J'avais juré (seulement à moi-même heureusement) que je ne me moquerais plus jamais des blogueurs idiots, prétentieux, bref : des ravis de la blogocrèche. Seulement, je viens de tomber là-dessus :
Il m’arrive de donner des conseils à des auteurs débutants, de m’interroger sur le pourquoi philosophique des trilogies et de donner dans la défense et de pester contre la classification par genres.
Reconnaissez qu'il aurait été dommage de s'en priver...
Il m’arrive de donner des conseils à des auteurs débutants, de m’interroger sur le pourquoi philosophique des trilogies et de donner dans la défense et de pester contre la classification par genres.
Reconnaissez qu'il aurait été dommage de s'en priver...
C'est puissant, ça...
RépondreSupprimerQui est-il à donner dans la défonce... heu, la défense ?
Oh my God ! Il nous faut la source de cette belle enflure. Vous savez que j'adore désenfler les baudruches, surtout lettrées.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerUn lien, bordel !
N'attendez rien à cette heure, le bébé dort, après sa tisane et sa pute quotidiennes et jamais l'inverse.
RépondreSupprimerDes bizettes
Bon Didier puisque vous dormez et à la demande générale voici le lien vers ce blog ( ça permettra aussi de remettre la citation dans son contexte) :
RépondreSupprimerhttp://www.irenedelse.com/
.. et blah et blah.. sommes nous des co-pains ou des camara-des ?? .. va pour les affinités électives... si vous déménagez ; laissez nous des petits cailloux..
RépondreSupprimerDG
« En tant qu’auteure, je pense que je suis raisonnablement immodeste. Mais les compliments des lecteurs et lectrices font toujours plaisir. Qui plus est, je me rends compte que j’en suis à ce stade de ma “carrière” où ce sont des éditeurs qui viennent me réclamer des textes, et non plus moi qui les doive les démarcher pour placer ce qui sort de mon clavier. Et ça, croyez-moi, c’est vraiment un gros bonus pour l’ego ! »
RépondreSupprimerTotal respect ! (eût dit Muray)
Mais le plus cocasse est le commentaire d'un certain Mamadou, candidat à la poésie :
« je veux devenir poete. voici kelke vers
le titre: sans toi
sans toi je suis comme un norfrager qui ne sais pas nager
je suis commme un survivant au milieu de l ocean loin de ton amour je ne vois plus le jour et toute ma vie deviendra sans lumierte et espoir alor sans toi je suis ke du poussiere ke le vent porte vers une horizon lointine »
Ne cherchez plus le nouveau Rimbaud, le voici ! Et du travail en perspective pour notre AUTEURE.
Je l'écris rarement, mais quand même : LOL !
"et non plus moi qui les doive les démarcher"
RépondreSupprimerC'est français, ça ?
Lequel d'entre vous, sous le pseudo de Mamadou, est allé troller cette brave dame ? hmmm?
Brave dame qui a écrit un roman pour la jeunesse.
RépondreSupprimerOn se plaint que la jeunesse ne lise pas beaucoup. Il y a même des jeunes de la jeunesse qui refusent d'ouvrir un livre, n'importe quel livre, alors que les bibliothèques et les CDI regorgent de livres écrits exprès pour elle.
La jeunesse de maintenant ne sait pas faire de jolies rédactions comme en tricotait la jeunesse du temps de ma mamie ou même du temps à moi.
"Silencieuse elle aussi depuis que j’étais entré dans la pièce, elle tenait ses mains agrippées l’une à l’autre comme deux animaux effrayés. Pourtant, son visage était triste et las, mais pas encore défait, et son regard perdu vers un horizon intérieur reflétait une résolution terrible, aussi dure et inflexible que la ligne de ses lèvres. Elle se tenait très droite, assise sur un banc au pied d’une haute fenêtre, et les rais du soleil couchant faisaient de sa chevelure une cape de fils d’or. Au loin, les collines du Kyalindari ondulaient dans le restant de jour, en vastes flaques d’ombre et de lumière."
Après la lecture de cet extrait du roman d'Irène Delse, le silence qui s'ensuit, c'est encore du Irène Delse.
