C'est aujourd'hui qu'on rigole, grâce à nos amis gauchistes et leurs ronds de bras jean-moulinesques. Car le premier mars, c'est la journée sans... sans... non, pas sans février : sans immigré ! Pas un, vous pouvez sortir vérifier dans vos rues, voire aller pique-niquer dans la plus proche cité-à-violence-sociale : personne ne vous emmerdera, vous serez tout seul à saucissonner halal. Même les caisses distributrices d'argent public seront fermées, sachant bien que personne ne se présentera au guichet avant demain. Du coup, leurs fonctionnaires pourront eux aussi aller manifester leur so-li-da-ri-té ! et crier leur dégoût du ventre encore fécond, qui doit bien traîner dans le coin, à l'affût d'un endroit où mettre bas, vicelard comme on le connaît.
Ah, en revanche, inutile de vous pointer dans l'un ou l'autre de vos restaurants habituels : la plupart des gargotes faisant suer le burnou à des Africains clandestins sous-payés, vous ne trouverez personne pour assurer la bonne marche du boui-boui. À moins...
À moins que les immigrés ne soient moins cons que ce que supposent les ânes gauchistes, bien nourris et bien rotant, qui tentent de se servir d'eux pour faire bouillir leur petit fricot. Et qu'ils se refusent à perdre une journée de salaire pour les larges yeux candides de ces crétins sournois, lequel salaire n'est déjà pas, etc.
Moi, si j'étais d'eux, les immigrés, voilà ce que je ferais : les pourvus d'emploi vont au turbin comme d'habitude, histoire d'assurer la pitance, et pendant ce temps on envoie les chômeurs et les cailleras devant les mairies, histoire que les légions célestes de chez nous se sentent moins seules avec leurs slogans, leurs mégaphones et leurs ballons multicolores. Comme ça, on gagne sur les deux tableaux, et ça fait du grain à moudre pour les journaux de vingt heures.
Putain, si j'étais pas là pour tout organiser...
Rajout de sept heures et demie : Finalement, on voit bien que c'est moi qui ai organisé le truc : y a eu personne nulle part, ou presque.
Ah, en revanche, inutile de vous pointer dans l'un ou l'autre de vos restaurants habituels : la plupart des gargotes faisant suer le burnou à des Africains clandestins sous-payés, vous ne trouverez personne pour assurer la bonne marche du boui-boui. À moins...
À moins que les immigrés ne soient moins cons que ce que supposent les ânes gauchistes, bien nourris et bien rotant, qui tentent de se servir d'eux pour faire bouillir leur petit fricot. Et qu'ils se refusent à perdre une journée de salaire pour les larges yeux candides de ces crétins sournois, lequel salaire n'est déjà pas, etc.
Moi, si j'étais d'eux, les immigrés, voilà ce que je ferais : les pourvus d'emploi vont au turbin comme d'habitude, histoire d'assurer la pitance, et pendant ce temps on envoie les chômeurs et les cailleras devant les mairies, histoire que les légions célestes de chez nous se sentent moins seules avec leurs slogans, leurs mégaphones et leurs ballons multicolores. Comme ça, on gagne sur les deux tableaux, et ça fait du grain à moudre pour les journaux de vingt heures.
Putain, si j'étais pas là pour tout organiser...
Rajout de sept heures et demie : Finalement, on voit bien que c'est moi qui ai organisé le truc : y a eu personne nulle part, ou presque.
Didier Goux ! Chef des gauchistes !
RépondreSupprimerEt une journée sans français de "souche" ça donnerait quoi ?
RépondreSupprimerEt si tous les auvergnats...
RépondreSupprimer:)
"les chômeurs et les cailleras devant les mairies".
RépondreSupprimerCe sombre amalgame vous vaudra un point de plus sur l'échelle du Mrap(qui en compte je ne sais plus combien)
C'est pas le cloitre de la cathédrale de Treguier? On dirait . ...
RépondreSupprimerIl est bon ce billet...
RépondreSupprimerBillet pas assez virulent pour monter au classement WiMrap
RépondreSupprimerNicolas : non, non : chef cuistot seulement !
RépondreSupprimerPaul : tiens, ce serait à tenter...
CC : ça existe encore, ça, les Auvergnats ?
Suzanne : on y travaille, on y travaille.
Geargies : je mettrais plutôt ça du côté de Toulouse. Mais en fait je ne sais pas : j'ai retrouvé ça dans les archives photos de l'Irremplaçable...
Faucon : merci !
Polluxe : ah ben... mettez-vous d'accord avec Suzanne, hein !
C'est qu'ils sont très exigeants au Mrap...
RépondreSupprimerIl s'agit du cloitre de Moissac (fin du XIe siècle) dans le Tarn et Garonne, un des mieux conservés de l'Occident chrétien (enfin de ce qu'il reste de l'occident chrétien).
RépondreSupprimerDidier, vous tenez une forme épatante après une journée passée à feignasser ; faites gaffe, vous allez faire péter le compteur du Mrap...!
RépondreSupprimerGui l'an neuf : ah merci ! En effet, je me souviens de cette visite à Moissac, au printemps 2007, couplée avec celle de Plieux. Donc, en évoquant Toulouse, je n'étais pas tombé loin...
RépondreSupprimerPluton : on fait, avec aujourd'hui, cela fait DEUX journées à feignasser !
300 selon les manifestants, 5000 selon la police.
RépondreSupprimerPas d'immigrés dans les rues...
RépondreSupprimerrestez à la maison pour surveiller vos mères, vos filles et vos femmes, avant qu'un sperme impur n'abreuve leurs sillons
(tiens, c'est la première fois que Marine me fait rire... Y a un début à tout!)
RépondreSupprimerIl me faudrait un smiley rigolard et bondissant pour exprimer ma franche rigolade.
RépondreSupprimerMais chez vous y'en a pô....
Alors comment dire....LOL!!
Fredi : je tiens des "mort de lol" fabrication maison et garantis bio à votre disposition...
RépondreSupprimerDidier: mordelol sonne bien aussi, on dirait presque un ancien juron de la famille des morbleu...
RépondreSupprimeret je suis d'accord avec Passante, mais je ne voudrais pas la réveiller: la remarque de Marine est très drôle !
RépondreSupprimerSuzanne, ne vous en faites pas, je ronronne ailleurs en ce moment et n'ai pas le temps de venir "troller" vos blogueurs blagueurs...
RépondreSupprimerMerci les filles!
RépondreSupprimerYa que vous pour rire avec moi: solidarité féminine?
Solidarité féminine: pas seulement, sens de l'humour (hyper) développé... (mais si, mais si!)
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