En principe, ce billet matutinal aurait dû s'appeler "Partageons mes beuveries", en hommage à la puissance invitante de ma soirée d'hier. Mais je n'ai pu résister au plaisir de ce décasyllabe, impeccablement césuré à 4/6, comme chez François Villon : Je meurs de soif auprès de la fontaine.
Mourir de soif ne fut pas le risque majeur de la soirée. Et, pour être certains de ne point nous y exposer, MM. Tonnégrande, Nicolas et moi-même - sans compter M. Jacques qui nous rejoignit après le dîner - engloutîmes force breuvages, tous plus ou moins alcoolisés, mais plutôt plus que moins, pour tout dire. Nous parlâmes, rîmes, nous nourrîmes, rebûmes, puis nous séparâmes bons amis. Raisonnable à fond la gomme, je suis rentré en métro. À la station "Opéra", où se situait mon changement, je n'ai eu que le tort de m'asseoir pour attendre la rame suivante. Et je me suis endormi. Pas longtemps. Du coup, me réveillant, j'ai décidé de finir le trajet en taxi. On n'est pas des galériens non plus.
Mourir de soif ne fut pas le risque majeur de la soirée. Et, pour être certains de ne point nous y exposer, MM. Tonnégrande, Nicolas et moi-même - sans compter M. Jacques qui nous rejoignit après le dîner - engloutîmes force breuvages, tous plus ou moins alcoolisés, mais plutôt plus que moins, pour tout dire. Nous parlâmes, rîmes, nous nourrîmes, rebûmes, puis nous séparâmes bons amis. Raisonnable à fond la gomme, je suis rentré en métro. À la station "Opéra", où se situait mon changement, je n'ai eu que le tort de m'asseoir pour attendre la rame suivante. Et je me suis endormi. Pas longtemps. Du coup, me réveillant, j'ai décidé de finir le trajet en taxi. On n'est pas des galériens non plus.
Il va falloir que je retourne à la Comète pour varier un peu les photos...
RépondreSupprimerQue celui qui n'a jamais pêché vous jette la première pierre.
RépondreSupprimerJ'espère que votre dame ne vous a pas fait dormir à l'hostellerie du postérieur tourné.
;-)
C'est pas mon genre !
RépondreSupprimerC'est marrant que l'alcool vous assomme comme ça. Ça me rendrait plutôt insomniaque !
RépondreSupprimerJe brûle de connaître enfin cette comète où les joyeux liquides coulent délicieusement... Et puis l'alcool n'assomme pas, une relaxation musculaire tout au plus...
RépondreSupprimerPluton relax
Zori,
RépondreSupprimerAs-tu déjà bu 47 demis et 8 litres de rouge ?
Pluton,
RépondreSupprimerVous seriez bien sûr le bienvenu !
Didier,
RépondreSupprimerFaut pas dormir à l'opéra. Vous n'avez donc aucun respect pour les artistes ?
Nicolas m'a piqué mon commentaire, ces balot !
RépondreSupprimer:-))
Tu n'as qu'à faire un commentaire sur ton horrible faute d'orthographe.
RépondreSupprimerNicolas : sé pa la paine de se mauquer ! :-)))
RépondreSupprimerZori : ce n'est pas incompatible. Quand je bois, enfin, si je buvais, hein, je m'endors vite et me réveille aussitôt ...
RépondreSupprimerCette comète, hélas, ne voit pas que des astres.
RépondreSupprimerIl y a une de ces queues...
RépondreSupprimerNicolas, le projet est à l'étude.
RépondreSupprimer@ Mr Goux :J'aime bien ces petits bouts de vie que vous racontez un tant soit peu aromatisé.
RépondreSupprimer@ Catherine : bravo, sans jeu de mots.
@ Nicolas
Ah l'Opéra ... y aller, un petit rêve que j'ai enfoui au fond d'un tiroir...
Ah d'accord :))
RépondreSupprimerIl est proprement consternant de voir que cette détestable manie de ne pas mettre les accents aux capitales d'imprimerie frappe jusqu'aux bannes des cafés d'Île-de-France.
RépondreSupprimerAh, je n'aurais pas dû passer chez vous ce soir, je vais encore devoir avancer de deux jours ma biture dominicale.
Pluton,
RépondreSupprimerCe n'est quand même pas compliqué à étudier !