Merci Didier! Mais je me fais un peu l'effet du propriétaire d'une petite pension de famille dans une station balnéaire oubliée de tous, Ibiza des années soixante disons, qui voit brusquement affluer dans son modeste établissemnent les hordes teutonnes venues du froid. Pour illustrer la jolie photo de votre billet, je dirais qu'il s'agit de l'Aranui faisant escale dans la baie du Controleur (Taipivai) sur l'île de Nuku-Hiva. C'est dans cette baie que l'écrivain Melville a passé plusieurs mois,après avoir déserté du baleinier sur lequel il était matelot. L'aventure lui inspira le roman intitulé "Taipi", du nom de la tribu qui l'avait recueilli.
De toute façon, Manutara est à lire tout le temps...
RépondreSupprimerJe ne me suis jamais senti aussi imparfait...
RépondreSupprimerJouissif est le mot.
RépondreSupprimerMerci Didier.
Et visiblement, ce genre d'exemple met tout le monde d'accord. ;)
Dorham : on est d'accord.
RépondreSupprimerPluton : Ah ? moi, ce qui m'a surtout intéressé, dans ce billet, c'est le danger que j'ai senti, de me sentir "presque parfait"...
Evan : tout le monde, tout le monde : faut voir...
Vous êtes bien trop réboussié pour être un jour comme les Parfait. Je pense comme Dorham, c'est toujours bien chez Manutara.
RépondreSupprimerAh oui, c'est excellent !!
RépondreSupprimerMerci Didier! Mais je me fais un peu l'effet du propriétaire d'une petite pension de famille dans une station balnéaire oubliée de tous, Ibiza des années soixante disons, qui voit brusquement affluer dans son modeste établissemnent les hordes teutonnes venues du froid.
RépondreSupprimerPour illustrer la jolie photo de votre billet, je dirais qu'il s'agit de l'Aranui faisant escale dans la baie du Controleur (Taipivai) sur l'île de Nuku-Hiva. C'est dans cette baie que l'écrivain Melville a passé plusieurs mois,après avoir déserté du baleinier sur lequel il était matelot. L'aventure lui inspira le roman intitulé "Taipi", du nom de la tribu qui l'avait recueilli.