vendredi 4 juillet 2008

Pour changer de Gòmez Dàvila

« Dans la douleur ou dans la joie, nous croyons que le temps est quelque chose et il n'est rien, puisqu'il n'existe pas pour Dieu, il ne devrait donc pas exister pour nous. C'est lui qui nous sépare de Dieu. Si nous obtenions cette grâce de ne jamais savoir l'heure, nous serions déjà dans l'Éternité bienheureuse et la souffrance, alors, serait pour nous comme une barque rapide sur un affluent du Paradis. »

Léon Bloy, Journal, 12 mai 1913.

7 commentaires:

  1. Putain ! voilà t'y pas que le Didier se prend pour le Stalker !
    Eh oh ! il ne faut pas impiéter sur les monopoles ésotériquo-littéraires des petits copains ...

    iPidibite TM

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  2. Ce n'est pas Dieu possible !!! Didier se prend pour un illumine !

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  3. Il est capable de tout le Didier ..

    iPidiblue ça c'est bien vrai !

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  4. Ça pue le bon Dieu ici.

    (Autre citation de LB.)

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  5. Oui quand on se rapproche du bon dieu à cette allure c'est pas bon signe ...

    iPidiblue petit dieu futé avant le grand départ

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  6. Vous êtes vraiment dégueulasses de vous moquer.

    Moi, je trouve ça très beau, et très généreux de la part de Didier Goux de nous le faire partager.
    :o/

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  7. Ah ! Le journal de Bloy : Tout être politiquement incorrect devrait l'avoir lu pourvu qu'il ait l'esprit bien accroché où je pense. Un vrai réactionnaire celui-là (dans le sens noble du terme hein !) et sous les bondieuseries (sincères, ma foi), il y a des tonnes de TNT.
    Comment on verra détruire toute une société ou tout un bonhomme en une poignée de mots.
    Du reste, les Danois (de l'époque) en prenne pour leur grade et je ne sais si Madame Irremp appréciera !
    Il y a des passages à pleurer comme d'autres à hurler de rire ou d'horreur (CF sa relation de l'incendie du bazar de la Charité !)
    Une lecture indispensable.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.