Ce premier tome d’une trilogie à venir est un roman d’initiation cruel et émouvant. Ecrit dans un style épique et émaillé de poésies,... les amateurs d’épopées apprécieront le rythme du récit et la densité humaine des protagonistes. (Livres Jeunes Aujourd’hui)
RépondreSupprimer...émaillé de poésies...
Bon, je ne lirai plus le blog de Didier Goux le matin, au lieu d'aller m'instruire de la douleur du monde sur les sites des grands quotidiens.
RépondreSupprimer(est-ce que ça rapporte, d'écrire des livres émaillés de poésies pour la jeunesse ?)
@ Suzanne:
RépondreSupprimer"et non plus moi qui les doive démarcher".. c'est très français, bien qu'un peu archaïsant et de par cela.. rafraîchissant.. et le poète se meurt d'amour.. allons, allons, un peu d'indulgence, qui n'a pas écrit ( wink) des trucs immontrables? DG
Le procès est terminé ? On peut passer aux baffes et coups de genoux ?
RépondreSupprimerMarcel...gourmand.
Didier:
RépondreSupprimer"qui les doive démarcher", oui
mais "qui les doive LES démarcher ?"
Ce n'est pas la faute, l'erreur, la distraction, la coquille, que je souligne - qui n'en fait pas, hein? - mais les emberlificotages précieux.
Pas le temps de répondre à tous, j'ai rendez-vous avec M'sieur de Villiers, à Paris, il faut que je file.
RépondreSupprimerJe rappelle à tous, néanmoins, que le commentateur de ce blog qui signe DG N'EST PAS MOI !
Et Mamadou le poète d'Irène c'est qui ? J'ai une idée mais je ne m'avance pas.
RépondreSupprimerMais je ne le trouve pas, moi, ce Mamadou !
RépondreSupprimerDidier vous vous posez trop de questions, tous ces problèmes de conscience vont vous tuer ...
RépondreSupprimeriPidiblue Mamadur
Je ne connais pas Mamadou le poète, mais Yanka l'a trouvé, c'est de ce côté qu'il faut chercher : « un lien bordel ! » comme on dit dans la sphère à Blogo.
RépondreSupprimerOui, en fait j'avais déjà lu ce phare de la pensée littéraire dans des commentaires de blogs. Des blogs étiquetés intellos, of course.
RépondreSupprimerElle a dû avoir une enfance bien malheureuse pour en être arrivée là aujourd'hui... quelle suffisance, bon sang. La pov'... Un livre publié et des trucs à compte d'auteur, c'est ça ? Comment les éditeurs peuvent-ils à ce point ignorer le talent, c'est fou toud'même.
Désolée Didier, mais je suis de très mauvais poil. Vous savez pourquoi.
RépondreSupprimerEnvie de baffer.
d'ailleurs ayé je vais me désanonymiser (un peu) en priant Didier Goux de me pardonner de ne pas l'avoir fait plus tôt..
RépondreSupprimerDGeargies
Pour la poésie du génial et coruscant Mamadou, c'est ici :
RépondreSupprimerhttp://www.irenedelse.com/roman/
Irène Delse est de gauche, ségoléniste apparemment, et surveillée de près par les barbouzes du ministère de l'Intérieur. Vous ne me croyez pas ? Lisez :
RépondreSupprimerhttp://www.irenedelse.com/2007/11/14/un-troll-maladroit-du-ministere-de-linterieur-est-passe-par-ici/
Finalement je regrette qu'il n'y ait pas de smileys dans le genre hilares et sautillants chez Didier Goux : j'en aurais volontiers alignés quelques-uns.
Zut, adresse coupée.
RépondreSupprimerCeci suffit cependant :
http://www.irenedelse.com/2007/11/14/
C'est le second post.
Mais qu'elle est conne cette auteurE !!
RépondreSupprimerTu parles d'un troll, ce commentaire. Quelqu'un qui donne son avis, and so ?
Elle croit quoi ? Que la DST lui envoie des taupes ? Qu'elle est peut-être - via ses convictions et son militantisme bloguien effréné - un grand péril pour le pouvoir en place ?
Bouffone, va.
signé : Bénédicte, autre troll activiste du ministère de l'intérieur.
Fuck the mass.
Aujourd'hui je déteste tout le monde.
Surtout les cons.
Amitiés aux quelques autres.
Bonsoir Bénédicte. Je vous souhaite d'aller mieux.
