Alors ça, c'est bien les gauchistes en peau de lapin ! Ils passent leur temps à piailler dès qu'un maire de droite colle trois caméras de surveillance dans sa ville pour piéger ses cailleras, mais alors eux, avec leurs flux machins, leurs blogo-miradors, vous ne pouvez pas mettre un demi-orteil au-delà de la ligne jaune sans qu'ils vous fliquent pour l'éternité !Tenez, par exemple. Je viens de passer une petite heure à rédiger (non, le mot est con : à la fois trop fort et trop faible. Je ne rédige pas, moi, Monsieur : je castagne, j'éructe ou caresse – mais jamais ne rédige) une sorte de réflexion (je ris moi-même de ce mot, dans ma barbe de jeunesse) que je ne comptais nullement publier ce soir – je deviens raisonnable. La preuve : je l'avais intitulée Brouillon. Et voilà que, les petits doigts humains étant ce qu'ils sont, je clique là où il n'aurait pas fallu : Votre message a été publié, lis-je. Il ne m'a pas fallu plus de trois ou quatre secondes pour le virer, ce brouillon se poussant du col : fier de moi j'étais.
Là-dessus, rassuré et détendu, je m'en vais faire un tour chez le Number One. Et que vois-je, en tête de sa putain de blogroll, sous mon nom ? Brouillon. Merde ! Et naturellement, demain matin, je vais avoir des mails du type : « Ben c'est quoi, ce Brouillon que j'arrive pas à lire ? » Merde !
Cela étant, je compte le peaufiner, l'enrichir et le vachardiser s'il se peut, celui-là. J'en connais qui se passeraient de le lire...)
Dites plutôt que vous avez un sens aigu de la bande-annonce:
RépondreSupprimerBientôt sur vos écrans, un billet époustouflant de vachardise !
Si vous le voyez aussitôt dans la blogroll de Nicolas, nous le voyons dans nos "aggréagateurs de flux URSS", genre Google Reader. Je lisais les derniers billets publiés, après le foot (sachez qu'entre la France et l'Uruguay, c'est à dire entre "les Bleus" et "la Céleste", le match était nul ce soir), quand je me suis dit : "Intituler un billet Brouillon, il est bizarre Didier, en plus d'être nazi". Et voilà, vous vous êtes fait eu. Tous les billets, mêmes les supprimés, y demeurent...
RépondreSupprimerTiens puisqu'on cause de port'nawouak, on pourrait pas virer les " messages supprimes par l'auteur"? Ça fait nazebroque. Bon par ailleurs j'ai effectivement vu passer à la vitesse de l'eclair le titre " brouillon" mais je n'ai même pas eu le temps de cliquer!! Ouinnnn ! Évidemment j'aurais bien LU les deux, le brouillon et le vrai vachardisé! Car je viens ici pour LIRE avec plaisir ce que vous écrivez ! Je me demande si je n'aurais pas du garder caché cette activité ? Déjà que je la pratique très nuitamment et seul? Mais attation les neurones fonctionnent quand ils veulent et où ils veulent ( oui, aussi avec qui ils veulent) c'est en quelque sorte la version moderne de la liberté sadienne d'autrefois ....
RépondreSupprimerAh! aussi: aboli/bibelot .... ;-)))
C'est ça votre brouillon, Didier? Je ne savais pas que vos billets étaient d'abord manuscrits :)
RépondreSupprimerbalmeyer m'a coupé l'herbe sous le pied. Je viens de le lire dans mon google reader moi aussi, tout comme 124 abonnés àton blog via google reader (quantité de lecteurs potentielles à doubler à cause de netvibes et autres agrégateurs, tripler même peut être. La prochaine fois tu rédigeras tes brouillons dans word cher oncle . :) )
RépondreSupprimerJe comprends parfaitement que vous teniez à votre réputation de nazi, mais la Kurrentschrift qui figure sur votre brouillon avait été déjà largement remplacée par la Sütterlinschrift quand la bande à tonton Adolf a pris le pouvoir (lesquels nazis ont du reste interdit l'alphabet Fraktur et opté pour l'écriture Antiqua en 1941).
