La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
mardi 3 juin 2008
Question existentialo-culinaire
Pourquoi se coiffe-t-on d'un béret basque, pour aller jouer à la pelote basque, avant que de déjeuner d'un poulet basquaise ? Pas de quoi se siphonner l'appétit, mais tout de même...
Alors, là, mon cher, vous pouvez, je suis tranquille ! Figurez-vous que, depuis hier, sur la sollicitation du Maître en personne, je suis un ami personnel de Juan Asensio sur Facebook ! Si vous ne me croyez pas...
iPidiblue : quant à la confrérie en question, j'avais totalement oublié que, dans un moment d'aberration, je m'y étais inscrit. J'y ai donc désormais UN ami, ce qui est glorieux, non ?
comme je me mêle de ce qui ne me regarde pas, je suis allée fureter vers l'existence de juan asensio, et de -ci de- là , de lien en lien, cahin -caha je me suis égarée et retrouvée chez Chouan, où Asensio était interviewé. Chouan, mon ennemi bloguesque depuis plusieurs années ! Faudrait pas regarder par le trou de la serrure, bien fait pour moi..
au fait, à lire les coms, "silencieuse" est-elle la talentueuse A.A. ? Anne Archet ? (oui, vs l'appelez Mme A.A.)ça serait piquant, une anar sur votre blog... oui, je sais je me mêle de ce qui ne me regarde pas.
Chat Huant : non, "mon" A.A. n'est pas la vôtre ! (Et comme elle signe désormais "silencieuse", je ne me crois pas autorisé à révéler son identité : elle le fera elle-même si elle le souhaite.)
Quant à Juan Asensio, le piquant de l'affaire est que nous avons eu, il y a environ un an, lui et moi (et d'autres) une très violente polémique, qui a démarré sur mon blog de l'époque avant de se poursuivre ailleurs. C'est pourquoi j'ai trouvé amusant de devenir son "ami", puisque c'est ainsi que l'on dit sur Facebook.
En fait "polémique" est encore un mot trop noble : nous nous sommes engueulés comme des chiffonniers, disons le mot. À côté, mes petites chamailleries récentes avec Audine et Dorham font figures de conversations à l'hôtel de Rambouillet...
@ DG : je précise à cause des homonymes, que je parle de Chouan du site voxgalliae.
Silencieuse m'a effectivement renseignée par mail. je ne vous demandais d'ailleurs pas en fait de vous dévoiler son identité, je m'amusais plutôt de l'association d'identité que j'ai faite.
ça ne m'étonne pas que vous vous soyez engueulé avec le sieur Asencio, à lire ses entretiens, ses interviews, ses extraits de textes, l'homme n'aurait-il pas en commun avec vous le gout d'une certaine... rusticité dans ses propos et sa façon d'aborder le monde ?
Je pense tout de même que mon ami et collègue Asensio est capable de distinguer entre un type intelligent qui fait parfois la bête (à deux dos ?) et un imbécile pur jus. En tout cas, moi, cette distinction, je l'ai faite assez vite concernant notre brigadier mondain. Comment ? Le style, voilà tout.
Yanka : il y a belle lurette que Juan Asensio et moi avons enterré ce "mouvement d'humeur". Il n'y a plus guère que Tang pour croire qu'il peut rallumer ces cendres froides...
Autre question, non moins taraudante que celle de votre poulet basquaise : est-il préférable de parler de gnôle euscarienne, de gniole euskérienne, de gnaule euskarienne, de gniole euscarienne, de gnôle euskarienne, de gnaule euscarienne, de gnôle euskérienne, de gniole euskarienne ou de gnaule euskérienne ?
Voulez-vous que j'appelle Juan Asensio pour nous renseigner sur ces questions délicates ? En espérant que cette idée ne vous coupera pas l'appétit !
RépondreSupprimeriPidiblue asensionniste
Alors, là, mon cher, vous pouvez, je suis tranquille ! Figurez-vous que, depuis hier, sur la sollicitation du Maître en personne, je suis un ami personnel de Juan Asensio sur Facebook ! Si vous ne me croyez pas...
RépondreSupprimerDésolé je ne suis pas membre de la haute confrérie de Facebook ! Vous nous raconterez vos agapes joyeuses plus tard, promis ?
