Onze heures et quart du soir. Au mois d'août dernier, à cette même heure, Catherine était couchée dans le lit situé à main droite de l'écrivain, là, derrière la porte invisible. L'écrivain était absent. À sa place, il y avait moi. Courbé pareillement sur le clavier, mais écrivant des choses tout à fait sans intérêt – ces choses que vous avez lues depuis. Néanmoins, j'étais là.
certes, il devrait être plaisant d'y être, d'y avoir été, d'y aller, diurne et nocturne.
RépondreSupprimerTrès plaisant. Belle expérience.
RépondreSupprimerN'êtes-vous pas tenté d'y retourner ?
RépondreSupprimerAh! Les chauve-souris frôlant silencieusement le goulot des bouteilles...un vrai bonheur !
RépondreSupprimerChauveS-souris, mille excuses !
RépondreSupprimerDans un décor pareil, on ne peut écrire que de belles choses. Et kika pris la photo ?
RépondreSupprimerJe sens là la nostalgie....Y retournerez-vous?
RépondreSupprimerJe ne mettrai plus 3/4 d'heure pour vous joindre!
Orage
Pascale : non, pas trop...
RépondreSupprimerPluton : oui, hein ? Grand souvenir !
Francis : la photo est légendée "autoportrait"...
Orage : même réponse qu'à Pascale : probablement pas. Et puis, tout de même, ça ne dépend pas entièrement de nous, n'est-ce pas...