Tout-à-l'heure, attendant le repas, au cours duquel l'Irremplaçable nous a servi ce qu'elle a appelé des "sushis en kit", entre quelques pages de Julian Barnes et un chapitre du Balzac de Curtius, j'ai eu l'idée de feuilleter le dernier numéro de Marie-Claire qui traînait sur la table basse du salon. Bien m'en a pris : j'y ai trouvé un scénario de Brigade mondaine quasiment tout fait, dans un reportage sur les "Love motels" qui font paraît-il fureur au Brésil. Il ne reste plus qu'à transposer en France, à corser un peu les sauces, à rajouter un meurtre ou deux, histoire que les flics ne se dérangent pas pour rien, et le tout sera ficelé pour le 15 mars.
Quelques pages plus loin, je tombai sur un entrefilet signalant l'existence, au Mexique, d'un "parc de loisirs" d'un genre nouveau, où sont recréées, pour les riches, les conditions exactes que doivent affronter les candidats à l'émigration clandestine aux États-Unis. Sur le plan moral, il y a sans doute à redire, mais je sens qu'on peut en tirer quelque chose. Surtout si on n'habite pas trop loin du Mexique (appel du pied discret...).
Bref, les affaires reprennent.
Quelques pages plus loin, je tombai sur un entrefilet signalant l'existence, au Mexique, d'un "parc de loisirs" d'un genre nouveau, où sont recréées, pour les riches, les conditions exactes que doivent affronter les candidats à l'émigration clandestine aux États-Unis. Sur le plan moral, il y a sans doute à redire, mais je sens qu'on peut en tirer quelque chose. Surtout si on n'habite pas trop loin du Mexique (appel du pied discret...).
Bref, les affaires reprennent.
Marie-Claire, vous lisez Marie-Claire;
RépondreSupprimerLà c'est clair, on vous perd.
Je ne le lis pas, Mélina : je le pille...
RépondreSupprimerAvouez : vous avez offert un abonnement à Catherine pour ne louper aucun numéro.
RépondreSupprimerMême pas. Je ne le lis pas non plus. À peine si je les feuillette quand Didier rapporte les journaux féminins à la maison.
RépondreSupprimerNicolas : je n'irais quand même pas jusqu'à payer pour ça...
RépondreSupprimerVas-y, bientôt ils vont dire que c'est Swann qui les achète.
RépondreSupprimerQuel Julian Barnes lisez-vous au fait ?
RépondreSupprimerBravo pour le scénario... Ne reste plus qu'à l'écrire...
Ça me rappelle l'histoire de Camille Laurens dont les personnages visitaient en bus le quart-monde...
RépondreSupprimerPas mal comme idée de scénario ce coup du Mexique. On rajoute un ou deux trucs sexuels, quelques flics (oups) et le tour est joué...
(Pas trop loin, pas trop loin... Quelque 4000km à vue d'oeil).
On jette l'hypermarché à la benne à recycler pour dans quelques mois ??
D'ici à ce que vous lisiez 'Gala', ou mieux encore, 'Voici'...
RépondreSupprimerMademoiselle Ciguë : mais je lis Voici, et également Gala ! Je vous rappelle que je travaille dans cette presse-là...
RépondreSupprimer