Ce matin, on trouvait, dans les greniers venteux d'Internet, l'information suivante :
Plusieurs organisations féminines ont appelé mardi les Québécoises à une protestation inusitée contre la junte birmane en leur demandant d'envoyer leurs petites culottes à l'ambassade de Birmanie. L'appel lancé par la fédération des femmes du Québec (FFQ) et une trentaine d'organisations de solidarité et de femmes s'inscrit dans le cadre d'une campagne internationale visant à dénoncer les brutalités de la junte birmane contre sa population et les femmes en particulier, a expliqué Michèle Asselin, présidente de la FFQ. L'initiative de la campagne 'P'tites culottes pour la paix' vient d'un groupe de femmes birmanes, Lanna Action for Burma (LAB), et a été conçue après la répression à l'automne dernier des manifestations pro-démocratie dirigées par les moines, ce qu'on a appelé la révolution safran, a précisé Mme Asselin à l'AFP.
À quoi bon continuer de citer les livres de Philippe Muray, lorsque le monde s'acharne à outrepasser ses prédictions les plus bouffonnes ? Je sens qu'on avance dans la bonne direction, là...
La féminité vous étonnera toujours, hein ?
RépondreSupprimeriPidiblue et le club des vieux machos
Touche pas à mon Djihad !
RépondreSupprimeriPidiblue aka Fifibrindacier qui a perdu sa petite culotte
c'est curieux qu'une petite culotte soit un symbole de paix.Et curieux que les femmes utilisent justement ce à quoi elles sont assimilées ou réduites ( un objet ou un entrecuisse) par ceux qui asservissent la femme pour militer pour leur cause
RépondreSupprimerps, d'ordre pratique :
les culottes doivent elles avoir été portées ?
Chat huant : Catherine m'a posé la même question...
RépondreSupprimerPeut-être faudrait-il appeler l'ambassade de Birmanie : ils doivent bien avoir une préférence, non ?
C'est peut-être de l'intox ! Une campagne lancée par les hommes ...
RépondreSupprimerJe ne comprends pas le rapport entre la petite culotte et la paix !
Mais si du Philippe Muray, c'est l'antidote, qui empêche de se pendre dans sa cave.
RépondreSupprimerAvoir insulté ces pauvres femmes birmanes, sans culottes qui plus est, vous vous rendez-vous compte à quoi vous vous laissez aller, je vous le dis moi, je suis très triste.
Il faut être une féministe québécoise pour ne pas se mettre à la place des Birmans, et ne pas se rendre compte qu'un tel geste discréditera immédiatement et l'organisation qui le préconise, et les revendications qu'elle avance.
RépondreSupprimerComment voulez-vous qu'un diplomate, quel qu'il soit, prenne au sérieux une seule seconde une pression politique appuyée par une telle démarche?
Bien que ne connaissant pas la Birmanie, je crois savoir, par ailleurs, que les Asiatiques sont généralement très prudes.
L'ethnocentrisme bovin de ces féministes, probablement gauchistes et soi-disant ouvertes à l'Autre, est hallucinant...
Emma : « insulté ces pauvres femmes »... c'est un peu fort non?
RépondreSupprimerDidier : Philippe Muray est indispensable !
Catherine : le rapport doit être un truc du genre " faites l'amour et pas la guerre". Rien de tel qu'une petite culotte pour déboussoler un militaire, les phéromones quoi !
Pluton en caleçon
Si vous aviez pris la peine de lire le tract, vous le sauriez, le rapport.
RépondreSupprimerGeorges, vous avez raison ! Mais j'ai pas envie de lire le tract. D'ailleurs, on devrait comprendre sans l'avoir lu. Vous pensez que l'ambassade et la junte va lire le petit tract pour savoir ce que signifie l'envoi de petites culottes ?
RépondreSupprimerEt Pluton, vous avez raison aussi. On devrait toujours faire l'amour plutôt que la guerre ! Depuis le temps qu'on le dit ...
Catherine et Didier, j'espère que vous n'avez pas pris mon petit mot au sérieux ? C'était uniquement pour rire des grands humanistes qui ont leurs grands sentiments en bandoulière.
RépondreSupprimerEmma, voyons, je le vois bien votre sourire en coin et votre clin d'oeil !
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