La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
mercredi 23 février 2011
Contre Stéphane Hessel : pas encore lu mais dûment commandé !
On en reparlera à partir du cinq mars (mais on en parle déjà ailleurs), puisqu'à cette date ce prometteur petit opuscule devrait être arrivé chez moi – et donc lu aussitôt. Mais vous n'êtes pas obligés de m'attendre pour l'acheter…
fredi maque a dit... Anonyme a dit... Le mieux serait peut-être de le lire avant d'en parler.
Le lire ? Mais j'ai déjà l'impression de le connaître par coeur le missel du père Hessel. Je crois bien, je suis même sûr, qu'il a des apôtres un peu partout sur les ondes et dans la presse et qu'à chaque fois que j'ouvre ma radio ou un journal je tombe sur l'un d'eux. Alors même à 3 euros, non merci.
XP a dit... "Le mieux serait peut-être de le lire avant d'en parler"
Si on y réflechit un peu, on réalise que ça doit àtre impossible de laisser sur un blog un commentaire plus nul, plus boursouflé et plus inutile que celui-là. Comme s'il était utile de lire le trac de cet Hessel pour savoir ce qu'il y a dedans et les raisons pour laquelle tous les neneux se sont jettés dessus. Comme s'il fallait encore lire en 2010 Stéphane Hessel pour savoir ce qu'il a à dire.
Si, si XP ! Vous voyez bien ! On peut même en faire un billet.
Didier, on se doute bien que les "indignations" de Hessel sont très sélectives… très orientées et très bien-pensante comme il faut… ce qui explique cet immense succès auprès de médias qui raffolent de ce genre de liturgie… Il faut espérer que l'anti-thèse fasse moins "Révolutionnaire mondain"… Quant à la synthèse… et la conclusion, n'en parlons même pas…
Non. Fredi ne dit et ne dira plus rien (à part ça bien sûr) sur les blogs. Il y a renoncé. Trop d'incompréhension, de bêtises (dont les miennes) d'inutiles animosités. Si je les parcours encore, c'est avec détachement, un salutaire recul.
Laissez tomber un instant Hessel and co... Le cinquième tome de "L'Oeuvre des mers, d'Eugène Nicole", vient de paraître. Et la dame* qui en parlait hier matin dans "Les matins de France Culture" n'avait pas le quart du tiers du talent de Didier pour inciter à cette lecture...
Le titre est excellent. Ca donne envie de le lire ostensiblement dans les transports en commun, ou mieux, dans une salle des profs dans un lycée quelconque. D'un autre côté je suis tellement persuadé que lire Hessel est une totale perte de temps (que je ne me suis pas infligé) que j'hésite un peu à lire une réponse, même amusante.
« Pierre : il y a tout de même des moments où vous abusez du droit à la connerie, je trouve. »
Sans vouloir éructer inutilement, ni vous contredire à plaisir, Didier Goux, le bon Pierre est en train d'édifier sa propre statue (et l'on peut affirmer sans crainte d'être démenti qu'il est vaillant et dur à la tâche), et de concourir pour le Grand Prix de l'Authentique Connerie qu'il dispute ici avec quelques uns de vos éminents commentateurs. Il serait donc tout à fait déplacé et d'une ingratitude crasse que vous tentiez de le dissuader de poursuivre l'œuvre en cours.
Moi, il m'en est arrivé une sévère : j'ai une collègue, pas désagréable, pas mal foutue (ce qui ne gâche rien), un peu jeune probablement (ou c'est moi qui suis un peu vieux).
Certes, je me doutais qu'elle n'est pas de droite, mais je la tenais cependant dans une certaine estime.
Et ne voilà-t-il pas que je zyeute hier matin sur son bureau l'œuvre majeure du géronte gauchiste.
Elle pouvait bien se défendre que ce n'était qu'un prêt du recordman du service en bornitude gauchiste.
Comme un tel prêt doit se refuser avec un sourire ironique disant à peu près «Pauvre vieux, je ne savais pas que tu en étais là», elle est descendue de plusieurs crans dans mon estime.
Je vais vous faire une confidence Georges, vous qui jouez au détaché absolu, au cynique, vous êtes d'un "prévisible" incroyable, ma note sur Renaud Camus était en partie destinée à vous faire réagir. Vous voulez que je vous dise, vous en ferez ce que vous voudrez, j'ai été un grand lecteur de Renaud Camus et maintenant je trouve qu'il radote, s'encroute, écoute exclusivement grincer les portes d'hôtel et hurler les aspirateurs dans les couloirs, c'est peu pour faire une œuvre. Donc je réprouve complètement ce qu'il est devenu: un journaliste de faits divers avariés et sélectionnés pour leur sectarisme diviseur et j'imagine que son pamphlet anti Hessel (je vais faire comme tous ici parlant de Hessel sans le lire)est du niveau de ses derniers journaux.On peut donc aussi bien passer sans s'arrêter.
