vendredi 24 octobre 2008

Roberto me fait chier (en même temps, non)

Tout à l'heure, fin de repas d'apéro, Catherine me dit : « Tu comptes faire un nouveau message ? Non, parce que j'en ai un peu marre de voir la tête de ton Roberto... »

Ben... non, justement. Ayant lu une cinquantaine de pages supplémentaires de cet écrivain, je n'ai envie de parler de rien d'autre que de lui. Mais qu'en dire ? Je ne sais pas trop. Il m'échappe encore. J'ai 900 pages devant moi, j'en jouis intensément, j'ai l'impression de m'en imbiber, mais je ne suis pas certain de bien comprendre ce qu'on me dit. J'ai d'ailleurs souvent cette sensation, quand je suis face à un vrai livre : qu'on me prend (l'auteur) pour un con - et que je le suis, en effet. Mais, dans le même temps, il y a cette main tendue...

11 commentaires:

  1. C'est fou comme il ressemble à un acteur. J'ai pensé à François Cluzet mais je ne suis pas sûre que ce ne soit que lui...


    Par contre Catherine a raison : écrivez plus et lisez moins bon sang de bois !

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  2. romain bouteille plutôt non?

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  3. à Roberto ... Benigni, il ressemble.

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  4. Bon, Paul Newman et n'en parlons plus.

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  5. Il aurait bien quelque chose de Cluzet, en effet.

    Audine : comparer Bolaño à ce pitre grotesque de Benigni, vraiment...

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  6. Catherine a raison. Ras le bol de la bobine de Roberto! Bon, j'ai envie de dire Alain Prost en négligé... Je me trompe peut être...

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  7. Ah, oui, Alain Prost c'est plutôt bien vu !

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  8. pas que je sois en manque, mais je la trouve plutôt sympa, moi, la tête de Roberto, il a une vraie gueule, dommage qu'il soit parti si jeune apparemment ...
    Mais je n'en suis pas encore à le lire ... j'ai JMG LC qui m'attend, sagement, toujours sage cet homme que j'adore, et surtout Belle du Seigneur, à qui j'avais pour l'heure échappé, qui me poursuit de ses assiduités, alors bon ... Roberto attendra ... mais là où il est, ça devrait pas l'ennuyer beaucoup ... ! sourire ...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.