Con, probablement, je n'en ai jamais réellement douté, et ça fera plaisir à l'autre épouvantail momentanément gardois. Il n'empêche que, depuis ce matin, j'ai passé peu de temps à penser à autre chose qu'à Swann dans le petit enclos où je l'ai laissé vers neuf heures. Et ça m'ennuie un peu d'être aussi pleurnichard...
Didier vous savez que pour les écrivains dépressifs il y a la maison du lac à Rueil qui est très réputée c'est là où Courteline a fini sa vie de fêtard !
RépondreSupprimeriPidiblue et le Pontegombault des plumassiers.
Mille excuses ... c'est Georges Feydeau qui est mort à Rueil, Courteline y a passé deux ans dans la maison du lac étant en état de démence mais il est mort à Paris même.
RépondreSupprimeriPidiblue
le pauvre petit chien qui hurle à la mort avec des yeux de cocker atteint de cononctivite (je parle de vous là hein, pas de swann ... )
RépondreSupprimerca me rappelle cabot-caboche tiens...
Bon, vous avez pensé à prendre quelques bouteilles de Ricard en même temps que vos vêtements propres ?
RépondreSupprimerA moins que vous en achetiez un ersatz dans un supermarché pour les pauvres.
iPidiblue : je pense qu'elle m'irait bien, cette maison, qu'elle soit courtelinesque ou feydaliene...
RépondreSupprimerNef : je vous défends de parler de mes chiens ! J'ai failli m'arrêter ce soir récupérer Swann au chenil, passant devant. Et le pire c'est que, du coup, je n'arrête pas pas de penser à l'autre con de Balbec mort : a-t-on le droit d'être aussi stupide à l'âge que j'ai ?
(Oui, je sais que que vous n'en pouvez rien savoir...)
Nicolas II : j'ai arrêté le Ricard. Bêtement...
Didier,
RépondreSupprimerAllez chercher votre chien demain... Vraiment il ne pourra pas survivre la journée à la maison ? En plus il tiendra compagnie au carreleur !
Et sinon vous ne pouvez pas l'emmener au travail avec vous ?
ah ! c'est qu'il y a cette petite douceur secrête à "souffrir" de l'absence.
RépondreSupprimerVoici de quoi vous remonter le moral : un lien
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