vendredi 27 février 2009

Ode silencieuse à Marcellin Dieumegard

À lui et aux autres...

7 commentaires:

  1. Après une petite recherche sur internet, vous êtes le seul à faire mention de ce Marcellin Dieumegard.
    La mémoire nationale est une toute petite chose…
    :-))

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  2. T'aurais dû attendre dimanche (et croix).

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  3. Je ne sais pas si vous connaissez le site mémoire des hommes, mais on y trouve ceci: http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/lib_memh/php/fiche_popup.php?_Base=MPF1418&_Lg=fr&_Fiche=CCRIVQRRqAMCdBQDfGSsEQ==&_C=384817364

    Tout aussi poignant est le fait qu'on trouve 27 porteurs de ce patronyme morts pour la France entre 1914 et 1918, presque tous originaires de Vendée, de Charente-Maritime ou des Deux-Sèvres. Une famille décimée?

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  4. NAIF : merci pour ce lien ! J'avais entendu parler de ce site mais sans en avoir l'adresse. Bonne initiative que de rendre hommage ainsi sur le net !
    :-))

    [Ils sont mal référencés, je ne les ai pas vus avec Google !!!].

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  5. Y avait largement la place de mettre le E à la fin.

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  6. Naïf : grand merci pour ce document. Une famille ? Sans doute pas, en tout cas au sens restreint, actuel, du mot "famille". Mais des gens qui, depuis plusieurs siècles, étaient liés (ou ennemis mortels...), c'est sans doute évident. Voir Ursule Mirouët, de Balzac, roman mangifique se déroulant à Nemours, où toutes les familles ont un double nom dont l'un l'un est "Levrault".

    Et encore de nos jours, cette anecdote : mon cardiologue s'appelle "Berger-Canal" (nom inventé mais proche du vrai). Lors de ma dernière visite, je lui ai demandé (au moment de rédiger le chèque...) si son nom réclamait le trait d'union. Pour faire très bref, il m'a expliqué que cela dépendait à quelle branche des Berger-Canal on appartenait ; et il a pris le temps de m'expliquer à quelle époque, et à la suite de quel incident, l'une des branche a "perdu" son trait d'union. Ce sont des histoires que j'adore.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.