Bonjour Emma, C'est tout ce que vous rajoutez au dossier! Sinon vos sempiternelles félicitations à Didier, sans aucune distance critique. Vous devriez co-signer en tête de blog, lu et approuvé sans lire, à quoi bon, les notes qu'envoie Didier, ça vous éviterait tout travail de flagornerie.
Vous répondre sérieusement, Pierre, serait pour moi le signe le plus patent de la folie caractérisée. Vous avez cependant raison sur un point, le fait que vous colportiez des ragots imbéciles sur Renaud Camus n'a aucune importance ; ce faisant vous ne faites que parler de vous.
Eh bien écoutez M.Georges, puisque vous parlez de "ragots imbéciles", je vous invite à lire le journal de décembre ou de novembre(à vérifier)de Didier Goux où il n'est pas loin de penser comme moi, quelqu'un de proche de lui,très proche, lui glissant même à l'oreille que son propre journal est supérieur à celui de Camus.
Ne disposant plus de compte Google, je ne peux plus répondre à certains blogueurs ou blogueuses. Je fais donc le choix définitif de ne plus fréquenter leurs blogs. Merci de faire passer.
@ fboizard : las! Il aurait fallu que vous intervenassiez!! Mais point trop tard ce n'est ! Offrez lui l'opuscule deusse de la dispute! Engagez un dialogue! Proposez l'exegese comparée! Et faites tomber la forteresse ... et narrez nous le bazar qu'on rigole .. ;-* Geargies.
C'est vrai Georges, vous avez de tels arguments que ce n'est pas la peine, en effet. Quelle alternative, aurais-je, pour discuter avec vous. Oui, c'est ça, vous avez deviné.
Mais de quoi parles-tu, abruti ? C'est toi qui as le front de parler d'"arguments", quand tu nous ressors sans y avoir mis le nez les ragots les plus éculés à propos de l'Affaire Camus de l'année 2000 ??? Pauvre type, c'est plus de la paresse mentale, là, c'est du handicap profond. J'ai les deux tomes de la Campagne de France dans ma bibliothèque, l'original et l'exemplaire expurgé. Pas un seul des mensonges de l'année 2000 ne résiste à cinq minutes d'examen, même superficiel. Tu le sais, ça ? Même les pires procureurs de l'année 2000 (mis à part l'irrécupérable Sylvain Bourmeau) ont rendu les armes, en douce ou ouvertement, reniant leurs affirmations d'alors, tu le sais, ça ? Et tu voudrais que je "discute" avec toi, que je t'oppose calmement des "arguments" rationnels, qu'on taille le bout de gras en buvant un graves ? Mais tu es fou, mon ami, si tu crois que ça en vaut la peine ! Au contraire, continue ta péroraison, je te l'ai déjà, tu ne parles en réalité que de toi, de tes fantasmes, de tes croyances, de ton catéchisme rance qui sans doute sert à te renvoyer une image réconfortante dans le beau miroir qui ne te quitte jamais.
À part ça, j'aimerais préciser que J'y crois pas ! n'a pas été écrit par Renaud Camus mais par Orimont Bolacre, un personnage réel bien que pseudonymé.
Thèse, anti-these, le titre de la synthèse sera "quand j'avance tu recules? " ;)
RépondreSupprimerOn peut (peut-être) en parler dès maintenant.
RépondreSupprimerfredi maque a dit...
Anonyme a dit...
Le mieux serait peut-être de le lire avant d'en parler.
Le lire ? Mais j'ai déjà l'impression de le connaître par coeur le missel du père Hessel. Je crois bien, je suis même sûr, qu'il a des apôtres un peu partout sur les ondes et dans la presse et qu'à chaque fois que j'ouvre ma radio ou un journal je tombe sur l'un d'eux.
Alors même à 3 euros, non merci.
XP a dit...
"Le mieux serait peut-être de le lire avant d'en parler"
Si on y réflechit un peu, on réalise que ça doit àtre impossible de laisser sur un blog un commentaire plus nul, plus boursouflé et plus inutile que celui-là. Comme s'il était utile de lire le trac de cet Hessel pour savoir ce qu'il y a dedans et les raisons pour laquelle tous les neneux se sont jettés dessus. Comme s'il fallait encore lire en 2010 Stéphane Hessel pour savoir ce qu'il a à dire.
Si, si XP ! Vous voyez bien ! On peut même en faire un billet.
