C'est ce qu'on pourrait appeler un engrenage fatal. Ou, plus simplement : une mauvaise foi crasse. En début d'après-midi, coup de téléphone de Ludovic pour signaler qu'il comptait bivouaquer ce soir au domicile parent et beau-parental. Comme nous devions sortir pour tout à fait autre chose, j'ai charitablement proposé à l'Irremplaçable que nous achetions quelques bières pour ce pauvre garçon, si démuni de tout. Juste après, il nous est apparu qu'il serait vraiment très mal élevé de le laisser boire seul. Par conséquent : décidés à rompre le jeûne, nous fîmes également l'emplette d'une bouteille de whisky Famous Grouse (que je vous recommande au passage : excellent rapport biture - prix). On le sent bien venir, le dérapage ?
[Il est actuellement cinq heures et quart : pause. On continue après le repas. Et l'apéro, donc.]
Eh bien, voilà, il est donc huit heures et quart. On a bu confortablement. Et mangé comme vous n'avez pas idée, notamment un foie gras au poivre de Setchouan, que l'Irremplaçable tenait à nous faire tester (à Ludovic et moi, pauvres cobayes) avant de le proposer à... à qui, d'ailleurs ? On verra bien. Bon, en tout cas, c'était un succès absolu, je vous le dis.
Et maintenant ? Rien. Dodo. Tout à l'heure, vers cinq heures, attendant Catherine sur le parking du Super U, j'ai eu cette idée d'un petit texte à envoyer à Zoridae, afin de repeindre son plafond : comment reste-t-on vivant après avoir rencontré en vrai un blogueur - ou pire : une blogueuse ? Je vais l'écrire, et lui envoyer. Ça lui apprendra...
[Il est actuellement cinq heures et quart : pause. On continue après le repas. Et l'apéro, donc.]
Eh bien, voilà, il est donc huit heures et quart. On a bu confortablement. Et mangé comme vous n'avez pas idée, notamment un foie gras au poivre de Setchouan, que l'Irremplaçable tenait à nous faire tester (à Ludovic et moi, pauvres cobayes) avant de le proposer à... à qui, d'ailleurs ? On verra bien. Bon, en tout cas, c'était un succès absolu, je vous le dis.
Et maintenant ? Rien. Dodo. Tout à l'heure, vers cinq heures, attendant Catherine sur le parking du Super U, j'ai eu cette idée d'un petit texte à envoyer à Zoridae, afin de repeindre son plafond : comment reste-t-on vivant après avoir rencontré en vrai un blogueur - ou pire : une blogueuse ? Je vais l'écrire, et lui envoyer. Ça lui apprendra...
A moi, a moi !! je salive (c'est pavlovien).
RépondreSupprimerJe salive aussi mais , honte sur moi, je suis déjà rassasié ou plutôt étanché...
RépondreSupprimerLe titre déjà sentait fort le dérapage.
RépondreSupprimerle titre Zig-Zag laissait imaginer que vous aviez fait des bars paralèles.
RépondreSupprimerFinalement, c'est à la maison, sans prendre la voiture... le début de la sagesse, l'âge de raison...
Olivier,
RépondreSupprimerTu parles ! La cuite à la maison, oui.
Chouette... Pour le foie gras et le billet ;)
RépondreSupprimerNef et Zoridae : si celui de la semaine prochaine est aussi réussi que celui d'hier, on ne devrait rien regretter...
RépondreSupprimerPluton : fallait pas vous précipiter comme ça !
Mère Castor : c'est qu'on se connaît assez bien, n'est-ce pas ?
Olivier et Nicolas : les zig-zag n'étaient en effet que pour rejoindre le bureau, puis la chambre. En plus, j'en rajoute : on ne s'est même pas mis minable...
A propos de "Famous grouse", vous diriez ça comment, vous, en français ? La réponse d'un éventuel Canadien de passage serait bienvenue.
RépondreSupprimerOlivier: C'est joli, "les bars parallèles"...
RépondreSupprimerSuzanne
Franssoit : "célèbre coq de bruyère" ?
RépondreSupprimertenter l'Aberlour comme whisky. c'est sexy et de qualité.
RépondreSupprimerbien à vous.
Célèbre coq de bruyère. Je suis assez d'accord. Voire célèbre perdrix. Ou célèbre tétras (ou tétra ou tétrat ?).
RépondreSupprimerAlors pourquoi le traducteur de Jim Harrison nous traduit grouse par grouse ? Hein ?
Et pas qu'une fois, ça revient tout le temps.
RépondreSupprimerLà, Franssoit, tu chipotes
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