« La haine aveugle contre les sociaux-démocrates prit une tournure décisive vers le milieu de janvier 1931, lorsque Georgi Dimitrov publia un mémorandum secret d'instructions pour tous les chefs et sous-chefs des colonnes communistes. (...) Résumées en une phrase, les instructions visaient à une action unique du parti communiste et du mouvement hitlérien pour accélérer la désintégration du bloc démocratique croulant, “qui gouvernait l'Allemagne”.
« (...) À partir de ce moment-là, malgré la cruauté sans cesse croissante de leurs affrontements, le parti communiste et le mouvement de Hitler joignirent leurs forces pour couper la gorge aux démocraties déjà vacillantes. C'était une alliance étrange qui ne fut jamais proclamée officiellement ou reconnue par la bureaucratie rouge ou brune : mais elle constituait un fait patent, sinistre. Beaucoup parmi les membres du Parti résistèrent obstinément. Trop disciplinés pour dénoncer ouvertement le Comité central, ils commencèrent une campagne silencieuse de résistance passive pour ne pas dire de sabotage. Cependant, les éléments les plus loyaux, dont je faisais partie, appliquèrent énergiquement ces dernières directives. Des trêves furent conclues d'un commun accord entre partisans de Staline et de Hitler chaque fois qu'il y eut à opérer une razzia ou à briser les réunions et manifestations du front démocratique.
« Durant la seule année 1931, je participai à des douzaines d'entreprises terroristes de ce genre avec les éléments nazis les plus douteux. »
Jan Valtin, Sans patrie ni frontières, p. 302-303.
« (...) À partir de ce moment-là, malgré la cruauté sans cesse croissante de leurs affrontements, le parti communiste et le mouvement de Hitler joignirent leurs forces pour couper la gorge aux démocraties déjà vacillantes. C'était une alliance étrange qui ne fut jamais proclamée officiellement ou reconnue par la bureaucratie rouge ou brune : mais elle constituait un fait patent, sinistre. Beaucoup parmi les membres du Parti résistèrent obstinément. Trop disciplinés pour dénoncer ouvertement le Comité central, ils commencèrent une campagne silencieuse de résistance passive pour ne pas dire de sabotage. Cependant, les éléments les plus loyaux, dont je faisais partie, appliquèrent énergiquement ces dernières directives. Des trêves furent conclues d'un commun accord entre partisans de Staline et de Hitler chaque fois qu'il y eut à opérer une razzia ou à briser les réunions et manifestations du front démocratique.
« Durant la seule année 1931, je participai à des douzaines d'entreprises terroristes de ce genre avec les éléments nazis les plus douteux. »
Jan Valtin, Sans patrie ni frontières, p. 302-303.
Désolé de briser le beau rêve, camarades...
Ah ! Merde !Les gauchos sont des fachos.
RépondreSupprimerMais oui... ne jamais oublier que Mussolini vient du socialisme le plus conventionnel, même limite "libertaire" dans sa jeunesse... et que le mouvement de Hitler s'appelait bien National-Socialisme.
RépondreSupprimerA voir votre acharnement à trouver dans la lecture de ce livre tout ce qui confirme votre thèse d'une similitude parfaite entre communisme et nazisme, on finira par croire que vous tentez de donner une respectabilité au nazisme!
RépondreSupprimer"A voir votre acharnement à trouver dans la lecture de ce livre tout ce qui confirme votre thèse d'une similitude parfaite entre communisme et nazisme, on finira par croire que vous tentez de donner une respectabilité au nazisme!"
RépondreSupprimerQuand on en arrive à ce degré de bêtise et/ou de saloperie, la conversation s'arrête, si tenté qu'est ait vraiment commencée. On peut toujours alors mimer la conversation, mais pas avoir une conversation. Comme un chinois et un Auvergnat qui ne parleraient que leurs langues respectives et qui parleraient chacun leur tour.
C'est vrai que vous êtes assez bien placé XP, dans les commentaires de votre site, les nostalgiques du nazisme se ramassent à la pelle.
RépondreSupprimerOui, oui, je ne peux pas vous dire le contraire. C'est un site qui respire l'antisémitisme à plein nez. Moi-même, je ne rate jamais une occasion de dire tout le mal que m'inspire les juifs, et ça dure depuis des années.