Didier, on se doute bien que les "indignations" de Hessel sont très sélectives… très orientées et très bien-pensante comme il faut… ce qui explique cet immense succès auprès de médias qui raffolent de ce genre de liturgie…
RépondreSupprimerIl faut espérer que l'anti-thèse fasse moins "Révolutionnaire mondain"…
Quant à la synthèse…
et la conclusion, n'en parlons même pas…
C'est une constante chez Renaud Camus, il trouve que les Juifs s'expriment trop souvent. Serait-il repris par ses vieux démons?
RépondreSupprimerFidel : personnellement, je me suis proposé pour la prothèse.
RépondreSupprimerJulie : je pense que le petit livre de Bolacre a été fait pour marquer le coup, ou quelque chose comme ça. Attendons de l'avoir lu.
Pierre : il y a tout de même des moments où vous abusez du droit à la connerie, je trouve.
J’ai téléchargé illégalement (Un sou est un sou) le bouquin d’Hessel.
RépondreSupprimerpar contre celui là je l 'ai commandé hier.
@Marcel baîllonné
RépondreSupprimerNon.
Fredi ne dit et ne dira plus rien (à part ça bien sûr) sur les blogs.
Il y a renoncé. Trop d'incompréhension, de bêtises (dont les miennes) d'inutiles animosités.
Si je les parcours encore, c'est avec détachement, un salutaire recul.
Je me pose une question: est ce que Marcel a lu le billet de Didier? Pourquoi est ce que je ne comprends rien à ce qu'il raconte??
RépondreSupprimerGeargies
Laissez tomber un instant Hessel and co... Le cinquième tome de "L'Oeuvre des mers, d'Eugène Nicole", vient de paraître. Et la dame* qui en parlait hier matin dans "Les matins de France Culture" n'avait pas le quart du tiers du talent de Didier pour inciter à cette lecture...
RépondreSupprimer* L. Adler.
Le titre est excellent. Ca donne envie de le lire ostensiblement dans les transports en commun, ou mieux, dans une salle des profs dans un lycée quelconque. D'un autre côté je suis tellement persuadé que lire Hessel est une totale perte de temps (que je ne me suis pas infligé) que j'hésite un peu à lire une réponse, même amusante.
RépondreSupprimer« Pierre : il y a tout de même des moments où vous abusez du droit à la connerie, je trouve. »
RépondreSupprimerSans vouloir éructer inutilement, ni vous contredire à plaisir, Didier Goux, le bon Pierre est en train d'édifier sa propre statue (et l'on peut affirmer sans crainte d'être démenti qu'il est vaillant et dur à la tâche), et de concourir pour le Grand Prix de l'Authentique Connerie qu'il dispute ici avec quelques uns de vos éminents commentateurs. Il serait donc tout à fait déplacé et d'une ingratitude crasse que vous tentiez de le dissuader de poursuivre l'œuvre en cours.
Suzanne : vrai de vrai ? Alors, ça, c'est vraiment une bonne nouvelle, pour le coup !
RépondreSupprimerOui, mais alors, il est bien gentil, Eugène, mais apparemment, pour lire Un adieu au long cours, il faut racheter L'Œuvre des mers au complet !
RépondreSupprimerMoi, il m'en est arrivé une sévère : j'ai une collègue, pas désagréable, pas mal foutue (ce qui ne gâche rien), un peu jeune probablement (ou c'est moi qui suis un peu vieux).
RépondreSupprimerCertes, je me doutais qu'elle n'est pas de droite, mais je la tenais cependant dans une certaine estime.
Et ne voilà-t-il pas que je zyeute hier matin sur son bureau l'œuvre majeure du géronte gauchiste.
Elle pouvait bien se défendre que ce n'était qu'un prêt du recordman du service en bornitude gauchiste.
Comme un tel prêt doit se refuser avec un sourire ironique disant à peu près «Pauvre vieux, je ne savais pas que tu en étais là», elle est descendue de plusieurs crans dans mon estime.
Ma journée fut gâchée.
Maudit Hessel !
Je vais vous faire une confidence Georges, vous qui jouez au détaché absolu, au cynique, vous êtes d'un "prévisible" incroyable, ma note sur Renaud Camus était en partie destinée à vous faire réagir. Vous voulez que je vous dise, vous en ferez ce que vous voudrez, j'ai été un grand lecteur de Renaud Camus et maintenant je trouve qu'il radote, s'encroute, écoute exclusivement grincer les portes d'hôtel et hurler les aspirateurs dans les couloirs, c'est peu pour faire une œuvre. Donc je réprouve complètement ce qu'il est devenu: un journaliste de faits divers avariés et sélectionnés pour leur sectarisme diviseur et j'imagine que son pamphlet anti Hessel (je vais faire comme tous ici parlant de Hessel sans le lire)est du niveau de ses derniers journaux.On peut donc aussi bien passer sans s'arrêter.