RépondreSupprimerMarcel tout le monde
Jé un stoc de fosse bale a blan a fourgué ki n'en veu ?
RépondreSupprimerCé pa cher
Bénédicte, du calme : l'argent finit toujours par arriver. Mas il faut se montrer TRÈS pénible (c'est le côté pénible, justement).
RépondreSupprimerCourage.
Je remets le lien amputé proposé par Ygor Yanka. effectivement, ça vaut le jus. Les commentaires aussi : il y a le ban et l'arrière-ban, y compris l'inénarrable Dagrouik, le militant ségolénolâtre autiste.
RépondreSupprimerC'est ici.
Merci Didier, je n'étais pas descendue dans les commentaires.
RépondreSupprimerSérieusement, tous ces petits personnages - ici et là - sont d'un grotesque achevé. Mobilisation générale de trois ou quatre personnes autour d'une victime de "troll". Mais quel troll, encore une fois ? Où ça, un troll ? Avec cette espèce de manie d'analyser chaque IP, et de penser que révéler cette IP va pétrifier d'effroi l'auteur du commentaire.
Mais qu'est-ce qu'ils sont cons ces apprentis corbeaux.
Didier Goux m'amuse. Il n'ose pas (se) l'avouer, mais au fond, il est fan. Hé, hé...
RépondreSupprimerYanka : Si vous aimez les souriards, venez chez moi, je vous en prie, il y a de quoi ! Et si vous pensez pouvoir "désenfler" la baudruche, allez-y donc, j'ai du répondant...
Suzanne : Merci pour les compliments. Mais si vous voulez tout savoir, le "les" de trop dans ce billet, c'est de la distraction. Ça arrive quand on écrit en deux temps, et qu'on fait un copié-collé. Je ne vous apprends sans doute rien.
Mais vous Bénédicte, je me demande ce que je vous ai fait pour que vous vous mettiez à me traiter comme ça ?
Je pose la question sérieusement. Je ne sais pas si ce sont mes idées politiques qui vous dérangent, ou mon style, ou le fait que je me moque d'un troll qui se trouve travailler au ministère de l'Intérieur ?
En plus, vous allez trop vite en besogne. Je n'ai jamais prétendu que ce troll était un espion gouvernemental, juste un petit *menteur* qui veut se faire passer pour un ouvrier alors qu'il est probablement en train de surfer pendant ses heures de bureau. Et un menteur trahi par son incompétence. Pourquoi vous énerver là-dessus ? En plus, je n'ai pas divulgué le moindre élément permettant de l'identifier, ce gars-là. Si je publie les détails (adresse IP partielle, etc.), c'est pour étayer ce que je dis. Des éléments tangibles, des preuves, quoi. Pas de la dénonciation gratuite.
Je n'ai pas non plus d'animosité particulière envers les policiers (dont je pense juste qu'ils font leur travail dans des conditions difficile, et que je ne me permettrais pas d'insulter de la façon dont vous traitez les "bouffons" intellos), mais envers le gouvernement, oui. Et alors ? On est en république !
De même, je ne sais pas où vous êtes allée pêcher que j'avais été publiée à compte d'auteur. J'ai entre autres choses auto-édité un livre, mais c'est bien différent : je n'ai pas payé pour qu'on m'édite, juste utilisé un service permettant d'imprimer en recueil des textes déjà publiés. En fait, j'ai un éditeur tout ce qu'il y a de classique (j'en ai même trois si on compte bien, mais celui du roman est bien sûr le plus important).
Bref : du calme, svp, Bénédicte ! Je ne vous force pas à partager mes idées, ni à lire ce que j'écris.
Alors merci de ne pas voir dans mon blogue autre chose que ce que j'y ai mis... Et si vous êtes en colère, merci de ne pas vous défouler sur quelqu'un qui ne vous a rien fait.
AUTEMPSAHAHAH
RépondreSupprimerAutant pour moi ah ah ah ah ah !!!!
RépondreSupprimerMais tout comme vous, je me balade dans la blogosphère et je lis ce que j'y vois.
RépondreSupprimerEt j'en pense ce que je veux.
Et vous me faites marrer que voulez-vous.
Compte d'auteur, lulu.com, toutes mes mille excuses d'avoir confusionné, pour moi c'est la même chose.