RépondreSupprimerBon, je me suis finalement décidé à faire cette importante mise au point car il semblerait que Dominique ait déserté votre blogue.
Malavita : non, non, c'est la vérité vraie !
RépondreSupprimerBalmeyer et les suivants : dans ce cas, Blogger devrait au moins proposer une fonction, au moment de la publication, du genre : « Es-tu bien sûr, camarade gros con, de vouloir publier cette sous-merde ? », afin qu'on ait le temps de s'apercevoir qu'on a fait une fausse manœuvre !
Chieuvrou : avec ou sans Dominique, vous êtes de toute façon irremplaçable (vous aussi...).
Non parce que, moi, ça m'emmerde que des gens puissent lire mes notes, mes tâtonnements. Ça m'emmerde, en bref, de ne pas maîtriser entièrement l'affaire.
RépondreSupprimerLes gens,
RépondreSupprimerSi vous me payez des bières, je peux retrouver le billet du gros dans mon agrégateur made in Moscou.
Le gros s'en prend à Céleste ce qui est un peu lassant. Céleste s'en prend à Balmeyer qui est un gros frisé avec une cravate à chier.
Les gens, ne vous donnez pas cette peine : j'ai intégré le “Brouillon” d'hier soir au journal de juin. Il vous suffit donc d'attendre quelques semaines...
RépondreSupprimerMerci. Signé : les gens enfin un ... Bon fôkj'boss1 peu sinon lundi ;-(((
RépondreSupprimerVous êtes déjà du bon côté de la fracture numérique, cela fait plus de 3 mois que j'écris, je ne comprends toujours rien à ces histoires de flux rss machin.
RépondreSupprimerMoi non plus, je n'y comprends rien ! Mais je crois qu'en réalité, c'est que nous n'avons pas envie de comprendre (dit l'imbécile qui cherche à se rassurer)...
RépondreSupprimerMonsieur Maque : non, c'est juste que je ne fais pas partie des "répondeurs systématiques". Quand je suis un peu pris par le temps, je ne réponds que si j'ai une chose précise à dire. Et, souvent, comme il ne vous aura pas échappé, je ne réponds plus du tout et laisse mes visiteurs papoter entre eux...
RépondreSupprimerD'un autre côté, si vous attendiez d'avoir quelque chose à dire pour faire un billet...
RépondreSupprimerC'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité !
RépondreSupprimerOu le bistrot qui daube sur la distillerie...
M. Maque....
RépondreSupprimerCa fait bizarre quand on y songe.
Ah, là, M'sieur Goux, j'ai comme l'impression qu'à 13h14, vous vous êtes comme qui dirait gouré de billet...
RépondreSupprimerOu bien "Bourré de Guillé", la contrepèterie serait excellente si "guillé" voulait dire quelque chose.
RépondreSupprimerBalmeyer, vous oubliez la célèbre bourrée de Guillet, autrefois dansée dans tout le Québec.
RépondreSupprimer(Cela étant, « M'sieur Goux, vous vous êtes bourrée de Guillet », ça ne veut pas forcément dire grand'chose)
Ah oui, j'm'ai bourré de Guillet, en effet.
RépondreSupprimerTiens, ce monsieur Guillet a un prénom (Elzear) qui me semble être cher au cœur de R.C. ; enfin je ne sais pas si une erreur ne s'est pas glissée dans mon cerveau embrumé par forces libations.
RépondreSupprimermais alors eux, avec leurs flux machins, leurs blogo-miradors, vous ne pouvez pas mettre un demi-orteil au-delà de la ligne jaune sans qu'ils vous fliquent pour l'éternité !
RépondreSupprimerUne question me turlupine: le web est-il plat ou légèrement courbé?
Emma : vous voulez parler du gendarme Éliezer ?
RépondreSupprimerFredi Maque : après de très nombreuses lectures, je puis affirmer qu'il est plat. Très plat. Irrémédiablement plat.
Oui, c'est cela, les prénoms et moi !
RépondreSupprimerZut, moi je suis roulé: je n'utilise pas encore Reader, et dans Netvibes, il n'y a pas trace de "Brouillon"…
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