lundi 16 février 2009

Elle n'en mène pas large, la bête immonde !

Si vous ne le connaissez pas encore, ce qui me surprendrait vu le matraquage publicitaire dont il fait l'objet depuis trois semaines, je vous conseille de vous rendre sur ce nouveau blog. Et de le lire, sinon c'est pas drôle.

Le ventre-encore-fécond peut numéroter ses abattis, je vous le dis.

41 commentaires:

  1. C'est un bon conseil et de saines lectures, Didier. Moi, je les trouve très bien, ces femmes engagées.

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  2. Oui, je m'en doute. D'une certaine manière, moi aussi, du reste...

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  3. bon, concrètement, c'est quoi qui vous plait pas, le violet, c'est ça?

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  4. Didier, si vous n'existiez pas il faudrait vous inventer :-)

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  5. Je me demande si ça n'est pas tout simplement parfaitement chiant.

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  6. J'aime bien la bannière faisant la promotion d'un site internationale de rencontres asiatiques (eh M.Cadburry tu pourrais pas les faire un peu plus petite)

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  7. Audine : dans mes bras. Oui, bon, hein, je veux dire que je suis juste d'accord avec le parfaitement chiant. C'est neuneu, cucul, bêta, poussif, entre le catéchisme et l'infantilisme. Le genre de truc qu'on ne peut pas critiquer, sinon, c'est qu'on est méchant. Le pendant du club pour les hommes où on s'emmerde entre hommes en buvant du ouiski et en parlant de choses moins émoustillantes que ne se l'imaginent les épouses.

    C'est un blog féminâtre, un club de meufs interdit aux hommes, pour ne pas spolier la parole de ces dames. J'ai du laisser un commentaire moqueur passé inaperçu dans la léthargie ambiante.
    Et pourtant, il y en aurait, des sujets, pour les féministes...

    Suzanne

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  8. Réponse globale : je ne voudrais pas qu'on se méprenne et qu'on me taxe d'ironie ou de méchanceté : je le trouve réellement attendrissant, moi, c blog, avec son côté "devoir sur table" de classe de seconde.

    Et puis, j'ai toujours eu une attirance coupable pour les autoportraits flattés.

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  9. Je ne suis pas fanatique des regroupements entre personnes du même genre. Je trouve que pour les femmes ça a un côté gazelles groupées contre le lion, une illusion de force un peu triste.

    Par ailleurs, je ne goûte guère votre ironie non assumée. Vous semblez les trouver touchantes (vous dites "attendrissantes" comme des petites filles jouant aux grandes autour d'une maison de poupée) ; vos propos sont, je trouve, d'un méprisant envers ces personnes qui possèdent des blogs de qualité... Vous pouvez bien vous fendre d'un "réellement", cela ne change rien à l'acidité de vos propos !

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  10. Ouais,
    vu comme ça,
    en tout cas, on a tout à craindre d'un blog commun qui serait tenu par Audine et Suzanne :)

    Sinon, je suis plutôt d'accord...enfin...disons que je trouve que le féminisme se perd dans des petites luttes (voire même, elle lutte à contresens, sans s'en rendre compte)

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  11. Courage, fuyons! Rien de mieux à nous proposer, Didier, que ces paroles insipides de passionarias en herbe?

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  12. Marie-Georges : qu'appelez-vous une ironie "non assumée" ? L'ironie, il me semble, doit précisément se situer dans l'indécidable, dans le "jamais sûr", sinon, c'est de la moquerie, de la charge, tout ce que vous voudrez, mais plus de l'ironie.

    D'autre part, vous franchissez un peu allègrement le fossé qui sépare l'ironie du mépris.Je ne ressens de mépris que rarement et pour très peu de personnes : il n'y en a pas ici, croyez-moi (ou non).

    Que ces jeunes femmes aient par ailleurs des blogs de qualité, je serais bien le dernier à pouvoir le nier, n'en ayant visité – et encore très brièvement – qu'un ou deux.

    Quant à cet acide que vous avez savamment extrait de mes quelques mots, oui, c'est possible qu'il y soit en effet, et alors ? L'acide est interdit ? On ne peut plus réagir à une parole publique que par l'applaudissement et le dithyrambe ? Je dois absolument m'extasier devant ces professions de vertu complaisamment étalées, ces louanges que ces dames s'adressent chacune à soi-même, ces âmes humanistes qui vérifient dans leur blogomiroir collectif qu'elles sont toujours les plus belles et les plus pures ? Et puis quoi encore ?

