Hier, nous avions donc rendez-vous dans ce village de la Seine-Maritime, perché pour partie sur la falaise surplombant la Manche - mais pas à la même époque. Nous étions attendus à dix heures et demie chez un couple d'amis d'ami, afin de visiter leur maison, en vue de l'acheter.
Car nous nous étions mis en tête (mais surtout l'Irremplaçable) de quitter le Plessis-Hébert et de nous éloigner encore de Paris, transhumance rendue possible par l'existence du studio de Levallois. (C'est bon, vous suivez ? C'est intéressant, hein ?)
La visite de la maison, à deux pas (et 286 marches...) de la mer, se passa fort agréablement, l'habitation nous convenait, il y a un jardin pour les Pépères, tout bien. Puis, nous passâmes aux choses sérieuses, à savoir l'apéro. Catherine se contenta d'un unique blanc-cass', vu qu'il était entendu qu'elle prendrait le volant au retour. Pour moi, trois ou quatre pastis - mais petitement dosés - suffirent à me mettre de bonne humeur, ce qui nallait pas de soi car nous étions arrivés en retard au rendez-vous, ce dont j'ai horreur. Ensuite de quoi, nous mîmes les voiles en direction d'Ermenouville où ma soeur nous attendait avec des pâtes alla putanesca et une bouteille de Bordeaux blanc à laquelle je fus seul à rendre hommage.
Nous reprîmes la route vers quatre heures, après une courte escale à Saint-Valéry-en-Caux. Afin de ne pas déconcentrer l'Irremplaçable dans sa conduite, je me suis dépêché de m'endormir à sa droite.
Retour de cette escapade, les chiens nourris, nous installés devant une bière et écoutant les sonates pour clarinette et piano de Brahms (vous chercherez l'opus vous-mêmes, hein ?), nous avons finalement décidé de ne plus déménager.
Car nous nous étions mis en tête (mais surtout l'Irremplaçable) de quitter le Plessis-Hébert et de nous éloigner encore de Paris, transhumance rendue possible par l'existence du studio de Levallois. (C'est bon, vous suivez ? C'est intéressant, hein ?)
La visite de la maison, à deux pas (et 286 marches...) de la mer, se passa fort agréablement, l'habitation nous convenait, il y a un jardin pour les Pépères, tout bien. Puis, nous passâmes aux choses sérieuses, à savoir l'apéro. Catherine se contenta d'un unique blanc-cass', vu qu'il était entendu qu'elle prendrait le volant au retour. Pour moi, trois ou quatre pastis - mais petitement dosés - suffirent à me mettre de bonne humeur, ce qui nallait pas de soi car nous étions arrivés en retard au rendez-vous, ce dont j'ai horreur. Ensuite de quoi, nous mîmes les voiles en direction d'Ermenouville où ma soeur nous attendait avec des pâtes alla putanesca et une bouteille de Bordeaux blanc à laquelle je fus seul à rendre hommage.
Nous reprîmes la route vers quatre heures, après une courte escale à Saint-Valéry-en-Caux. Afin de ne pas déconcentrer l'Irremplaçable dans sa conduite, je me suis dépêché de m'endormir à sa droite.
Retour de cette escapade, les chiens nourris, nous installés devant une bière et écoutant les sonates pour clarinette et piano de Brahms (vous chercherez l'opus vous-mêmes, hein ?), nous avons finalement décidé de ne plus déménager.
Il est temps ! Ce récit était annoncé pour hier soir...
RépondreSupprimerVous avez la bougeotte?
RépondreSupprimerEn fait, vous n'aviez jamais décidé de déménager. Le seul but de cette virée normande était de vous enfiler quelques verres d'alcools variés.
RépondreSupprimerAh bon ? Ça avait l'air parfait pourtant ?
RépondreSupprimerNicolas : petit retard à l'allumage, dû au mélange pastis-vin-bière...
RépondreSupprimerOrage : on l'a eue, on s'est pas mal calmé.
Re-Nicolas : vous êtes voyante ?
Zoridae : Oui, ce l'était. On a juste décidé de ne pas bouger pour le moment.
Mais c'était TON idée ! Au départ, même que...
RépondreSupprimerEt la Norvège... ? Ou la suède ? Ou l'Islande, que sais-je encore ? Enfin, bref, un coin du monde baignant dans l'obscurité les 90% de l'année ?
RépondreSupprimerLeur action est repartie à la hausse pour votre déménagement-retraite ??
Je vais peut-être l'acheter, moi. Pouvez-vous me donner l'adresse?
RépondreSupprimerJe garderai les chiens si vous voulez.
Yibus : les fjords s'éloignent dans le brouillard !
RépondreSupprimerHenri : si nous ne l'achetons pas, il n'y aura pas de chiens à garder...
Suis vraiment déçue que vous renonciez à votre projet de déménagement. Saint-Pierre-en-Port est pourtant un lieu idéal, à la fois beau et ordinaire. J'y suis toute cette semaine et ai donc failli vous rencontrer hier ! J'y séjourne régulièrement et aurais tellement aimé vous avoir comme voisin...
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