Sur l'autoroute, doublant une petite voiture :
Moi : Je déteste vraiment ces vitres fumées qui ne permettent pas de voir le conducteur ni les passagers !
Catherine : c'est une voiture-burka !
Moi : c'est exactement ça : un burcar...
Moi : Je déteste vraiment ces vitres fumées qui ne permettent pas de voir le conducteur ni les passagers !
Catherine : c'est une voiture-burka !
Moi : c'est exactement ça : un burcar...
Alors là!
RépondreSupprimerChapeau Monsieur et Madame Goux!(et réciproquement)
Excellent !
RépondreSupprimer:)
En 1989, vers trois heures du matin, rentrant à pied du XVIIIe arrondissement de Paris, où je venais de passer une délicieuse soirée chez ma jolie cousine et arrivant près de chez moi, Place des Vosges, mon regard fut attiré par une voiture garée dont les mouvements silencieux ne laissaient aucun doute sur ce qui se passait à l'intérieur. Je m'approchai, et restai quelques secondes à regarder le couple qui y faisait l'amour. La femme ne me voyait pas, mais l'homme, oui. Quand il m'aperçut, il me sourit, et continua son labeur. Après quelques instants, je poursuivis mon chemin, dans l'air parfumé et tiède de ce mois de juin, pour aller dormir, le cœur en paix et empli de gaieté.
RépondreSupprimerVitres teintées, non !
Génial! Sublimissime!
RépondreSupprimerVous savez Didier, je suis un adorateur (et un adepte) de ce genre de bagnole.
RépondreSupprimerAinsi, derrière de telles vitres, on peut pratiquer des choses très croustillantes et très intéressantes, sur une aire de repos par exemple, pendant que des abonnés aux pissotières et des mangeurs de casse-croûtes - dans le lot, n'en doutons guère, sûrement de très bons pères de famille... - font semblant de s'intéresser à la carrosserie tout en courbant le dos et en plissant les yeux - les cochons !
Bref, dehors la transparence à tous les niveaux et dans tous les domaines, et vive la burka - seulement dans certains cas, cela va sans dire.
A Megève (je suis feudataire pas très loin de là...), devant les boutiques de joailliers ou d’affriolants dessous, les burkas sortent toujours de gros 4x4 aux vitres toujours fumées.
RépondreSupprimerComme quoi la burka ne suffit pas !
Souhaitons qu’à force, les burcars finissent par devenir des bug-cars…
Ouais mais bon, être anonyme de temps à autre, lorsqu'on est la conductrice doubleuse affublée d'enfants qui tirent la langue à l'arrière, ça a du bon les vitres fumées, j'aimerais bien que la bétaillère en soit munie!
RépondreSupprimerCarine : c'est qui a commencé !
RépondreSupprimerVlad : merci bien.
Georges & Christophe Bohren : vos commentaires sont merveilleusement complémentaires...
Hermès : allons, allons...
Plouc : deux bâches valent mieux qu'une, donc.
Crevette : votre point de vue est à prendre en considération, en effet.
Non, je suis désolé, mais non !
RépondreSupprimerSi la merveilleuse femelle qui m'avait invité en Alsace avait eu des vitres teintées à sa voiture, je n'aurais jamais connu le plaisir inouï des cartes de géographies (mal) collées à la va-vite sur les vitres, dans un parking sur l'autoroute, et qui tombaient évidemment à tous les moments où il ne fallait surtout pas qu'elles tombent.
"En 1989, vers trois heures du matin, "
RépondreSupprimerGeorges, ils fêtaient le bi-centenaire.
"En 1989, vers trois heures du matin, "
RépondreSupprimerGeorges, ils fêtaient le bi-centenaire.
Ouais... si ça s'trouve il revenait du défilé Gould ! ^^
hu hu hu hu hu !
Plus savoureuse, la burcarensac.
RépondreSupprimerBlow up d' Antonioni dans le sac de couchage...
RépondreSupprimerUn qui aime baiser en voiture, l'autre que regarder réjouit. Ca vous fait quoi, Didier, d'être lu par des jeunes?
RépondreSupprimerc'est la forme chez les Goux ! (un seul point d'exclamation^^)
RépondreSupprimerbises amicales
Oui, on avait écouté Gould avec ma cousine, comment tu le sais, Pépé ?
RépondreSupprimerLe Pelicastre (c'est quoi un pélicastre?) dans son dernier billet (re)met en lien le rapport du MRAP sur les supposés sites racistes, islamophobes, déviants (ce seul qualificatif résumant tous les autres).
RépondreSupprimerEt, le saviez vous M. Goux, vous y figurez en bonne place.
Perso ça me troue le cul.
Autre chose: ca sert à quoi de commenter si le taulier ne dit ni oui ni non ni merde? Pendant que vous faisiez un salutaire nettoyage, vous auriez pu donner votre avis sur nos avis. Je pense bien sûr au précédent billet.