RépondreSupprimerLe soi-disant attentif lecteur qui va répétant les anciennes âneries des bons journalistes bien-pensants et également non-lecteurs, vaï fori.
RépondreSupprimerBonjour Emma,
RépondreSupprimerC'est tout ce que vous rajoutez au dossier! Sinon vos sempiternelles félicitations à Didier, sans aucune distance critique.
Vous devriez co-signer en tête de blog, lu et approuvé sans lire, à quoi bon, les notes qu'envoie Didier, ça vous éviterait tout travail de flagornerie.
Georges :
RépondreSupprimerPierre a dit:
"ma note sur Renaud Camus était en partie destinée à vous faire réagir."
Na ! C'était pourtant un piège grossier !
Vous répondre sérieusement, Pierre, serait pour moi le signe le plus patent de la folie caractérisée. Vous avez cependant raison sur un point, le fait que vous colportiez des ragots imbéciles sur Renaud Camus n'a aucune importance ; ce faisant vous ne faites que parler de vous.
RépondreSupprimerEh bien écoutez M.Georges, puisque vous parlez de "ragots imbéciles", je vous invite à lire le journal de décembre ou de novembre(à vérifier)de Didier Goux où il n'est pas loin de penser comme moi, quelqu'un de proche de lui,très proche, lui glissant même à l'oreille que son propre journal est supérieur à celui de Camus.
RépondreSupprimer@eorges
RépondreSupprimerNe disposant plus de compte Google, je ne peux plus répondre à certains blogueurs ou blogueuses.
Je fais donc le choix définitif de ne plus fréquenter leurs blogs.
Merci de faire passer.
Avez-vous remarqué Didier ? Ma connection remarche !
RépondreSupprimerLu et approuvé, Pluton flagornitique ;)
T'es vraiment trop con, mon pauvre, je ne vais pas continuer à discuter avec toi.
RépondreSupprimer@ fboizard : las! Il aurait fallu que vous intervenassiez!! Mais point trop tard ce n'est ! Offrez lui l'opuscule deusse de la dispute! Engagez un dialogue! Proposez l'exegese comparée! Et faites tomber la forteresse ... et narrez nous le bazar qu'on rigole .. ;-* Geargies.
RépondreSupprimerC'est vrai Georges, vous avez de tels arguments que ce n'est pas la peine, en effet.
RépondreSupprimerQuelle alternative, aurais-je, pour discuter avec vous.
Oui, c'est ça, vous avez deviné.
Mais de quoi parles-tu, abruti ? C'est toi qui as le front de parler d'"arguments", quand tu nous ressors sans y avoir mis le nez les ragots les plus éculés à propos de l'Affaire Camus de l'année 2000 ??? Pauvre type, c'est plus de la paresse mentale, là, c'est du handicap profond. J'ai les deux tomes de la Campagne de France dans ma bibliothèque, l'original et l'exemplaire expurgé. Pas un seul des mensonges de l'année 2000 ne résiste à cinq minutes d'examen, même superficiel. Tu le sais, ça ? Même les pires procureurs de l'année 2000 (mis à part l'irrécupérable Sylvain Bourmeau) ont rendu les armes, en douce ou ouvertement, reniant leurs affirmations d'alors, tu le sais, ça ? Et tu voudrais que je "discute" avec toi, que je t'oppose calmement des "arguments" rationnels, qu'on taille le bout de gras en buvant un graves ? Mais tu es fou, mon ami, si tu crois que ça en vaut la peine ! Au contraire, continue ta péroraison, je te l'ai déjà, tu ne parles en réalité que de toi, de tes fantasmes, de tes croyances, de ton catéchisme rance qui sans doute sert à te renvoyer une image réconfortante dans le beau miroir qui ne te quitte jamais.
RépondreSupprimer@Georges : Merci !
RépondreSupprimerDe rien, ça me bémolise le cardon…
RépondreSupprimerJe lis "thèse, antithèse" et vous de rajouter "prothèse". Permettez-mo de rajouter pour cet argumentaire à la mords moi le noeud: foutaises!
RépondreSupprimerÀ part ça, j'aimerais préciser que J'y crois pas ! n'a pas été écrit par Renaud Camus mais par Orimont Bolacre, un personnage réel bien que pseudonymé.
RépondreSupprimer"Bémoliser le cardon."
RépondreSupprimerGnééé ?...
"Bémoliser le cardon."
RépondreSupprimerMais non : carboniser le bédon.
Pour la halde, le cran et autres douceurs: J'ai pas dit bédouin, hein !
Je m'adressais à Pluton qui je pense aura parfaitement compris mon expression.
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