Franchement, c'est à ne plus oser écrire. Imaginez la chose, pauvres humains obscurs que vous demeurez : vous vous installez benoîtement devant le clavier, avec l'intention de rédiger quelques courts paragraphes, de laisser tomber trois lieux communs et quatre calembours approximatifs, lorsque soudain la nouvelle réalité vous saute au visage.
Depuis l'aurore de ce jour, ce ne sont plus quinze ou vingt âmes pâles qui vont venir vous lire, mais d'entiers bataillons de Confédérés en rangs compacts. Encore ivres d'une défaite programmée au football - pour eux comme pour nous -, ils vont reporter leur énergie inemployée sur votre malheureux blog, mal conçu pour accueillir des foules semblables. Et ne comptez pas trop qu'ils se cantonnent dans leur prétendue neutralité : le Suisse sait être moqueur et incisif, quand il le veut ! Et s'il lui prend fantaisie de vous invectiver, soyez assuré qu'il ne manquera pas de coffres.
Que faire, alors ? Se taire ? Attendre que les trompettes de la renommée se soient tues pour tourner discrètement l'alpage ? Se comporter comme si on ne s'était pas avisé de leur massive présence, ainsi que nous avons accoutumé de le faire avec les peuplades étrangères, principalement lorsqu'elles sont germaniques, casquées et montées sur chenilles ? Prendre au pied de la lettre le nom de ce blog et transporter ailleurs ses pénates, le temps que s'apaise le vent des cimes (dont l'accent circonflexe est tombé dans l'abîme, je le rappelle au passage) ? Abandonner le clavier pour un discret retour au Montblanc ?
Oui, que ferais-tu à ma place, ô toi que je puis bien nommer mon vieux lecteur, comme il existait à d'autres époques des vieux chrétiens, entre Manche et Castille ? La marge de manoeuvre est étroite, ne nous le dissimulons pas. S'abandonner de nouveau à l'esprit munichois face aux Zurichois ? Ou bien ranimer dès à présent celui de la Résistance, défendre ce blog pied à pied, URL après URL, face au rouleau compresseur de ce moderne Commentator bien décidé à nous niquer les plates-bandes ?
Sachez que, quelle que soit votre décision, je ne vous trahirai pas, ni ne faillirai à mon devoir. Repousser l'invasion helvète : voilà enfin que se profile une mission à la mesure de la France moderne ! Enfin, j'espère.
Depuis l'aurore de ce jour, ce ne sont plus quinze ou vingt âmes pâles qui vont venir vous lire, mais d'entiers bataillons de Confédérés en rangs compacts. Encore ivres d'une défaite programmée au football - pour eux comme pour nous -, ils vont reporter leur énergie inemployée sur votre malheureux blog, mal conçu pour accueillir des foules semblables. Et ne comptez pas trop qu'ils se cantonnent dans leur prétendue neutralité : le Suisse sait être moqueur et incisif, quand il le veut ! Et s'il lui prend fantaisie de vous invectiver, soyez assuré qu'il ne manquera pas de coffres.
Que faire, alors ? Se taire ? Attendre que les trompettes de la renommée se soient tues pour tourner discrètement l'alpage ? Se comporter comme si on ne s'était pas avisé de leur massive présence, ainsi que nous avons accoutumé de le faire avec les peuplades étrangères, principalement lorsqu'elles sont germaniques, casquées et montées sur chenilles ? Prendre au pied de la lettre le nom de ce blog et transporter ailleurs ses pénates, le temps que s'apaise le vent des cimes (dont l'accent circonflexe est tombé dans l'abîme, je le rappelle au passage) ? Abandonner le clavier pour un discret retour au Montblanc ?
Oui, que ferais-tu à ma place, ô toi que je puis bien nommer mon vieux lecteur, comme il existait à d'autres époques des vieux chrétiens, entre Manche et Castille ? La marge de manoeuvre est étroite, ne nous le dissimulons pas. S'abandonner de nouveau à l'esprit munichois face aux Zurichois ? Ou bien ranimer dès à présent celui de la Résistance, défendre ce blog pied à pied, URL après URL, face au rouleau compresseur de ce moderne Commentator bien décidé à nous niquer les plates-bandes ?
Sachez que, quelle que soit votre décision, je ne vous trahirai pas, ni ne faillirai à mon devoir. Repousser l'invasion helvète : voilà enfin que se profile une mission à la mesure de la France moderne ! Enfin, j'espère.
Ah, ça ira, ça ira, ça ira, l'Helvétie à la lanterne,
RépondreSupprimerah, ça ira, ça ira, ça ira,
tous les Helvètes on les aura !
A Rueil nous avons bien la caserne des anciens Gardes-Suisses où je pourrais vous en garder quelques-uns en attendant de les pendre à la lanterne mais pour les autres il faudra que vous les promeniez au bout d'une pique vous-même ...
RépondreSupprimeriPidiblue ah ! ça ira, ça ira, ...
Je n'étais déjà pas très fier de mon calembour, mais si vous vous mettez à deux pour le souligner...
RépondreSupprimer(Bon, tant pis, j'assume !)
Vous êtes de plus en plus célèbre Didier! On vous trouve même sur akinator.com
RépondreSupprimerPluton blogue au boulot
Il faut pas gâcher la venue d'Helvétie.
RépondreSupprimerLol, Lol, smiley, extra-Lol, mdr, ump !
RépondreSupprimerMarcel festivus hilarius mort en résistant.
C toi papa ?
RépondreSupprimerexpulsez-les donc Didier, mais gardez-en donc trois, ca peut peut-etre servir !
RépondreSupprimerPluton : vous bloguez au boulot !!!! Un blame !
aitresse : pas d'accent, desolee, c'est un cas de force majeure !
Bon, alors, on a fait les nègres, les arabes, on est passé rapidement sur les jaunes (trop rapidement, peut-être).
RépondreSupprimerLes suisses, oui, pourquoi pas, c'est pas mal, aussi.
Quand tu t'attaques aux bretons, t'envoies un fax avant, qu'on se prépare ?
C'est la grosse teuf chez Didier, et ça tu vois c'est déjà l'effet du chocolat suisse, un aphrodisiaque avec lequel s'envoient en l'air nos voisins helvètes ... Didier, doucement, tu n'es pas habitué à ces supers tarpés !
RépondreSupprimeriPidiblue la marmotte qui emballe les chocolats
Méfiez-vous quand même Didier à vous foutre en l'air avec n'importe quoi vous allez vite voir des vaches violettes brouter votre gazon normand ...
RépondreSupprimeriPidiblue super-milka crème
Franssoit : ne grossissez pas le trait, ça vous dessert...
RépondreSupprimerFabienne : vos trois suisses, je les redoute.
(Oui, oui, je sais...)
iPidiblue : je ne me shoote jamais au chocolat, ni à la vache folle, j'ai des principes.
iPidigoux traditionnel et bio
Franssoit (bis) : puisque vous les évoquez, on pourrait parler des Asiatiques (je veux dire : de la communauté asiatique installée en France), ce pourrait être intéressant. Mais c'est précisément ce que vous ne voulez pas faire : il en sortirait sans doute des enseignements que nul n'est près à recevoir.
RépondreSupprimerDidier ce me sont pas MES trois suisses, loin de la ! Ils n'ont jamais franchi la frontiere hellenique ..... Je ne les redoute donc pas !
RépondreSupprimerMais les temps sont durs.... on ne sait jamais ! Gardez-en donc trois, vous dis-je !
Attention quand même à ne pas les vexer : rappelez-vous de Guillaume Tell :-)
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