A Marseille, mauvais genre les vitres fumées, mafieux donc , à sulfater d'urgence...en plus, on ne voit pas ce qu'on dessoude !!
RépondreSupprimerSi vous parlez anglais, maintenant.
RépondreSupprimerTiens ! Georges ne serait-il qu'un voyeur ?
RépondreSupprimerFrasques d'Irrempe
RépondreSupprimerIrrempe sonne fort joliment. Comme un début de poème.
Fredi Maque : vous vous réveillez après la bagarre : tout le monde sait que je figure dans ce rapport !
RépondreSupprimerSinon, pour les commentaires, disons que mes trois jours de travail à Levallois ont fait que je me suis laissé dépasser et que je n'ai plus eu le courage de remonter la pente ensuite. Parfois, le blogueur est fatigué...
Pauvre Nicolas qui découvre la lune et l'eau chaude en même temps ! C'est affreux, non, d'être "un voyeur", hein, Nicolas ! Je vous donne les coordonnées de le gendarmerie la plus proche ou vous êtes capable de les chercher tout seul sur Internet ?
RépondreSupprimerA quoi carbure la burcar ?
RépondreSupprimerduga
Anonyme par essence
Il faudrait présenter Fredi Maque à Patrick Sansano.
RépondreSupprimerTiens, la modération des commentaires est revenue, hélas.
Burcar... Fallait y penser... Mais certains y voient plutôt une niqcar il me semble :-)
RépondreSupprimerOn ne présente pas un monument à un cornet de frites.
RépondreSupprimerOn ne présente pas un monument à un cornet de frites.
RépondreSupprimerIl a le sens de la formule Georges.
Mais qui est donc le citoyen Sansano que Suzanne me conseille de rencontrer? En quoi lui ai-je inspiré cette reflexion?
Vous ne déprimez pas trop, Monsieur Goux, du fait que certains de vos commentateurs-fans trouvent ce billet "génial"?
RépondreSupprimerMoi, j'ai des rideaux à toutes les fenêtres, chez moi. Voire même des stores, et , je vous l'avoue, des volets.
Je revendique la propriété intellectuelle de la première burquabitation.
Allez, à bientôt, les comiques!
Sébastien
J'ai trouvé, enfin, l'illustration qui me poursuit depuis ma tendre enfance, celle du coq qui chante les deux pieds dans la merde.
RépondreSupprimerCa m'est venu en lisant ce blog.
vous vous rendez compte que vous nourrissez en permanence les gens que vous conspuez à longueur de temps?
Vous vous en fichez probablement, j'imagine déjà la réponse...Réponse, non pas d'irremplâââcaaaable, mais d'irresponsâââble.
Je comprends que vous n'aimiez pas les enfants, vous en êtes un.
Sébastien.
Alors, le citoyen Sansano... Comment dire... Voyons, voyons...
RépondreSupprimerBon, je repasse demain, la nuit porte-coton.
"Je comprends que vous n'aimiez pas les enfants, vous en êtes un."
RépondreSupprimerCa, c'est trop dur!
Didier va pas s'en remettre.
Sûr !
RépondreSupprimerPuisque c'est come ça, je vais me réfugier dans un petit coin de verdure ami...
RépondreSupprimerSaint Zano, j'ai bien envie de dire que c'est moi, car j'aurais tellement voulu être capable de l'inventer. Hélas, hélas, hélas, je suis un nain, à côté de lui.
RépondreSupprimerOn ne le voit plus, celui-là, d'ailleurs. Il me manque, personnellement.
RépondreSupprimerFaut demander à Beuche, ils boivent des coups dans les cimetières, à la pleine lune, en chantant du Delpech.
RépondreSupprimer"Oui, on avait écouté Gould avec ma cousine, comment tu le sais, Pépé ?"
RépondreSupprimerCher Georges, le Gould que vous évoquez est, en comparaison à l'autre, nettement fréquentable... ^^
@ Georges: vous êtes vraiment très drôle!
RépondreSupprimerTiens le dis je et si je fourrais burcar dans gogole? Eh bien c'est un nom propre.. Un certain Nenad Burcar .. Et s'il y avait un jeu de mot kêkpart? Je remets dans le translateur.. qui me donne : bur car du turc au français: voiture twist .... Sisi! Enjoy!
RépondreSupprimerOh, je sais bien. Comme j'habitais près de la Bastille, en 1989, j'ai dû me taper toutes leurs conneries en long et en large, et je n'ai pas oublié cette époque de merde.
RépondreSupprimerOn peut toutefois noter que ce qui était encore plus ou moins "à l'étude" en 1989 est devenu notre pain quotidien aujourd'hui. La saloperie festive a pris le pouvoir et elle n'est pas partageuse.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerGeorges : depuis une demi-heure environ, aucun commentaire (à part les miens) ne passe ici. J'ai enlevé la modération en pensant que c'était ça, mais non.
RépondreSupprimerJe les reçois en mails toutefois...
Curieux, ces commentaires qui apparaissent et disparaissent…
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