    Dorham : ah, ça, un blog commun Suzanne / Audine, j'achète immédiatement, en revanche !

    Orage : eh bien, au risque de me répéter, je trouve tout cela très intéressant, moi. Peut-être pas "en soi", en effet, mais pour les portraits qui finissent par se dégager de l'ensemble. Et je continuerai à y aller chaque lundi – sans commenter, évidemment : j'ai appris à me tenir...

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  13. Dorham : je crois que vous faites fausse route en parlant de "féminisme", ici. Le propos essentiel ne me paraît nullement être la "conditon féminine ; et la question fondatrice, quoique non dite, de ce blog me semble être plutôt : "Pourquoi et comment sommes-nous si admirables ?".

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  14. Merci Monsieur Goux d'avoir rompu la bienséance de la pensée unique. La lecture des différents commentaires a provoquée ma franche hilarité car les critiques faites sont absolument celles que l'on peut hâtivement déduire de la lecture des derniers articles de ce blog.

    Toutefois, outre que la notion d'ennui est on ne peut plus relative (moi-même ayant un peu de mal à supporter la mièvrerie audinesque que vous appréciez tant), il est je crois trop tôt pour stigmatiser un blog qui n'a que 15 jours d'existence.

    Je vous propose donc, ainsi qu'à vos lecteurs et lectrices, d'attendre un peu et surtout de se renseigner sur les blogs respectifs de celles qui vous qualifiez d'"attendrissantes". Ce qualificatif, en effet, m'a fait sourire tant il convient peu au ton général et prises de position de nos blogs :-)

    Tandis qu'Audine rêvasse, les femmes engagées tout comme de multiples autres acteurs de la blogosphère, décortiquent l'actualité, traquent la manoeuvre, analysent la chose politique sous des angles différents et parfois contradictoires.
    Il y a fort à parier donc, qu'une fois le rodage réalisé, le blog collectif quitte les rivages gnangnans que lui reprochent vos lecteurs et que je leur sais gré d'avoir indiqué ici :-)

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  15. Didier,

    Je ne parlais pas de ce blog particulièrement. Je m'interroge juste par exemple sur cette propension qu'ont certains individus de gauche à défendre par exemple le congé parental ; soit : une loi qui propose à une femme ou un homme (arrêtons l'hypocrisie, 95 % des personnes qui sont en congé parental sont des femmes) de rester au foyer moyennant une paye de misère.

    Bref, des féministes qui militent pour le maintien d'une loi qui sent le gaullisme à pleins naseaux, ça m'interroge, voyez !

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  16. Moi ce qui m'amuse, c'est que si ce groupe était composé d'hommes ou bien mixte, personne ne se poserait la question... en tout cas pas de cette façon. Nous avons simplement transposé nos JE en un NOUS collectif, une sorte de chorale qui cherche son LA... Mais ne vous inquiétez pas pour nous, nous avons encore quelques tours dans notre sac, vous vous en doutez bien....

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  17. Dorham, quand je lis votre article sur le congé parental, je me dis que nous avons vraiment raison de réserver notre blog à des paroles féminines.

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  18. Bouge pas tonton, j'amène la boue et les strings, sinon c'est pas marrant.

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  19. Olympe,

    Je ne critique pas le fait que vous réserviez votre blog "à des paroles féminines", je ne comprends pas comment on peut soutenir une loi qui favorise le maintien de la femme au foyer et en quoi cela peut être "féministe" ou de gauche.

    D'autre part, tout masculin que je sois, je suis également père de famille (je crois même pouvoir dire que je suis ce genre de père qui récupère après le boulot les gosses à la sortie de l'école, les lave et leur fait la bouffe en attendant que la mère rentre à la maison, plus tardivement ; nos boulots se complètent, elle se charge des matinées) et je constate aujourd'hui que pour ce qui concerne les crèches, la demande est nettement plus forte que l'offre (à Paris, certaines femmes sont contraintes au congé parental, contraintes de mettre un bémol à leurs aspirations personnelles), que les 4/5èmes sont la plupart du temps refusés par les employeurs, que les allocs sont les mêmes pour les familles aisées et pauvres et qu'il n'y a pas ou plus de politique de petite enfance.

    A mon sens, le congé parental va à l'encontre du droit des femmes, c'est une loi qui a des effets en tout cas qui vont à l'encontre de ce but là.

    Mais si vous voulez me démontrer le contraire, je suis tout disposé.

