Dans tout juste une heure, la précieuse Nefisa débarquera du train de Paris, en gare de Vernon (Vernon, deux minutes d'arrêt ! Ce train desservira les gares de...), pour être notre hôte jusqu'à demain. Donc, probablement pas de billet aujourd'hui : vous pouvez reprendre une activité sensée – s'il en reste.
La pauvre...
RépondreSupprimerElle va vous aider fissa à rédiger votre prochain BM.
RépondreSupprimer— Laroche Migennes, Laroche Migennes, deux minutes d'arrêt ! *
RépondreSupprimer— Si la roche t'y gêne, t'as qu'à l'ôter !!!
(Avec l'accent bourguignon)
(*) J'ai entendu ça pendant deux ans, chaque semaine.
un dîner de famille, en quelque sorte.
RépondreSupprimerSuzanne vous ne croyez pas si bien dire, il m'a enfermé à double tour dans la case et je n'ai le droit de manger qu'à chaque nouveau chaptire rédigé. A la moitié il m'autorisera peut être à me laver...
RépondreSupprimerCatherine lui servira-t-elle la délicieuse terrine qu'elle nous avait fait??
RépondreSupprimerveinarde!
Cela me fait songer qu'il me faudrait ressortir mon exemplaire de "La Nef des Fous" de Sébastien Brant...
RépondreSupprimerPour abréger la torture de Nefisa, je lui offre un passage:
RépondreSupprimer... quand il ouvrit la lourde porte métallique, la fille rampa vers lui. Laisse-moi me laver, supplia-t-elle. Si tu ne veux pas me laisser aller prendre une douche, apporte-moi un seau d'eau et un savon. Juste un seau d'eau".
Il la scruta avec un mélange de mépris et de désir naissant. Cette fille, hier encore si fière, se tortillait à ses pieds. Ses seins blancs râclaient le sol malpropre. Il se demandait si , au fond, elle n'y prenait pas plaisir, comme toutes celles qu'il avait contraintes.
L'odeur rance et ammoniaquée de la cellule se répandit dans le couloir. Ecris encore dix pages, lui assena-t-il, une main sur la poignée de la porte et l'autre sur son entrejambe qui se bombait sous la caresse. On verra alors pour le seau d'eau.
Suzanne, c'est vous qui me semblez avoir besoin d'un seau d'eau !
RépondreSupprimerSinon, pété de lol...
Ah c'est bien le style!
RépondreSupprimerPourvu que les féministes ne lisent pas ça, Suzanne, sinon ça va saigner!
Carine, merci!
RépondreSupprimerDidier: un seau d'eau pour MOI ? Alors que le seul BM que j'ai lu était dix fois plus seau-d'eau-isable? C'est la Baltique qu'il faudrait vous envoyer par Canadairs à vous, alors!
Suzanne, génial, on s'y croirait vraiment LOL
RépondreSupprimerNefisa s'est déjà envolée ?
RépondreSupprimerOui, elle est repartie ce matin, quasiment aux aurores : elle avait un emploi du temps de ministre...
RépondreSupprimerCatherine: enfin une âme qui réponde à mon âme! merci à vous.
RépondreSupprimerSuzanne, voyons, je suis outrée.. et choquée même. (mon sein blanc ne traine pas encore au sol...) Sinon, oui, avec la complicité de catherine j'ai profité d'un vague assoupissement de mon bureau pour m'en retourner à Paname fricoter avec un demi-russe et un petit jaune suspect.
RépondreSupprimerNefisa: mais il ne s'agissait pas de vous, voyons.
RépondreSupprimerRappelons les faits: vous avez connu, par le biais du Net, un homme qui écrit à intervalles réguliers des romans d'une série que je ne nommerai pas, je ne suis pas une balance. Vous écrivez vous-même. Un jour, et sans que vous le sachiez, cet homme sans moralité aucune a recopié de très longs extraits de vos textes, et les a intégrés dans un de ses ouvrages. Alors que les ventes déclinaient, cet exemplaire là a cartonné à donf. Télérama s'est même fendu d'un billet "si vous n'avez rien de mieux à lire, voici une surprise dans la collection XYZ..". Evidemment, son esprit pervers a échafaudé un plan qui ne l'est pas moins. Il suffisait d'attirer l'innocente écrivaine dans son pavillon normand fortifié, et, avec l'aide de sa diabolique compagne, de vous forcer à écrire intégralement le roman suivant.
C'est bien le message de secours que vous adressiez dans le commentaire de 18h 16, non ?
Comme j'ai l'âme compatissante, je vous ai écrit un petit bout de texte à intégrer dans ce roman, pour que vous alliez vous laver plus vite. C'est tout. Géraldine viendra vous tirer de là, moi je n'ai pas le temps.
(Didier va dire que je n'ai pas seulement besoin d'un seau d'eau, mais d'une petite promenade en ambulance vers un lieu où l'on me parlera bien doucement)
RépondreSupprimerVous savez qu'il est fichu d'en faire un BM de votre petit scénario là, je serai vous j'irai immédiatement le breveter.
RépondreSupprimerEt à ce jour je n'ai encore jamais été citée ou copiée dans un BM. C'est l'apanage de Nicolas, moi je croise les doigts :)