mardi 1 juillet 2008

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La liberté à laquelle aspire l'homme moderne n'est pas celle de l'homme libre, mais celle de l'esclave un jour de fête.

Comme un écho de Philippe Muray...

9 commentaires:

  1. Rhô, on dirait un sujet du bac sur la relativité de la liberté qu'on veut bien s'accorder !
    Quelle est la longueur de la laisse aujourd'hui ?
    :-)

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  2. Foule esclave, debout, debout .....

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  3. je reconnais que mon commentaire precedent est sans doute malvenu pour un article appartenant a la rebrique "reactionnaire authentique".... mais bon..... j'assume

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  4. C'est étonnant comme les deux penseurs sont d'accord, formule lapidaire chez Davila, et illustration féroce chez Muray.
    Félicitations pour votre succès chez nos voisins helvètes,

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  5. La liberté est une névrose comme une autre.

    Sigmund Freud ppc iPidiblue

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  6. Salu, moi je donne mon avi : chui esclave et JAIME CA !

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  7. Megane, connaissez-vous une @Maîtresse, stress et strass ? Suivez donc sa trace, elle ne doit pas être loin.

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  8. Bonjour Chère Emma, je connais bien la jeune Megan. C'est une personne pleine de bons sens, très frappadingue, qui a peu lu et qui écrit en céfran. Je vous promets de la prendre en main cet été pour vous la rendre nickel le 4 septembre.

    - N'est-ce pas Megan ?
    - Lâche-moi kim, c'est mort.

    Vous voyez déjà le progrès ? Aucune faute !

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  9. L'esclavage a trois phases : Maso-maso ; maso-sado ; Sado-sado.
    La phase "sado-maso" de l'esclave n'est qu'eschatologie. Quant à une vie de l'esclave démocrate sans Freud, c'est une lubie à réprimer d'urgence dans le sang.
    Ce commentaire est complètement con, mais je ne suis que prétendant à la première phase mentionnée ci-dessus.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.