Mais oui, vous me faites rire à vous prendre pour un maître à penser, un maître tout court, prête à donner des conseils aux "auteurs débutants". Oui, c'est drôle. Il n'y a que vous et votre cour minuscule et complaisante pour ne pas vous en rendre compte (d'auteur, arff...) C'est d'une prétention sans borne de s'en targuer. Un petit tour sur Edistat m'indique que votre livre, sorti en 2006, s'est vendu à 584 exemplaires. Et c'est vous qui donnez des leçons ? D'écriture ou de la difficulté à se faire éditer ?
Quant au reste, m'adressant à vous, je n'oppose pas policier prolo à intello (c'est vous qui associez intello à bouffon, et je n'ai pas parlé de flics). Pour la simple raison que je ne vous vois pas comme une intello. Vraiment pas. Vous aimeriez peut-être, mais non. Snob oui, c'est sûr. Mais au sens étymo s.nob, sine nobilitas. Parce que votre suffisance et votre manque d'humilité, lisibles à longueur de billets, finissent par être vulgaires.
Vos idées politiques ? Qu'est-ce que ça vient faire là ? Je ne les ai pas vues d'ailleurs, à part un discours mou et formaté, celui de la gauche bourgeoise qui milite entre amis avec la bouche en cul de poule. Moi je suis de la vraie gauche, tout au fond à gauche voyez-vous, donc je n'ai pas pu être prise de spasmes à vous lire.
Et puis votre trip "ministère de l'intérieur", quelle rigolade. C'est un boulot à temps plein le flicage des IP ? Vous voulez la mienne à titre préventif ?
Allez, retournez vous faire luire l'ego sur votre page, vous étiez vraiment faite pour un blog.
Enjoy.
@ megan :
RépondreSupprimerGaffe, elle va te dire qu'on dit "au temps pour moi", c'est le gros scud à la mode ça.
AaaaaOOOoooAAAaaah... mmmm...
Ouh la ! ça castagne ici ! Bon, je vais faire mon grand lâche, comme d'habitude : je vous laisse, j'ai boulot...
RépondreSupprimerMerci Bénédicte !
RépondreSupprimerÔ taon pour i-reine !!!!!!
Ca méKlat tro tro tro for, oupps spiiirrkkkkkssssss.
Je vois qu'on ne chôme pas, ici, les acteurs sont à leur place et aboient en mesure...
RépondreSupprimerVous connaissez très bien votre propre partition Maîtresse-Meg-Kim. La voix de son maître.
RépondreSupprimerMarcel
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe matin j'ai enfin découvert votre site Bénédicte, je vais vite m'acheter votre livre. Quand je pense aux risques que vous (si vous exercez toujours) et vos collègues prenez, je pleure.
RépondreSupprimerDidier, votre blog décidément, eh bien c'est une perle.
Emma, pensez aux pompiers, aux profs, aux infirmiers et sages-femmes, aux blogueurs tout enflés d'eux-mêmes, aux simples passants, aux jeunes filles et femmes... et à tous les autres ! Allez vous acheter deux paquets de mouchoirs, volez le livre en question et envoyez un mandat à Bénédicte !
RépondreSupprimerMarcel
Quelle était l'idée de départ ? Je suis un peu perdue.
RépondreSupprimer@ Emma, je sais ça ne vous consolera pas.
RépondreSupprimer"Taux moyen de mortalité entre 1990 et 1996 dans 3 secteurs d'activité
B.T.P.
0,28
0,24
0,24
0,22
0,18
0,16
0,19
0,21
Transp.
0,31
0,29
0,26
0,25
0,23
0,20
0,20
0,24
POLICE
0,26
0,21
0,09
0,13
0,16
0,13
0,12
0,15
Le métier de policier est moins dangereux que celui des ouvriers dans le bâtiment et les travaux publiques ou que les employés du transport routier. Mais sur une cinquantaine de professions recensés, les policiers arriveraient au cinquième ou sixième rang tout de même, pas très loin derrière les pompiers qui payent aussi un lourd tribu chaque années."
Marcel... un peu de mesure ne nuit pas.
"au sens étymo s.nob, sine nobilitas. "
RépondreSupprimerAh? J'ai appris quelque chose, chouette, merci Benedicte.
Bénédicte, une policière, ici ? Je ne savais pas...
