Cet après-midi, de cinq à six heures, Renaud Camus sera l'invité de Brice Couturier et Julie Clarini, dans leur émission de France-Culture, afin de débattre avec David Kessler, directeur de la station, Maryvonne de Saint-Pulgent, conseiller d'État, et Christophe Girard, adjoint au maire de Paris pour les Affaires culturelles. Il semble que cette invitation fasse suite à la polémique ayant opposée Frédéric Martel à Alain Finkielkraut, lors du dernier passage de Renaud Camus sur France-Culture, venu parler de son livre La Grande Déculturation.
Oui mais moi je préfère la radio Contre-Culture !
RépondreSupprimeriPidiblue contrariant
Avec Renaud Camus sur ce coup évidemment. Je tenterais de récupérer un mp3 sur France-Culture, car je ne pourrais l'entendre à 17 h.
RépondreSupprimerUn amoureux des belles lettres, des belles pierres, d'une certaine idée de la France, qui prend le courage de l'impopularité par amour de sa civilisation contre la World-Culture... à ne pas rater.
Pendant cet enculage de mouches, je me suis rendu aux water pour chier, est-ce grave docteur ?
RépondreSupprimeriPidiblue consulte le docteur House
Soupe classique à la guimauve. Beaucoup de prudences de toutes parts.
RépondreSupprimerMarcel... souchien qui s'ignorait tel.
Polémique à quel sujet ?
RépondreSupprimerNon, pas de polémique, rien, rendormez-vous. Tout va bien, il fait trente deux degrés, le vent souffle à 10 km à l'heure.
RépondreSupprimerAu Mont Ventoux, certainement pas Georges, on voit bien que vous n'habitez pas dans les hauteurs !
RépondreSupprimerFoin du rase-motte quand on a l'esprit sublime ...
iPidiblue prend de la hauteur
Dans cette émission la seule voix intéressante a été celle de madame de Saint-Pulgent, et celle de R.C., bien sûr, quelle patience chez lui, Il faut le saluer pour cela. Une deuxième écoute me permettrait de fixer les moments où monsieur Kessler partait en vrille, mais évidement cela fait perdre du temps pour finalement quoi ? Se désoler de la rigidité et de l'impossibilité qu'ont des gens bien "en place" d'accepter les analyses qui les dérangent.
RépondreSupprimerEmma : Mme de Saint-Pulgent a peut-être dit des choses intéressantes, mais s'il y avait bien une chose désagréable dans cette émission, c'était précisément sa voix ! (Sa diction, son phrasé, etc.)
RépondreSupprimerZoridae : rien de bien important. Il y a deux semaines, alors que Camus était l'invité de Finkielkraut sur France-Culture, l'animateur de l'émission précédente (Frédéric Martel) a dit à l'antenne qu'il ne voyait pas la nécessité de débattre avec Renaud Camus. Ce qui lui a valu, le samedi suivant, une verte remise en place de la part de Finkielkraut, directement mis en cause par son "confrère".
Ludo Lefebvre et iPidiblue : vous n'avez pas manqué grand-chose...
En relisant avec un tout petit peu de soin l’éditorial 45 de Renaud Camus consacré à la grande déculturation on comprend assez volontiers qu’il se fout de l’existence d’une élite cultivée comme de sa première gonorrhée. La culture est, de toutes façons, ascèse personnelle et le net lui paraît un sanctuaire autrement plus difficile à réduire au silence que les scriptoria des monastères. Ce qui lui importe, à mon sens, est de déplacer le syllogisme fondateur de ce texte, du domaine de la culture cultivée où il fonctionne sans trop de grippage (la sage tenue de l’émission d’hier de France Culture en est une démonstration de plus) dans celui de la culture comme ensemble des traits distinctifs d''une société -la « Francité » peut-être-, en nommant les « souchiens » et leur héritage culturel (même très affaissé) comme cette nouvelle classe cultivée, comme cet horizon, qu’à la marge, des nouveaux arrivants pourraient rejoindre.
RépondreSupprimera) la culture est un privilège de classe
b) il faut abolir ce privilège
c) ce que faisant on abolit la culture (puisqu'elle est ce privilège)
Le syllogisme devient :
a) la culture française (même affaissée) est privilège des français de souche
b) il faut abolir ce privilège
c) ce que faisant on abolit la culture française... l'identité française.
CQFD
Marcel très soucieux de conserver des chiottes là où d'autres voient déjà des "water". Bon il y a les commodités chez Georges aussi.
Non non, chez Georges aussi on va aux water, Marcel !
RépondreSupprimerCher Didier,
RépondreSupprimercomment, vous n'avez pas été ému par Mme de St Pulgent ? Je comprend bien..... malgré cette voix invraisemblable (Alain-Gérard Slama au féminin à peu près) sa diction était très nette.
Enfin, bon elle n'était pas invitée pour chanter des romances.
Non Georges ! NONNNNNNNNN ! Je ne PEUX pas le croire ! Je veux bien envisager la fin de la littérature, de la culture, votre conversion éventuelle au Didiergouisme, votre nomination dans un Collège Delerme, votre accession au grade de Médiateur Culturel, à la plus extrême limite, votre renoncement à votre blog, mais imaginer que chez Georges on use de "water", non !
RépondreSupprimerA quoi bon toute cette merde alors ?
Marcel
Mon Marcel, je te rassure, ce n'était que clin d'œil affectueux à Albert Cohen et à ses Deume.
RépondreSupprimerA chacun son "miyeu" et le tout-à-l’égout pour tout le monde.
RépondreSupprimerMarcel
Que celui qui a rayé le pare-choc de la BMW de M'Hamed Bellouti place de la Concorde le 14/10/2005 se dénonce, sinon je fais évacuer le blog de Didier !
RépondreSupprimeriPidiblue procureur de chiottes à la turque
Je m'en fous il y a amnistie !
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