RépondreSupprimerLa preuve, tous les antisémites de la toile nous portent aux nues.
Vous êtes décidemment un champion du monde, vous.
"A voir votre acharnement à trouver dans la lecture de ce livre tout ce qui confirme votre thèse d'une similitude parfaite entre communisme et nazisme, on finira par croire que vous tentez de donner une respectabilité au nazisme!"
RépondreSupprimerEt voilà... un Point Godwin de distribué pour se soulager de n'avoir aucun argument.
Ce qui serait intéressant cher Henri, je ne vous connais pas et, croyez-le bien, n'ai aucune animosité envers vous, ce serait d'entendre des contre-arguments à ceux que j'ai évoqué, vite fait, sur l'autre billet de Didier... par ici :
http://didiergouxbis.blogspot.com/2010/06/de-la-crapulerie-communiste.html
Parce que vous comprenez, cher Henri, il ne suffit pas de se crisper sur ses convictions, encore faut-il avoir le courage de les remettre en question. Il ne s'agit pas de débattre, mais peut-être de dialoguer comme l'entendait ce scientifique, David Bohm (encore un juif !), qui entendait reprendre le dialogue au sens étymologique du terme : PERCER LE LOGOS. Aller au bout de la Logique.
Et puis méditez cette phrase de George Orwell : "Il y a des gens comme les végétariens et les communistes, avec qui il est impossible de discuter." Et tentez, au moins pour ce qui est de votre personne, de ne pas lui donner complètement raison.
@Nébo
RépondreSupprimerIl n'y aurait aucun mal à ressentir de l'animosité contre ce totalitaire qui passe son temps à faire des procès d'intentieon et lancer des anathèmes.
On discute du totalitarisme, mais pas avec des totalitaires.
C'est mon côté homme de gauche, XP... ^^
RépondreSupprimerLe coeur dans la main... prêt à dialoguer avec tout le monde... esprit pacificateur et plutôt ouvert... et puis si Henri est amateur de vin, ça le sauve un peu... quoi que... il faut s'empresser de lui dire que les bons crûs, en pays communiste, j'entends par là ceux qui étaient sélectionnés dans les pays ayant le savoir-faire requis (comme la France), ces histoires de dégustation, de nuance, de détails dans les arômes, d'épaisseur ou de clarté, etc... c'était encore, et toujours, considéré comme de la posture de bourgeois? Le populo ne demande qu'un bon picrate.
Merde, j'ai mis un accent circonflexe sur le mot "cru", et pourtant je ne suis pas fatigué. Espérons que Henri, à cheval sur les règles, ne m'en tiendra pas rigueur.
RépondreSupprimer« A voir votre acharnement à trouver dans la lecture de ce livre tout ce qui confirme votre thèse d'une similitude parfaite entre communisme et nazisme, on finira par croire que vous tentez de donner une respectabilité au nazisme! »
RépondreSupprimerHenri, je ne sais pas si Didier Goux donne une respectabilité au nazisme, mais vous exaltez, vous, la bêtise, et la portez à un point d'incandescence rare. "Un champion du monde", ça je ne sais pas, mais un athlète, ça oui, et un beau !
Mon commentaire ne volera pas aussi haut, mais mon grand-père, juif d'Odessa, parti vite fait avec sa famille à la suite des pogroms organisés par ces bons communstes qui ne voulaient que le bien du petit peuple pauvre et passé en allemagne avant aussi de se débiner ici, avait l'habitude de dire " Staline et Hitler ne m'ont pas eu, c'était pourtant la même tribu...." pardon pour les antisémites qui passeraient ici, il s'appelait Mosche Chapira, c'était un grand lettré, un excellent musicien et les clients de sa cordonnerie l'aimaient......
RépondreSupprimerCher Boutfil... je ne suis pas chez moi ici... mais pour ce que vous venez de dire je vous dis "merci".
RépondreSupprimerBoutfil! Ca c'est une nana!
RépondreSupprimerJe suis fière d'être dans le même parti qu'elle, le BCCCE!
Merci Georges, ainsi qu'à vous Didier, pour ces billets. Bon dimanche.
RépondreSupprimerNazisme, Communisme .... Mais enfin pendant ce temps là il y a la Gay Pride !