RépondreSupprimerJe recherche un Taser X26 d'occase non-virtuel, où puis-je trouver l'engin ? C'est pour défendre Megan qui a été rackettée, j'ai envie de dire juste comme ça, histoire d'intimider, sans haine ni violence.
Oui marin-pêcheur c'est beaucoup plus dangereux, surtout depuis que le poisson se rebelle ...
RépondreSupprimeriPidiblue à la criée
Suzanne, en vertu des lois ludiques de l'étymologie : snob = suzanne ne crois pas tout ce que tu lis ici ! Bon ça ne marche pas bien, mais j'ai dit ludique hein !
RépondreSupprimerM.arcel
N.B sine nobilitate est beaucoup mieux.
RépondreSupprimersine nobilitaTE
RépondreSupprimerAu thon pour moi.
J'étais sûre que vous alliez écrire ça !
RépondreSupprimerOuf, on revient une heure après, et le gâteau a pris de belles couleurs.
RépondreSupprimerAnonyme Marcel, merci pour vos réponses très documentées. Et si plus, si affinités, avec moi c'est à la missionnaire.
Délicieuse et fureteuse Emma. J'ai renoncé à convertir qui que ce soit.
RépondreSupprimerMarcel
Didier : Emma la fureteuse raccole Marcel et le taulier reste coi. "La Mondaine" n'est pas loin...
RépondreSupprimerEmma, j'oubliais : la prière mahométanne a certains charmes. J'espère que mollah Didier ne va pas me coller une fatwa pour ça ...smiley smiley
RépondreSupprimerBon, Bénédicte, ceci est la dernière réponse que je prend la peine de vous écrire, parce que ça ne vaut pas plus que ça. Je respecte le fait que vous écriviez vous aussi, et je pense que vous êtes suffisamment intelligente pour voir que vous êtes sur un mauvais terrain.
RépondreSupprimerDans votre tirade du 01/07, vous dites que vous n'aviez pas associé intello à bouffon ni attaqué mes convictions politiques.
Dommage, il faudrait vous relire !
Car la veille, votre discours était :
"Oui, en fait j'avais déjà lu ce phare de la pensée littéraire dans des commentaires de blogs. Des blogs étiquetés intellos, of course."
"Elle croit quoi ? Que la DST lui envoie des taupes ? Qu'elle est peut-être - via ses convictions et son militantisme bloguien effréné - un grand péril pour le pouvoir en place ?
Bouffone, va."
Après quoi, vous m'accusez d'être "snob", et vous me faites une leçon sur l'origine latine de snob ? Amusant !
Quant à vos ricanements sur les ventes de mon roman : n'importe quoi. Si vous croyez que le tirage est la garantie de la valeur, vous devriez donner le Goncourt à la collection Harlequin !
Et puis, désolée, mais vos chiffres sont faux. Dépassés depuis un moment, en tout cas. 584 exemplaires, c'est le nombre vendu en 2006. (Je n'ai pas de chiffres récents, mais au 1er trimestre 2007, on en était à 650.) Edistat est notoirement peu fiable, vous devriez savoir ça !
En plus, contrairement à des livres qui collent à l'actualité, ou qu'un journal en vue à repéré (à cause du sujet "brûlant", en général), il ne faut pas se cacher la figure : la fiction se vend très mal, surtout pour un premier roman et chez un petit éditeur. À part quelques dizaines de personnes (celles qui font l'actualité littéraire), les auteurs français sont bien contents de dépasser les 500 exemplaires !
Bref, on peut vendre des dizaines de milliers d'un livre tiré du blogue d'une caissière ou d'un flic, mais un roman qui n'a pour but que de raconter une histoire, de faire rêver, c'est une autre paire de manches...
Tout ça pour dire que je me permettrai de rigoler un bon coup devant vos vitupérations.
Salutations pas distinguées du tout, pour la peine.
@ Irène :
RépondreSupprimerUn huissier de justice suffit à faire constater les diffamations en ligne, pas besoin d'IP !!
Décidément, vous êtes une idiote.
RépondreSupprimerEn effet, on vous lit là où il faut être lu dans la blogosphère pour se donner l’étiquette qui va bien, vous ne voyez toujours pas ? A brasser de l’air en forme de jolies formules stériles, ça ne vous dit rien ?
Bouffonne je maintiens, mais intello toujours pas.