    Pour terminer, je peux me définir tout à fait comme féministe. C'est non seulement un combat légitime mais surtout un combat de l'intelligence contre l'idiotie. j'aime les féministes...enfin...les vraies.

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  20. (Trub, tu déconnes, j'te jure... j't'adore mais tu déconnes...ça n'a rien à voir avec ce que tu dis là et je crois même que tu le sais)

    D'autre part, je trouve piquant que deux interventions (celle d'Olympe et celle de Marie Laure) fassent passer deux d'entre nous (Audine et moi) pour de fieffés cyniques de bazar (alors que la première est une "vraie" féministe, très active dans la sphère sociale (plus que vous et moi sans aucun doute) et que pour ma part, je suis un des rares féministes sincères et non complaisants (je veux dire par là, pas ce genre de cons qui prétend que les femmes sont l'avenir de l'homme ou qu'elles sont plus intelligentes que nous, les hommes...blablagnangnangnan (ces serpillères sont en réalité les plus sexistes, méfiez-vous en)).

    Le féminisme n'est pas une pochette surprise. En tout cas, cette lutte ne peut pas décemment vouloir tout et son contraire. Précisément, avant d'être un lutte, ce fut une pensée, très structurée, très féconde (pas un bordel épidermique).

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  21. Moi j'avais lu "Femmes engorgées"

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  22. @Dorham
    Je ne parle pas de féminisme dans mon commentaire. Le sujet du billet étant le blog des femmes engagées, je me contente de répondre aux points de vue exposés concernant son ton général et les sujets qui y sont abordés.

    J'attire juste l'attention sur le fait que cette appréciation est à la fois subjective et sujette à caution puisque basée sur les quelques premiers billets d'un blog qui est à peine né. Ce faisant, je ne vous taxe pas de cynisme et ne juge personne.

    Pour en revenir au féminisme qui semble vous préoccuper, sachez que ce n'est pas l'unique object du blog et qu'il y a dans notre groupe des femmes qui ont à ce sujet des points de vue très contrastés, comme il y a des avis variés sur la chose politique, la notion d'engagement ou que sais-je encore.

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  23. Marie-Laure : d'abord, je n'ai rien "stigmatisé" du tout. Tout juste si j'ai laissé poindre une légère (?) ironie en indiquant l'existence de votre blog commun. Secondement, je n'ai fait aucune allusion à vos blogs individuels respectifs. D'autre part, le qualificatif "attendrissant" n'est pas à sens unique, si je puis dire ; par conséquent, vous ne pouvez savoir ce qui m'attendrit, moi. Enfin, j le répète sans me lasser, je persiste à trouver ce blog collectif fort intéressant, pour des raisons qui me sont personnelles et qui sont sans intérêt pour tout autre que moi, je suppose.

    Trublyonne : cessez de jouer les sainte Ségolène socialiste et martyre : "si on ose me critiquer, c'est parce que je suis une femme et que vous êtes rien que des gros machos !"

    A propos de machos, Dorham n'est qu'il vil collabo qui sera tondu et baladé à poil en place publique, le jour de la libération des mâles, si par hasard celle-ci se produit un jour, ce dont je doute un peu plus chaque jour.

    Nef : remplace-moi la boue par du chocolat fondu : au moins, ça nourrira les combattantes...

    Sinon, pour la suite de la conversation, désolé de n'y pouvoir participer : j'ai tout à l'heure congelé trois clandestines roumaines dans un camion frigorifique et il faut que j'aille vérifier qu'elles sont bien mortes.

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  24. Peut-être les mots ont-ils changé de sens, avec le temps. Pour moi, quand on dit "engagé", je pense à quelque chose qui va de Zola et Victor Jarra au colleur d'affiches qui croit à ce qu'il fait, en passant par l'homme politique qui, au nom de ses convictions, dit non à une alliance opportuniste en sachant qu'il perdra une élection. Les ouvriers de la commune qui se battaient pour que le seuil des écoles soit ouvert à leurs enfants étaient engagés. Les professeurs qui donnent le meilleur d'eux même dans des établissements difficiles pour amener le plus grand nombre d'élèves à la culture alors qu'ils pourraient être dans des lycées bourgeois sont engagés. Les juges italiens qui luttent contre la mafia sont engagés, mais aussi le chauffeur de ces juges qui choisit de ne pas changer de boulot, alors qu'il sait qu'il a un gros risque de sauter avec la voiture. Les femmes afghanes qui enseignent en cachette aux petites filles, sont engagées et féministes. Les gens comme Talisma Nasreen qui se chopent des fatwas sont engagés et féministes. La dame qui, dans son gîte rural, a demandé a des femmes voilées d'enlever leur voile dans la salle à manger commune et a été condamnée pour ça, est engagée et féministe. Les blogs qui essaient de faire réfléchir, qui informent, qui acceptent le dialogue, sont plus ou moins engagés.

