dimanche 8 mars 2009

Entre les dents, la soutane, Monsieur l'abbé, entre les dents !

De François Miclo, dans le salon des Causeurs :

« À titre personnel, je suis favorable au mariage des prêtres. S'ils s'aiment. »

8 commentaires:

  1. Mais arrêtez Monsieur Goux !!! Vous glissez vers des idées progressistes !!! Ca va pas ou quoi ???

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  2. Chère herbe-qui-tue-et-néanmoins-socratique : on ne semble pas avoir exactement la même idée du progrès, vous et moi...

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  3. Je l'avoue. Mais ça ne nous empêchera pas de boire des coups le jour venu... ;-)

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  4. Le François Miclo en question aurait quand même dû employer les guillemets car il s'agit là d'une citation bien connue de Michel Colucci, alias Coluche (dont je ne sais toutefois s'il l'avait trouvée lui-même, Coluche ayant en effet ouvertement pompé – si vous me passez ce terme, en la circonstance – nombre de ses bons mots chez les uns ou les autres).

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  5. Il me semblait bien, qu'elle me disait quelque chose...

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  6. Ma petite sœur me souffle que l'auteur de ce bon mot serait en fait Louise de Vilmorin.

    Pas le temps de vérifier pour le moment, mais je regarderai ce soir ce qu'en dit ce bon Gougueule.

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  7. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  8. Après d'intenses recherches éreintantes, je n'ai pas trouvé confirmation sur le ouèbe de la paternité (de la maternité, devrais-je sans doute plutôt écrire) de la citation en question à Louise de Vilmorin. Il y est seulement indiqué qu'elle est l'auteur d'un « Aujourd'hui, il n'y a plus que les prêtres qui veulent se marier », qui, avouons-le, ne casse pas des briques.

    J'ai cependant lu ici ou qu'un certain Dave Allen (1936-2005), comédien irlandais inconnu au bataillon (au mien, en tout cas), serait en fait l'inventeur de la formule ("Should priests be allowed to marry ?" "Why not, if they love one another ?").

    À moins, évidemment, qu'il ne l'ait lui-même piquée à Coluche, qui, du coup, en redeviendrait le véritable auteur.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.