RépondreSupprimerMais au fait, la liberté est-elle un mythe ?
Il faut donc que je m'explique, je hais le nazisme comme le communisme et je n'aime pas non plus l'extrême droite et ses idées.
RépondreSupprimerNebo dans ce débat le point Godwin on y est déjà depuis trois notes.
Si la réflexion que je fais à Didier Goux est blessante et qu'il la reçoive comme ça, c'était une mise en garde (on finira par croire...)je lui présente mes excuses aussitôt, avant qu'il le demande.
XP vous êtes en effet pro-israelien mais disons que l'extrême droite a changé de bouc émissaire, elle est devenue violemment anti-arabe.
Et je n'aime pas les généralisations, c'est simplement ce que j'essaie de dire ici.
À tout le monde : je rentre tout juste de Paris. Le premier commentaire lu est celui d'Henri et je comptais lui répondre (en gros que je n'avais aucun "thèse", que je me contentais de reproduire les phrases d'un vrai militant communiste, dans les années où ils se souciaient d'autre chose que des chatouillis des LGBT, d'un membre actif et brillant du Komintern). Mais je vois que XP, Nebo et Georges, et Boutfil s'en sont chargés très bien.
RépondreSupprimerÀ demain avec un petit billet léger... léger...
À Nicolas, plus particulièrement : les communistes sont les pires ennemis des socialistes et des sociaux-démocrates, depuis que le communisme existe. C'est bien pourquoi leur alliance est parfaitement contre-nature, alors que celle des communistes avec les hitlériens est tout à fait cohérente.
RépondreSupprimerOuaiiis ! Boutfil, moi j'aime ce nom, Mosche Chapira, il chante. Vivent les BCCCE !
RépondreSupprimerMe la faites pas un samedi soir. La soirée chez Jim est tellement chiante que je boirais même un coup avec Staline et Hitler. Surtout s'ils payent une tournée.
RépondreSupprimerPour tout vous dire, j'en suis à jouer avec les enfants pour m'occuper. Alors les communistes, hein !
Nicolas : j'ai éclaté de rire tout seul comme un con : merci pour ça !
RépondreSupprimerCela dit, Bien Cher Didier, à voir votre acharnement à trouver dans la lecture de ce livre tout ce qui confirme votre thèse d'une similitude parfaite entre nazisme et communisme , on finira par croire que vous tentez de donner une respectabilité au communisme!
RépondreSupprimerNicozoc : moi, je suis le bon gars qui donne une respectabilité à toutes les dictatures sanglantes. Et ça rapporte un max, je vous prie de le croire...
RépondreSupprimerEh bien écoutez Didier, vous ne croyez pas si bien dire.
RépondreSupprimerJe ne veux pas relancer le débat, mais j'adore apporter des correctifs, je vous l'ai dit.
J'ai le souvenir ici même d'une discussion où vous rendiez (pour le bien de l'Espagne, j'entends bien) le sinistre Franco, assez respectable.
Vérité en deça, erreur au-delà?
A propos de totalitarisme.
RépondreSupprimerJ'ai entendu samedi dernier, dans l'émission Répliques de F. Culture, l'intellectuel Marcel Gauchet* raconter l'anecdote suivante.
Dans les années 80, on lui avait demandé de faire un cours sur le totalitarisme. Très bonne adhésion des étudiants. A cette époque, il y avait un contexte, un passé relativement récent.
Récemment, M. Gauchet a de nouveau voulu faire un cours sur le totalitarisme : Bide complet auprès auprès des étudiants.
Le totalitarisme, céhou ? céki ?, cékoidonc ?
* Directeur de l'EHESS, du Centre de recherches politiques Raymond Aron et de la revue Le Débat
Duga
Anonyme
Henri : MOI, j'ai rendu Franco respectable ??? Alors, là, soit je me suis, ce jour-là, très mal exprimé, soit vous m'avez très mal lu. Je me souviens, moi, d'un billet récent où je critiquais le gouvernement Blum d'avoir laissé tomber les républicains espagnols face au putsch franquiste.
RépondreSupprimerDuga : il n'a qu'à faire un cours sur le racisme à travers les âges : ça devrait passer tout seul...
