu un peuple libéré après 8 années de guerre, le jour dit, cela a été une explosion. Juste avant l'heure prévue, un silence énorme, pas un pépiement d'oiseau, rien pas un souffle, c'était grandiose, puis un ronflement commence, enfle, retenti comme le tonnerre et continue ... ce ronflement c'étaient les milliers de pieds qui s'abattaient sur la terre, LEUR terre.
RépondreSupprimerAprès, c'est de l'histoire.
"On voit surtout que cela vous dérange que des Arabes aient une prétention à la liberté et à la démocratie et qu'ils réussissent à l'obtenir sur leur seule volonté populaire."
RépondreSupprimerAhahah, encore un siphoné de plus. C'est quoi la prochaine étape, vous allez dire que Didier torture des bébés musulmans dans sa cave ?
Les égyptiens seront démocrates quand ils cesseront de persécuter les Coptes....
RépondreSupprimerGeargies.
"ils réussissent à l'obtenir sur leur seule volonté populaire."
RépondreSupprimerEt oui ! Comme les Iraniens, si joyeux d'avoir viré le shah, il y a une quarantaine d'années...
Ils n'ont obtenu aucune liberté : ils ont viré Moubarak. A voir leurs tronches hurlantes et les femmes se réjouir de la "liberté", la tête enfermée dans leur grotesque chiffon, on est incité à une certaine prudence, sans avoir besoin pour ça de "schémas de pensée"...
Contrairement à des Pierre qui ne voient que ce qu'ils veulent voir.
La Pecnaude : mon commentaire a succédé au votre mais n'y répondait pas, je jugeais simplement les mots de Didier Goux et je spéculais sur sa façon d'observer les événements, lui et les commentateurs affidés qui le suivent.
RépondreSupprimerRien en effet n'est accompli dans ce pays, il reste beaucoup à faire, et l'armée est l'épée de Damoclès qui pèse sur l'Egypte,(pas seulement sur l'Égypte d'ailleurs,les prétoriens ont toujours tendance, hélas, à se mêler, de ce affaires-là) mais son premier mouvement, plutôt favorable à la rue au long des événements, est porteur d'espérances.
En tout cas je reste admiratif devant des populations qui se sont soulevés malgré de graves dangers, et je crois que vu ce qu'elles ont affronté, elles seront vigilantes, à ce qu'on ne leur vole pas leur révolution.
Ici sur ce blog, en général, on semble plutôt attendre avec impatience,les effets sanglants d'une contre révolution.
Un ronflement de pieds ? Dans quel pays les pieds ronflent-ils ?
RépondreSupprimerDecidément, ces étrangers ne sont pas comme nous.
"Ici sur ce blog, en général, on semble plutôt attendre avec impatience,les effets sanglants d'une contre révolution."
RépondreSupprimerCe qui est magnifique avec le gauchiste, c'est qu'il visualise toujours la personne en face comme un monstre sanguinaire. Je pense que personne n'a remis en cause la corruption et les dérives de Moubarak (et de son régime), qui devait sûrement dégager, mais il ne semble pas importun de s'interroger sur l'avenir de cette révolution, quand on voit que le pays est de plus en plus islamique depuis quelques décennies, que le pouvoir négocie maintenant avec les Frères Musulmans, etc.
Si l'on n'est pas dans un état d'émerveillement béat devant un mouvement de révolte, le gauchiste pense que notre âme est pourrie. Relativiser, il connait pas. Trop dur, trop contraignant, trop rationnel. Pas assez pur, sauvage. Et il en tire les conclusions qui s'imposent : on espère secrètement que le pays plonge et que les gens se massacrent entre eux. Encore une fois, aucune demi-mesure, Hitler is everywhere.
En 1974, les mêmes se réjouissaient que les Grecs fussent libérés des militaires;
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