Un intellectuel réfléchit, un intellectuel se distingue par autre chose que des approbations péremptoires sur des blogs de bobos. Ce n’est pas votre cas. Vous, vous ne servez à rien.
Je n’évoque vos convictions politiques qu’en les opposant à cette espèce de pétard mouillé que vous lancez avec votre soi-disant troll du ministère de l’intérieur. Ridicule. Savez-vous qu’il y a même des femmes de ménage dans ce ministère ? Alors pourquoi pas un type qui referait les peintures ? Pas que des hauts fonctionnaires s’intéressant au blog d’Irène Delse. Dingue, non ?
Vous êtes snob parce que vous êtes commune, qu’importe l’étymologie.
Votre roman… Bien sûr, je m’attendais à une telle réponse.
Un livre qui se vend bien est nécessairement nul, et un livre qui ne se vend pas est fatalement destiné à un lectorat de si haute qualité qu’il ne peut être qu’une petite élite accessible aux belles lettres.
Donc, votre roman est un bijou de la littérature, seulement voilà, vous êtes la seule à le savoir. C’est ballot.
Plutôt que de citer la collection Harlequin (mais que vous êtes stupide et prévisible !) il fallait parler de tous les auteurs qui sont des contre exemples de votre démonstration affligeante.
Le chiffre d’Edistat est celui du cumul à ce jour, mais qu’importe aussi. Vous ne pouvez simplement pas prétendre à donner des leçons. Ou du moins, ne pas clamer que vous le faites, c’est d’une prétention hallucinante.
Dernière chose, votre pique en direction du blog de la caissière et du blog de flic.
C’est minable, mais attendu aussi.
Mais de vous, ça ne m’atteint carrément pas.
J’ai eu tout ce qu’il fallait comme presse pour s’arrêter sur ma façon d’écrire, au-delà du thème de mon livre.
Bon blogging.
@ anonyme :
RépondreSupprimerEncore un petit velléitaire de la procédure, tiens.
Je t'emmerde, anonyme, tu mettre ça sur l'ardoise aussi.
c'est la grande, la généreuse bénédicte qui m'envoie ici et j'avoue que je ne suis pas déçu :o)
RépondreSupprimer60 commentaires !
attendez, cblzuahevbialbrv je ramasse mes bras et je vous fait une bise
entre ravis de la crèche, on peut?
Bénédicte, je l'emmerde aussi, L'ANONYME, si vous permettez. Ce genre de petites frappes m'exaspère !
RépondreSupprimerAh oui, Bénédicte a le gun bien chaud, là...
RépondreSupprimerC'est bien ce blog, il y a de l'ambiance.
RépondreSupprimerIrène,
J'ai bien peur que tu te fatigues pour rien.
Irène,
RépondreSupprimerJ'oubliais ! Si tu veux voir le comble du ridicule, ça se passe là.
J'allais le dire.
RépondreSupprimerDes bizettes.
Je voulais attendre le 69, mais encore ça aurait fait mal-baisée, état que je suis assez grande pour considérer moi-même sans me le faire envoyer par la gueule, comme le comble du ridicule dont il est question ce coup-ci.
RépondreSupprimerAlors puisque Nicolas, comme les autres, comprennent vite, mais qu'il faut leur expliquer longtemps, il était question de passer à autre chose, même si passer à autre chose prend visiblement pas mal de temps, selon de quel côté de la blogolol on se trouve.
Lorsqu'un loup se fait attaquer, la meute surgit, maintient la proie à terre pour que le chef se fasse un plaisir de l'achever.
C'est beau, c'est chevaleresque.
Sauf que dès lors qu'on s'amuse à raviver la flamme sous n'importe quel prétexte, et me prenant à parti, jugeant que c'est le comble du ridicule ( Nicolas, vous êtes le champion du la lecture en diagonale ), là, ça pue.
Je n'aime pas vos blogs, je ne vous l'ai jamais dit parce que ça me regarde, je ne l'avais jamais mentionné à personne, et si j'avais dû le faire, je ne l'aurais certainement pas fait dans un commentaire, qui plus est sur le blog de quelqu'un d'autre.
Entendons-nous bien, mon blog n'est pas là pour être aimé ni détesté, il est juste là, parce que j'ai décidé qu'il y serait. Que vous l'aimiez ou pas, franchement, c'est une de ces choses dont j'ai vite fait de rigoler doucement.
