Il me semble avoir déjà raconté ici comment, en villégiature dans le Périgord, il y a quelques années, l'Irremplaçable et moi n'avions cessé de buter sur Julian Barnes et ce qui devait bien être son épouse, en tout cas une personne de sexe féminin. Enfin, bon : on l'avait croisé deux fois en dix jours, ce n'est pas Au-delà du réel non plus.
Avant-hier, à l'issue d'un fort agréable dîner inter-blogueurs, réunissant des personnes dont je tairai les noms, dans la mesure où qu'il ne fait pas bon être vu en ma compagnie ces derniers temps, je me suis vu offrir Arthur et George, roman de ce même Julian Barnes. Dont je vais aller de ce pas commencer la lecture. D'où la fin abrupte de ce billet. Je sais, c'est nul.
Avant-hier, à l'issue d'un fort agréable dîner inter-blogueurs, réunissant des personnes dont je tairai les noms, dans la mesure où qu'il ne fait pas bon être vu en ma compagnie ces derniers temps, je me suis vu offrir Arthur et George, roman de ce même Julian Barnes. Dont je vais aller de ce pas commencer la lecture. D'où la fin abrupte de ce billet. Je sais, c'est nul.
De toute façon, vous n'êtes plus chez Wikio, alors à quoi bon mettre des liens ?
RépondreSupprimerPlaisir partagé.
Et puis Nicolas les a dénoncé !
RépondreSupprimerN'importe quoi ;) !
RépondreSupprimerVous nous raconterez ?
Balmeyer : j'ai tout de même mis un lien sur Julian : je le trouve un peu faiblards sur les classements, ces derniers temps.
RépondreSupprimerZoridae : je viens d'en lire une petite cinquantaine de pages, je trouve que ça commence très bien, avec ce portrait croisé des deux héros grandissant.
(Par contre, ça se marie assez mal avec Siegfried que j'avais dans les oreilles au même moment...)
Balmeyer,
RépondreSupprimerTu oublies technorati et les autres machins de classement qui m'obligent à accepter des invitations uniquement pour avoir des liens.
Smiley !
Catherine : exactement ! Je ne vais pas boire en cachette !
Manque deux têtes !!!
RépondreSupprimerDénoncez-les !!!
Il y avait celle-ci et aussi celle-là, M'sieur l'agent, j'les ai vues...
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerVous avez oublié le lien sous agent.
Ah, elle est drôle celle-là, tiens !!!
RépondreSupprimerJe dois reconnaitre que mes collègues ont été intrigués par mon sourire bête quand j'ai lu votre com précédent.
RépondreSupprimerJe connais personnellement quelqu'un habitant dans cette rue. ça me ferait marrer que ça soit cette personne.
RépondreSupprimerDélateur !
RépondreSupprimerVous pouvez m'ajouter moi sur la liste des futurs pendus. Je serais viendu si j'avais pu...
Dois-je aussi en conclure que je mérite la garde à vue ?
Chérie, passe-moi le bottin... C'est pour faire parler Dorham... Et pense à monter le son de Wagner...
RépondreSupprimerAh ! Ce n'est pas du Bach ?
RépondreSupprimerSigné : Nicolas
Ah, elle est drôle celle-là, tiens !!!
Signé : Didier Goux
J'entends déjà cette saloperie d'hélicoptère...
RépondreSupprimerOn va tous crever...
(..sup...lie...sui...pèr...de f...mi')
Didier, Catherine et tous les commentateurs de ce blog, j'aimerai beaucoup être vue en votre compagnie le 27 décembre au soir à la Comète... si vous êtes dans le coin bien sûr... (allez y mollo sur Wagner quand même)
RépondreSupprimerD'accord ! J'y serai.
RépondreSupprimerSieur Didier Goux,
RépondreSupprimerEn ce moment, je lis Guy Des Cars,
recommandé il y a 20 ans par ma Défunte et Honorée Maman,
au même titre que le Feu et Regretté magazine Nous Deux
...c'est Mortel de chez mortel...
A votre avis, je continue dans ces Lectures Edifiantes ou,
je passe au Porno Chic,
façon Brigade ?
Le commentaire de Tonnegrande manque d'une précision. Il a passé l'apéro avec moi.
RépondreSupprimerTonnegrande,
J'ai lu quelques commentaires de Didier Goux sur quelques billets : je me demande s'il n'a pas bu l'apéro avec nous.
En tout cas ma Maman est décédée le coeur tranquille,
RépondreSupprimeren sachant que son fils ne buvait pas.
Ce n'est point le cas d'autres Mamans qui, jusqu'à leur ultime souffle,
resteront dans le doute.
Je puis, ceci dit ,
d'un clic,
leur ôter ce doute.
A bon entendeur, salut !
Nicolas,
RépondreSupprimerNon, il n'était pas là.
Je l'aurais reconnu,
rapport à son gilet, fleuri, de veston,
à chier
Trublyonne : malheureusement, le 27 décembre, Catherine et moi serons occupés à défaire nos bagages à Lussan, dans le Gard...
RépondreSupprimerLes deux autres pochetrons : deux aspirines et dodo !
C'est vrai que ce Noël avant l'heure était fort agréable. Bonne lecture ! (Je commencerai la mienne demain matin, dans le tortillard qui m'amène à Moulins.)
RépondreSupprimerje viens de rentrer au chateau, je vais commencer à lire au coin du feu moi aussi.
RépondreSupprimerDites, je peux vous appeler tonton ? :p
Vous pouvez. Mais, dans ce cas, il convient de passer au tutoiement. Ou alors m'appeler "Mon oncle" si vous tenez au voussoiement : je vous laisse le choix, jeune fille...
RépondreSupprimerBien "mon oncle" fera l'affaire, mais encore une pichenette sur le nez et je vous appele "ouech mon pote" que ce soit clair entre nous !
RépondreSupprimerOn marche comme ça...
RépondreSupprimerNef, je refuse absolument que vous en profitiez pour m'appeler ma tante.
RépondreSupprimerAlors on levera un verre à votre santé Nicolas et moi le 27... Passez de bonnes fêtes de fin d'année tous les deux en tout cas.
RépondreSupprimerMerci, Miss Trub ! La même chose pour vous... et tâchez de ne pas écluser le fonds de la Comète : on y sera dix jours après vous !
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