Consultant il y a cinq minutes l'article de Wikipedia consacré à Jean Sibelius (pas de lien, débrouillez-vous), je suis tombé sur cette phrase qui me ravit :
Devenu alcoolique, il meurt en 1957 à l'âge de quatre-vingt-douze ans.
Si en plus il avait fumé, il aurait peut-être doublé le cap de la centaine, allez savoir. D'autre part, il est réconfortant de constater que ce Finnois était, lui aussi, comme nos sympathiques modernes, fan de Bach...
Chuis sûr que Corto74 est un fan de Bach, tiens (entre autres)…
RépondreSupprimerMais je vous assure, Didier, que Sibélius est un colosse qui vaut amplement le détour.
Je suis en plein dedans ! Si je puis dire...
RépondreSupprimer(Et je sens que je vais devenir méga-top client.)
Didier, je boycotte Wikipédia, cette nouvelle Encyclopédie pour nouvelles Lumières avec enfilades d'âneries, de mensonges, de raccourcis, de "silences"... Enfin bref.
RépondreSupprimerOr, comme vous semblez traîner là-dedans, pourriez-vous, s'il vous plaît, vous rendre à la page consacrée à Arthur Rubinstein afin de me renseigner si oui ou non le Maître était effectivement grand buveur de thé à la bergamote ? Vous comprenez, c'est capital.
(Sur Sibelius, je me souviens, il y a quelques mois, avoir écouté une très belle émission de Benoît Duteurtre à lui consacrée, mais impossible de mettre la main dessus.)
C'est bien la preuve que l'alcool tue lentement.
RépondreSupprimerEh ! oh ! faites vos commissions vous-même : j'ai un BM sur le gaz, moi !
RépondreSupprimerJ'aime Bach ! Je vénère Bach mais les glenneglouderies, pas trop ! Moi il me faut de la "Grandeuuuh Passacaille" et pas sur un harmonium de sous-préfecture !!!
RépondreSupprimerLe concerto pour violon de Sibelius est sublime, nordique, des steppes glacées sous vos pieds. On l'écoutera joué par Heifetz, dirigé par Bencham. Parce que !
Bien chef ! Mais le violon (solo, par opposition au quatuor) n'est pas mon instrument préféré...
RépondreSupprimerBencham ça doit être le cousin à Ben Chamal, du conservatoire de Perpignan ?
RépondreSupprimer@Georges
RépondreSupprimerOui, le conservatoire étant juste à coté de la gare de Perpignan
un Finnois ? ou un Finlandais ? bon, je chipote... sinonx, c'est bien connu que l'alcool conserve... hips... comme l'a déjà dit Nicolas (nous avons maintenant deux Comètes parallèles lui et moi : l'une au Kremlin, l'autre au Châtelet, je ne sais celle où l'on meurt le plus vite... ou, si l'on préfère, celle où l'on vit plus dangereusement). Smiley en passant.
RépondreSupprimerma grand mère disait " Les hommes comme les poires se conservent dans l'alcool et pourrissent par la queue" cqfd..
RépondreSupprimerSi vous la fibre nordique vous gagne, je me permets de vous conseiller de vous intéresser à Grieg (à moins que ce ne soit déja fait ?).
RépondreSupprimerAu delà du célèbre Peer Gÿnt, on peut mentionner le Concerto pour piano en la mineur, op. 16. On peut y trouver de lointaines similitudes avec les concerti pour piano de Rachmaninov, mais bon. Moi, ça ne me gène pas, au contraire.
Duga
Ah, Peer Gÿnt ! l'un des rares disques de musique qui se trouvaient chez mes parents. D'où, dans mon souvenir, un côté "scie" qu'il va falloir que j'oublie si je veux découvrir Grieg plus avant.
RépondreSupprimerAh, les concerti de Rakmanini, je les écoute en mangeant des panini…
RépondreSupprimer...sous les cameri des paparazzi...
RépondreSupprimerEt les concerti pour piani de Bach, vous êtes fan aussi ?
RépondreSupprimerSi.
RépondreSupprimerGeorges,
RépondreSupprimervos plaisanteries sont au niveau d'un collectionneur de vignettes Paganini.
Duga
Conni pas.
RépondreSupprimerPaletuvi rosi...
RépondreSupprimerGuillou jouait de Bach à St. Eustache tous les dimanches l'année dernière. A verifier et a se précipiter ( il fait frais dans St. Eustache ET c'est pour la messe)
Et Messiaen jouait tous les dimanches à la Trinité… Oui, c'était pas hier, je sais.
RépondreSupprimerGuillou, ce n'est pas lui qui a refusé la Légion d'honneur récemment ?