J'ai dit "assez" respectable, en ce sens que j'ai le souvenir que vous en aviez fait un mal rendu nécessaire par la présence des républicains (bon, allez plutôt à cause de la violence des communistes et des anarchistes).
RépondreSupprimerMais peut-être en effet avais-je mal compris?
Ou peut-être ai-je une sensibilité exacerbée dans cette histoire car je suis frontalier de l'Espagne que j'ai connue et détestée, obscure, inégalitaire, injuste, sanglante, vaniteuse et que j'aime désormais, car elle est libre, démocratique et sociale.
Mais voyons, Henri, le petit Franco était très respectable, et la preuve en est qu'ils en disent souvent du bien dans La Nouvelle Revue d'Histoire...
RépondreSupprimer(smaïlé, smaïlé, Monsieur Goux)
Ah ben, là, si Chieuvrou et Henri opèrent leur jonction, chu foutu !
RépondreSupprimerPour ce qui concerne le franquisme, la Guerre civile, tout ça, mon ultime référence reste Les Grands Cimetières sous la lune, alors hein...
Ah, là, effectivement... Total respect.
RépondreSupprimer(Cela étant, pour moi, ce sera plutôt Hommage à la Catalogne.)
Voyez ces liens...
RépondreSupprimerPour ce qui est de la saloperie espagnole, une lettre de Weil à Bernanos au sein de laquelle les sales petits gauchistes ne sont nullement épargnés :
http://incarnation.blogspirit.com/archive/2010/06/10/conscience.html
Et puis voyez une "réhabilitation" non pas humaniste ou idéologique, mais Historique, de Franco, par un livre de Del Castillo. Parce que laissez moi vous dire que ç'eut été drôle que d'avoir l'Armée Rouge juste derrière les Pyrénées, si nos chers républicains avaient remporté la partie :
http://incarnation.blogspirit.com/archive/2008/12/07/franco-is-back.html
Nebo, le problème d'un "mal nécessaire" c'est que l'on ressent ses effets nocifs parfois jusque dans sa chair et qu'on peut toujours douter de sa nécessité...sauf vous évidemment.
RépondreSupprimerJe vais ajouter ceci Nebo,dans cette discussion à front renversé, vous et votre ami m'avez traité de totalitaire, je défends la liberté quel qu'en soit le prix, vous prétendez défendre la liberté et vous soutenez un totalitarisme.
RépondreSupprimerEn fait vous aimez tous les totalitarismes sauf celui émanant du communisme.
L'extrême droite est indécrottable!
@Nebo
RépondreSupprimerLe dénommé Henri vient de me donner raison: on peut, et même on doit penser le totalitarisme, débattre du totalitarisme, mais certainenent pas avec des totalitaires.
Parler de la Shoah, ça ne consiste pas à donner cinq minutes de parole aux nazis et cinq minutes aux rescapés.
Parler du totalitarisme sérieusement, ça consiste d'abord à ne pas parler à ce Henri, ou pour le moins comprendre qu'on ne peut rien tirer d'une discussion avec ce genge d'individu.
XP: ?
RépondreSupprimerJe repasse par-là en ce dimanche soir… Boudiou ! Le fil continue, z’en sont toujours là à tourner en boucle ! J’ai rien à ajouter mais bon, au risque de radoter, je redis à Henri (pas besoin pour ça de débattre avec moi de mes "instrumentalisations"…) et aussi à d’autres (qui ont parfois besoin de dé-simplifier ou de complexifier leurs arguments) qu’une lecture (voire critique, c’est permis) du "Passé d’une illusion" de Furet est pleine d’enseignement et de pistes de réflexion (Henri, le bouquin n’est ni pornographique ni malodorant, vous ne risquez rien…)
RépondreSupprimerCombattre le communisme en 2010, c'est un peu comme les anti-nazis officiels, ou les anti-cathos. Ca ne mange pas de main et çà permet de se défouler.
RépondreSupprimerAu fait qui a finançé ces deux fantastiques idéologies? et qui en est à l'origine? Des Musulmans, c'est bien connu.
Pour la réponse, je vous laisse cogiter. C'est toujours intéressant à observer cet autisme à géométrie variable.
Sébastien
Qu'est-ce qu'il veut savoir de plus, le totalitaire?
