mercredi 4 mars 2009

Pour se foutre un peu la trouille avec la crise

C'est à lire ici.

(Et, pendant ce temps, on continue à gloser sur le sexe pouvoir d'achat des anges...)

5 commentaires:

  1. Depuis des millénaires il y a quatre ou cinq crises par siècle, pourquoi celle-ci serait la dernière ou la définitive? Sauf à vendre leur papier quitte à jouer ensuite au médecin tant pis, tant mieux.

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  2. Le texte ne dit pas (ou alors je n'ai rien compris) qu'elle serait définitive. Mais qu'elle allait mettre à bas l'ordre mondial issu de la dernière guerre. C'est différent.

    Cela étant, vous avez raison : les soi-disant experts...

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  3. Après la nuit des morts vivants, la fin du monde… Vous nous gâtez Didier!

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  4. Excitant, y a pas. Figurez-vous qu'on va se retrouver comme en 1913... La Belle Époque en vue, Morand, Léautaud ! J'ai hâte que ça nous arrive ! Mon père va renaître (en 1915). Colette, Joséphine Baker, Y a bon Banania ! Le Charleston, Stone et Charden ! Youpiiiiie !!!

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  5. Et on va pouvoir s'offrir une édition originale de Swann qui vient juste de sortir. Peut-être même, si on a la patience de faire le pied de grue devant le 102 boulevard Hausmann, qu'on pourra s'offrir une belle dédicace de tonton Marcel.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.