    Et non, comme l'exprime très bien Didier, ces attendrissantes célébrations narcissiques. Attendrissantes dans le sens où on ne peut pas être contre les bons sentiments exprimés avec tant de gentillesse et que, si l'on critique, c'est qu'on se moque de ces femmes propres dans leurs idées (qu'elles expriment avec candeur et maladresse, mais faut pas le dire sinon on suggère que les femmes sont mièvres et on tombe dans le sexime ?) et qu'on est un(e) vilain(e) cynique.

    Après tout, s'il plait à un groupe de femmes de tenter cette forme d'épanchement choral, et s'il plait à des lecteurs d'y trouver des qualités, pourquoi pas ?

    Pour l'instant, je ne connais pas de blog commun entre hommes qui veulent exprimer un point de vue viril sur l'actualité, la politique et je ne sais quoi encore.

    à quand le blog politique des rousses du Lubéron, des vieilles du Nord, des grosses bretonnes ou des protestantes ardéchoises ?

    Suzanne

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  25. Suzanne, plus j'y pense, plus je trouve que vous devriez VRAIMENT ouvrir un blog !

    Avec ou sans Audine.

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  26. "Tandis qu'Audine rêvasse, les femmes engagées tout comme de multiples autres acteurs de la blogosphère, décortiquent l'actualité, traquent la manoeuvre, analysent la chose politique sous des angles différents et parfois contradictoires.
    Il y a fort à parier donc, qu'une fois le rodage réalisé, le blog collectif quitte les rivages gnangnans"

    Quel suspense.
    La blogosphère n'attendait plus que ça.
    Vivement que ça ressemble un peu moins à une liste d'ex voto.

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  27. @ Didier Goux
    J'ai bien compris. Je n'ai pas dit d'ailleurs que c'était vous qui stigmatisiez...

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  28. Suzanne, peut être que l'on ne s'est pas aperçu de l'invention de l'engagement à 0% de risques ?
    Des fois on doit louper des trucs.

    Faisons un blog "femmes ayant loupé des trucs".

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  29. "Tandis qu'Audine rêvasse, les femmes engagées tout comme de multiples autres acteurs de la blogosphère, décortiquent l'actualité, traquent la manoeuvre, analysent la chose politique sous des angles différents et parfois contradictoires."

    Oui, ça m'a fait rire aussi. C'est parfois rigolo, quand on critique les apôtres du dialogue et de la tolérance, de voir le genre de petite vacherie (parfaitement inoportune, là) qu'ils sont capables de balancer en retour.
    Quant au langage... "acteur de la blogosphère, traquent la manoeuvre..." ha ha ha. Quel vocabulaire (champ lexical, ma chère) à la con !

    Suzanne

    Didier
    Un blog ? je repense à une "sortie" de Catherine, une fois. Elle disait à peu près:" ...ces gens qui critiquent les blogs des autres, et qui n'ont même pas le talent et le courage d'en faire un eux-même". je suis un peu dans ce cas !

    Suzanne

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  30. Si quelqu'un ici a une définition de l'engagement à me procurer, je suis preneuse au fait !
    Dorham : il faudra que je t'explique un jour... il faudra.
    31ème commentaire :-)

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  31. Trub,

    oui, j'aimerais bien. Parce qu'encore une fois, si il y a bien une chose que je n'aime pas, c'est le systématisme de pensée. Ce truc qui permet de dire que celui-là est comme ci, celui-là comme ça !

    Autre chose qui tue à petit feu l'engagement, l'idée savamment véhiculée qu'on est toujours plus engagé que l'autre, l'idée que l'autre est toujours le social traitre.

    Les idées même bonnes, même belles sont toujours à discuter et à éprouver...

    (mais comme tu es particulière à mes yeux, j'attendrai qu'un jour, il faudra, un jour)

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  32. Didier,

    Vous apprendrez que les ritalalacons n'ont besoin d'aucune libération pour être libres de fait. Ils le sont de naissance.

    Idem pour son sens de l'équilibre.

    On peut être féministe (ou allez, épouser la cause féministe) et avoir les couilles parfaitement en état.

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  33. Vous serez tondu quand même ! Pas de Libération sans une ou deux p'tites bavures...