RépondreSupprimerJe lui ai pourtant expliqué que si je n'ai jamais hésité à débattre de gens comme lui, je ne suis jamais tombé dans le piège consistant à débattre avec eux.
On ne parle pas du viol avec les violeurs, du nazislamisme avec des musulmans, des goulags avec des communistes et, puisque c'est le vrai sujet de cette conversation, de la persistance de l'esprit du totalitarisme avec un totalitaire.
Je veux bien parler de vous, mais certainement pas avec vous.
Je répondais plus haut à "Henri".
RépondreSupprimerSi je peux me permettre, là, sans vouloir faire le dictateur, il me semble que totlitaire est un adjectif, qui s'applique surtout à une forme de régime ou à une doctrine.
RépondreSupprimerParlez d'individu totalitaire me semble à la fois une faute de grammaire, et un contre-sens.
Cela dit, si les mots avaient un sens pour vous, vous n'en seriez pas là à raconter n'importe quoi.
C'est ma Croix personnelle, ça, à porter... les gens de droite me traitent d'Anarchiste et les abrutis de gauche d'extrémiste de droite... c'est toujours aussi comique bien que fatiguant à la longue.
RépondreSupprimerJe ne sais si l'extrême-drouâte est indécrottable... mais putain, la Gôche en tient une de sacrée couche.
Ah oui... et une fois de plus, il ne s'agit pas de sauver ou récupérer Franco, je m'en tamponne mon vieux... les mouvements de masse je vous les laisse, avec votre sens de la Liberté qui doit être très moral, je le devine et le conçois aisément pour avoir vécu dans un pays communiste... c'est juste que des articles ou des livres signés par Assoulline ou Del Castillo que je présente... vous devriez leur écrire pour leur dire combien ils sont "fascistes" ça les amusera, surtout lorsqu'on connaît les prises de positions des messieurs en question.
RépondreSupprimerEn vérité, Henri, ce que vous refusez d'accepter c'est la complexité du monde... vous préférez la simplifier afin de vous la rendre un peu plus compréhensive. Les Nazis, les Fascistes sont les méchants... et les communistes, les gentils... et Franco est un sale nazi, bien entendu... même si sa politique n'était ni raciale, ni expensive et qu'il a fini par réinstaurer une Monarchie Démocratique et Constitutionnelle dans son pays avant de crever, prévue de longue date.
Je parie même que vous vomissez Pinochet. Pinochet, 17 ans de pouvoir 3000 disparus... à titre de comparaison, Le Grand Bon en Avant de Mao, en quelques 5 à 7 ans 20 000 000 à 50 000 000 de morts... les historiens se disputent sur les chiffres. Sinon tout va très bien Madame la Marquise.
Sachez en tout cas que c'est l'Histoire qui juge. Et Franco ou Pinochet, en la matière, ça n'est pas forcément ce que l'on croit. C'est ça qu'a voulu signifier Del Castillo l'homme de Gauche avec son livre... si vous êtes allé vraiment voir les liens... et tous les liens. Parce que laissez-moi vous dire que l'URSS installée en Espagne en 1936, avec juste le Pacte Germano-Soviétique, l'Avenir du Pays et de toute l'Europe eut été différent. C'est pas compliqué à comprendre, un jeune enfant au cerveau bien constitué le pourrait.
A présent si me placer à l'extrême droite vous évite d'avoir des ulcères ou des hémorroïdes, tant mieux, vous pouvez y aller.
Bon, c'est bon Nebo, si vous voulez vous lancer dans la réhabilitation de tous les vieux dictateurs de la terre sur le blog de Didier Goux, après tout vous n'avez qu'à le faire, vous êtes sans doute plus compétent que moi pour cette admirable tache humanitaire.
RépondreSupprimerXP a raison... le dialogue est impossible avec vous. Demeurez crispé dans vos convictions.
RépondreSupprimerParadoxalement, ce sont les gens comme vous qui collaborent en premier lorsque les carottes semblent cuites. Ce qui le prouve ? Que vous persistez dans les accusations en tentant de vous donner un semblant de panache lorsque vous n'avez pas le moindre argument à donner pour déstabiliser les miens. Alors l'attaque ad hominem vous permet, au moins, c'est d'jà ça d'gagné, de feindre la posture outrée et la sérénité démocratique... qui ne sont que des masques.