RépondreSupprimeriPidiblyue chevalier du TasteGoux
Aurions-nous donc un "ami" en commun ?
RépondreSupprimerOui, Mme A.-A. ! j'ai même vu votre photo...
RépondreSupprimeriPidiblue : quant à la confrérie en question, j'avais totalement oublié que, dans un moment d'aberration, je m'y étais inscrit. J'y ai donc désormais UN ami, ce qui est glorieux, non ?
RépondreSupprimercomme je me mêle de ce qui ne me regarde pas, je suis allée fureter vers l'existence de juan asensio, et de -ci de- là , de lien en lien, cahin -caha je me suis égarée et retrouvée chez Chouan, où Asensio était interviewé.
RépondreSupprimerChouan, mon ennemi bloguesque depuis plusieurs années ! Faudrait pas regarder par le trou de la serrure, bien fait pour moi..
au fait, à lire les coms, "silencieuse" est-elle la talentueuse A.A. ? Anne Archet ? (oui, vs l'appelez Mme A.A.)ça serait piquant, une anar sur votre blog...
oui, je sais je me mêle de ce qui
ne me regarde pas.
Didier, inutile de répondre : je viens de le faire.
RépondreSupprimerChat Huant : non, "mon" A.A. n'est pas la vôtre ! (Et comme elle signe désormais "silencieuse", je ne me crois pas autorisé à révéler son identité : elle le fera elle-même si elle le souhaite.)
RépondreSupprimerQuant à Juan Asensio, le piquant de l'affaire est que nous avons eu, il y a environ un an, lui et moi (et d'autres) une très violente polémique, qui a démarré sur mon blog de l'époque avant de se poursuivre ailleurs. C'est pourquoi j'ai trouvé amusant de devenir son "ami", puisque c'est ainsi que l'on dit sur Facebook.
En fait "polémique" est encore un mot trop noble : nous nous sommes engueulés comme des chiffonniers, disons le mot. À côté, mes petites chamailleries récentes avec Audine et Dorham font figures de conversations à l'hôtel de Rambouillet...
RépondreSupprimerJe viens tenir la chandelle dans votre ruelle, si Audine remet cela ...
RépondreSupprimeriPidiblue le Grand Cyrus
@ DG : je précise à cause des homonymes, que je parle de Chouan du site voxgalliae.
RépondreSupprimerSilencieuse m'a effectivement renseignée par mail. je ne vous demandais d'ailleurs pas en fait de vous dévoiler son identité, je m'amusais plutôt de l'association d'identité que j'ai faite.
ça ne m'étonne pas que vous vous soyez engueulé avec le sieur Asencio, à lire ses entretiens, ses interviews, ses extraits de textes, l'homme n'aurait-il pas en commun avec vous le gout d'une certaine... rusticité dans ses propos et sa façon d'aborder le monde ?
Chat Huant : on peut dire ça comme ça, oui...
RépondreSupprimeriPidiblue : compte tenu de mes aventures autoroutières d'avril dernier, il me serait plus agréable que vous fussiez mon Voiture...
Je pense tout de même que mon ami et collègue Asensio est capable de distinguer entre un type intelligent qui fait parfois la bête (à deux dos ?) et un imbécile pur jus. En tout cas, moi, cette distinction, je l'ai faite assez vite concernant notre brigadier mondain. Comment ? Le style, voilà tout.
RépondreSupprimerYanka : il y a belle lurette que Juan Asensio et moi avons enterré ce "mouvement d'humeur". Il n'y a plus guère que Tang pour croire qu'il peut rallumer ces cendres froides...
RépondreSupprimerJe peux tout juste être votre Guez de Balzac dont les goûts comme chacun sait n'étaient pas trop du côté de la Dame !
RépondreSupprimeriPidiblue sans permis, ni voiture.
Autre question, non moins taraudante que celle de votre poulet basquaise : est-il préférable de parler de gnôle euscarienne, de gniole euskérienne, de gnaule euskarienne, de gniole euscarienne, de gnôle euskarienne, de gnaule euscarienne, de gnôle euskérienne, de gniole euskarienne ou de gnaule euskérienne ?
RépondreSupprimerDes années que je m'interroge là-dessus.
Chieuvrou : ce ne serait pas plus simple de reprendre plutôt un verre de vin ?
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