Mais il n'est certainement pas là pour servir de prétexte à ce genre de branlette blogoglauque dont vous semblez visiblement être très friand.
Y a des tonnes de blogs tout aussi ridicules que le mien à prendre en exemple.
Les vôtres pour commencer, ainsi que ceux de tous vos amis quicouloliens.
Des bizettes.
C'est bien ce blog, il y a de l'ambiance.
RépondreSupprimerMélina,
J'ai bien peur que tu te fatigues pour rien.
C'est bien, ce blog, il y a de l'ambiance.
RépondreSupprimerBénédicte, j'ai bien peur que tu te fatigues pour rien.
Des bizettes. (ah bé oué, je copie pas moi, je crée, je me démarque)
Ebé vala, je l'ai eu MON 69.
RépondreSupprimerDes bizettes
« je l'ai eu MON 69 »
RépondreSupprimerVous étiez en dessous ou au-dessus ?
Mélina,
RépondreSupprimerJe n'ai jamais dit de mal de votre blog, juste d'un billet. Et encore, si, en critiquant nos blogs, vous n'aviez pas expliqué que vous gagniez de l'argent avec le vôtre, je me serais abstenu...
"Alors puisque Nicolas, comme les autres, comprennent vite, mais qu'il faut leur expliquer longtemps, il était question de passer à autre chose"
Passer à autre chose... En ressortant "l'affaire" Quicoulol ?
Pouf pouf.
C koi laffair KIKOULOL ??? vite raconte, c koi ???
RépondreSupprimerjen peus pu moi raconte !!!
@Melina, bien que je sois en dehors du coup, grâce à votre blog, (merci à Nicolas d'avoir mis en lien, pourquoi est-il ridicule son blog, alors là....) j'ai compris quelquechose à ce que signifiait le classement wikio, et je comprends bien votre indignation.
RépondreSupprimerOn se lève tard. On vient là, on lit ça, et le grand bonheur est de n'y comprendre rien, rien du tout.
RépondreSupprimerComme prendre un roman de gare à la page 77, en lire deux pages pendant qu'on est aux chiottes.
Mélina, vous m'avez envoyé une invitation "à être votre ami" sur MachinTruclol, mais ne savez-vous pas que Georges n'est l'ami de personne ? Non, sans rire, je ne connais pas vos machins netamicaux, et être "l'ami-de-quelqu'un-sur-le-Net", pour Georges, c'est un peu comme s'il se retrouvait tout à coup avec sept enfants à éduquer au fin fond du Maroc. Je ne connais pas plus le wikiomachin dont tout le monde ici fait des gorges chaudes, et vraiment, je n'ai pas envie de connaître. Déjà Wikipédia m'emmerde copieusement, alors ses produits dérivés, et savoir qui est plus fort que qui dans la blogosphère, franchement, si vous saviez, ça me rappelle les débuts avec Cinglose, ce genre de machins. Par contre si vous voulez qu'on baise une après-midi comme ça pour voir, je n'ai rien contre.
Baiser pour voir?
RépondreSupprimerMa foi, j'eus préféré dans le noir, mais je ne veux pas vous perturber.
En revanche, vous avez raison de ne pas vouloir être mon ami sur trucmachinchose, ne jamais confondre sexe et amitié, ça deviendrait vite trop plaisant.
En attendant cet après-midi de baise à vue, des bizettes.
Alors en remontant, Emma, vous n'allez pas vous faire des amis, mais merci.
Ensuite, Nicolas, c'est quoi "pouf pouf"?
Enfin, Yanka, je sais pas, moi, je ne fais que dans le noir.
C'est à mourrir de rire de voir autant de bêtise humaine.C'est la Star Académy ici ? On publie un livre on fait deux radios et on se prend pour Victor Hugo ou Emile Zola ?Pfff !
RépondreSupprimerFaites moi rire, ridiculisez vous encore plus, signez,laissez vos traces partout :les illuminées évangélistes que vous êtes contre l'Axe du mal !!
Bon, Mélina, on éteindra la lumière, pas de problème.
RépondreSupprimerDis-donc, Anonyme de mes deux, si tu veux mourrir avec 2 r, va mourir ailleurs.