Tout à l'heure, passant juste devant le chenil où Swann se trouve (là, je pense "emprisonné", ce qui est idiot), j'ai vraiment failli m'arrêter pour le récupérer. Qu'en aurais-je fais demain ? Et mercredi ? Voilà... Donc, j'ai continué ma route, en sachant qu'il était là, à une dizaine de mètres de cette route où je passais. Lui-même n'en savait rien, il ne reconnaissait pas le bruit du moteur de ma voiture passant si près de lui. Moi, oui. Je savais qu'il était là, bien traité évidemment, mais sans moi qui passais si près.
Ensuite, j'ai pensé à autre chose. C'est à dire à rien. Arrivant à la maison, il n'y avait pas de chien. Aucun. Maison morte. Je me suis - comme prévu - rapatrié dans la Case. J'ai branché l'ordinateur, mis de la musique (Brahms), me suis servi un verre, me suis assis dans un fauteuil de plein air (mais à l'intérieur). Et, l'absence de Swann aidant, je me suis mis à penser à Balblec - et encore maintenant. Je sais bien qu'il est idiot de penser à un chien mort. Mais ce n'est pas un chien mort.
Juste Balbec.
Ensuite, j'ai pensé à autre chose. C'est à dire à rien. Arrivant à la maison, il n'y avait pas de chien. Aucun. Maison morte. Je me suis - comme prévu - rapatrié dans la Case. J'ai branché l'ordinateur, mis de la musique (Brahms), me suis servi un verre, me suis assis dans un fauteuil de plein air (mais à l'intérieur). Et, l'absence de Swann aidant, je me suis mis à penser à Balblec - et encore maintenant. Je sais bien qu'il est idiot de penser à un chien mort. Mais ce n'est pas un chien mort.
Juste Balbec.
Allez, un ricard, une pute et dodo .... Pôv tiiit ... Bonne nuit et plein de becs.
RépondreSupprimerY a pas de Ricard !!! Et que de la bouffe de merde ! Grâce à qui ????
RépondreSupprimer(Cela dit, d'après ce que j'ai pu voir, la terrasse est déjà dallée aux trois quarts...)
Il y a de délicieuses sardines dans la cave à sardines.
RépondreSupprimerTrop tard : j'ai acheté de la bouffe de merde...
RépondreSupprimerJe vous aurais bien cité ce texte de Pierre Desproges dans lequel celui-ci confessait comment, par un soir esseulé où il n'avait rien d'autre à se mettre sous la dent qu'une boîte de corned-beef, une demi-baguette de pain mou et un litron de gros rouge des plus infâmes, il avait pris dans ce repas improvisé un plaisir insoupçonné et s'était du même coup souvenu d'un texte de François Cavanna avouant avoir connu l'extase dans la consommation d'une boîte de cassoulet froid lors d'un moment de grande solitude.
RépondreSupprimerJe n'en ferai rien, cependant, car je n'ai pas trop envie de vous voir de nouveau insulter mes idoles.
Catherine,
RépondreSupprimerDidier vit vraiment mal sans vous !
Didier,
Courage ! Plus que 9 jours !
@ Zoridae, il survivra ! C'est un HOMME, ça se plaint toujours ces grosses bêtes là. Et voyez, Manue lui a suggéré une bague Maubussin et il ne sait même pas ce que c'est ! Puf !
RépondreSupprimerAh je comprends mieux pourquoi Didier est maussade ! Du coup il vient se défouler chez moi en me parlant de déshonneur... (smiley !)
RépondreSupprimerPlus de femme, plus de chien, de la mauvaise bouffe, sauvons Didier Goux du désastre qui le guette !
RépondreSupprimer(enfin, la terrasse toute neuve, ca fera du bien !)
:-)
Je suis une idiote, je pense à ma chienne morte, qui n'est pas une chienne morte.
RépondreSupprimerPourquoi ne pas aller chercher votre pensionnaire le soir en rentrant, et le ramener le matin en partant ? Il n'a pas de permission de sortie signée par les parents ?
RépondreSupprimer