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  34. je n'ai pas lu tout les commentaires, je vais les lire après, alors pardon pour les éventuelles redites.
    Nous sommes un groupe de femmes et nous tentons quelque chose, un peu maladroitement au début, un peu naïvement peut-être, mais nous essayons....ensembles de créer une dynamique. De groupe, la dynamique....
    ça m'embête de devoir écrire cela, je n'aime pas beaucoup me justifier "never explain, never complain" comme dit la reine d'Angleterre, mais je crois quand même bien de re-préciser certaines choses.
    Et puis je crois qu'il faut arrêter avec cette connerie qui est de dire que c'est un club "interdit aux hommes".
    Qui sait comment ce blog va évoluer.
    Laissez nous le temps de grandir un peu, et nous acceptons bien volontiers les critiques....constructives et dites gentiment. :)

    Voilà, bonne soirée DIdier G.
    je vais maintenant lire tes 34 commentaires

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  35. Didier,

    vous ne courez pas assez vite...

    ---

    MrsClooney,

    Pour ma part en tout cas, ça ne me dérange aucunement que ce blog ne soit qu'exclusivement rédigé par des femmes.

    En quoi cela pourrait-il constituer un problème ?

    Regardez, ce blog là, sur lequel se vautre Didier Goux, n'est bien rédigé que par un seul réac... si c'est pas super exclusif ça...

    (en plus, un réac qui arrête de fumer et qui fait des promenades, je le rappelle)

    ---

    Tiens, Didier, vous essaieriez pas de plagier Jacques Chirac. (est-ce que votre chien vous a mordu dernièrement ?)

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  36. Tombé dessus ce matin, et en ai effeuillé quelques liens. C'est vrai que c'est parfois amusant, la recherche désespéré d'un équivalent masculin à chipie. Finalement je préfère les blogs girly sans prétention où on hésite pas à traiter ceux qui le méritent de malotru, sans vouloir refaire le dictionnaire de l'académie française.

    Et l'engagement féminin, je n'ai jamais compris en quoi il est spécifique. Les femmes de pouvoir ont généralement des qualités viriles redoutables, y compris Jeanne la Pucelle.

    Je crois que le seul intérêt de ce truc est d'être un microcosme de la vanité de l'époque. C'est bien suffisant.

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  37. Didier, je reprenais votre "je ne voudrais pas qu'on me taxe d'ironie..."
    Je vous taxe quand même. Hop !
    Pour le mépris je vous crois, je dis juste que cela sonne comme tel à mes oreilles oculaires...
    Et alors, on n'a plus le droit de commenter/troller ? Je vous renvoie la question Didier ! Je dois applaudir béatement à chaque billet hein ? Hein ?

    Ce que je voulais souligner, c'est cette posture, que je vous connaissais déjà, façon "Ouarf, visez l'truc ! Euh je ne voudrais pas... Mais quand même, allons... Mais d'un sens j'aime bien hein..." qui à chaque fois m'étonne. Ou ma subtilité a des limites, c'est fort, fort possible aussi.

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  38. Mais c'est qu'elle répond, l'insolente !

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  39. J'ai lu ce que ces dames disaient de l'engagement, et je me rends compte que Trublyonne, par exemple, et moi, on ne parle pas du tout de la même chose.

    pour elle:

    "j'ai toujours trouvé normal de m'engager. Déléguée parents d'élèves quand mes enfants étaient petits, présidente d'un choeur amateur ensuite"
    "le secteur associatif ou beaucoup de femmes se retrouvent afin de faire vivre leur quartier."
    "quelques femmes que je cotoyait depuis longtemps et dont le courage et l'énergie m'ont toujours étonnée"

    ( Trublyonne)

    Pour CC, l'engagement est un atavisme: son père a été responsable d'un club de foot toute sa vie.

    J'ai dit plus haut ce que j'entendais par "engagement", moi, terme qui pour moi implique un choix personnel, idéologique, avec un but, des renoncements, des prises de risque.

    Donc, c'est normal qu'on s'engueule ou qu'on ne se comprenne pas. Je pense qu'on a les mêmes différences d'appréciation du mot "féminisme" (et peut-être même "politique ?)


    Suzanne

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  40. Merde, je crois que j'ai la même définition de Suzanne. Je crois qu'il y a en fait confusion entre "activité" et "engagement".

    Cela dit, c'est hyper restrictif, l'engagement selon ce critère, c'est une forme d'ascétisme, un abandon...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.