La question se rapporte à la fameuse affaire Orelsan. L'une s'est abondamment exprimée sur le sujet, notamment ici ; l'autre vient de le faire à l'endroit habituel. Le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont pas d'accord. Moi, personnellement, j'ai choisi mon camp – si camps il y a bien.
Consternants, ces deux camps...
RépondreSupprimerVous m'inquiétez, Cher Didier : vous vous faites de plus en plus rare sur la toile...
RépondreSupprimerFoutez un coup de pied au cul de vos rewriteuses, merde alors !
Tiens, j'allais dire à peu près la même chose.
RépondreSupprimerSinon, il va de soi que la rupture amoureuse peut être traitée artistiquement sous toute forme, y compris ultra-violente. Jusqu'à preuve du contraire le crime ou la violence passionnelles existent.
Mais comparer Genet à Orelsan, comment dire...heu...
Je ne goûte pas au rap. Je n'y entends rien ou que couic. Les paroles du gugusse me semblent très judicieuses d'un strict point de vue marketing.
RépondreSupprimerQuant aux féministes de tout poil (ça me fait bêtement rire une féministe à poil !), le courageux combat engagé - une manif contre une vente de rap (ou et où un con sert) est digne de la Cause !
J'ai choisi de mener une autre bataille, tout aussi risquée : tous les matins, à coup d'Opinel, je trucide Mr Banania sur la boite de cacao du petit'dèj en criant : "la racisme ne passera pas par ma cuisine".
Unissons nos luttes ! On arrivera bien à quelque chose.
Pascal : ben oui, de temps en temps, je bosse...
RépondreSupprimerDorham : je pense que Marc a un peu forcé la note, par goût de la provocation.
Pierre Robes-Roule : tiens, moi aussi, j'ai une boîte Banania ! Mais c'est pour y mettre le café, allez comprendre.
Je me garderai bien de tout jugement, hem, "artistique" sur ce jeune homme dont je n'ai pas entendu la moindre chansonnette. En revanche, je sui frappé par le fait que les chiennes de garde aient attendu d'avoir un rappeur desouche à se mettre sous les crocs avant de sonner la charge. Car il y a tout de même beau temps que d'autres en ont sorti au kilomètre, des insanités machistes, et de bien pires !
RépondreSupprimeren 3 jours 3 billets qui me citent. je commence à m'interroger sur cet intérêt subit que vous me portez
RépondreSupprimerMonsieur Meyer, encore un mot sur ce ton et j'alerte la HALDE !
RépondreSupprimerCela étant, vous avez raison : si c'est une coïncidence, elle est troublante...
Olympe : c'est le hasard de l'actualité, comme on dit à la télé. Et aussi parce que je vous aime bien.
RépondreSupprimerCet Orelsan me semble bien atteint par ce que Zemmour appellerait la féminisation des mâles et de la société. Comment! Il aimait cette nana qui le quitte, ce qui justifierait ses cris hideux? Pour elle, ce n'était que du sexe et lui, des sentiments?
RépondreSupprimerDidier : J'aime pas quand vous bossez, moi !
RépondreSupprimerS'agissant du cas Meyer, rassurez-vous : je viens de prévenir la HALDE et les Chiennes de Garde.
Moi non plus, j'aime pas quand il bosse. Je m'ennuie...
RépondreSupprimerImpression qu'on fait une pub monstre sur ce rappeur, illustre inconnu il y a peu...
RépondreSupprimerBonne fin de semaine
Ah ! vous voyez, Didier, même votre Irremplaçable elle n'en peut plus, là ! Réagissez Bon Sang ! C'est pas la peine de vous poser des questions sur le mascisme et la vie conjugale après !
RépondreSupprimerEn plus, y a M'sieur Camus qui m'a promis que vous viendriez me soigner, depuis hier matin déjà, et je vous attends toujours, moi !
Je dis comme Olympe sur les violences faites aux femmes,et le droit qu'on a de boycotter, de railler, de manifester contre ce qu'on n'aime pas, sauf que je pense qu'O ne devrait pas être interdit parce que les interdictions plus il y en a moins on respire.
RépondreSupprimerJe dis comme Marco-N, sauf que je ne reconnais pas à O tant de talent, pas la peine de réveiller Shakespeare et Racine.
Je dis comme Marcel Meyer, je pense que O paye pour les rappeurs aussi violents et bien plus débiles qu'on n'ose pas attaquer parce qu'ils sont
noirs sous la capuche.
D.Goux
RépondreSupprimer"tiens, moi aussi, j'ai une boîte Banania ! Mais c'est pour y mettre le café "
Criminel philistin !
Voilà la source du problème : Orelsan n'a sans doute jamais lu Cioran...
RépondreSupprimer"Un amour qui s'en va est une si riche épreuve que, d'un coiffeur, elle fait un émule de Socrate."
Vater Goux pourrait nous faire un sujet sur ce qu'on peut mettre dans une boite de Banania : des photos de Louis Armstrong si on aime le jazz et la trompette, des cartes postales envoyées du front par le grand-père en 14 (à cause du tirailleur sénégalais), des punaises (insectes) pour rappeler l'odeur des Noirs chez Faulkner (HALDE là !), etc.
RépondreSupprimerJe signale juste que je ne suis pas le cousin de Marcel Mayer.
RépondreSupprimerSigné Balle Mayer.
Car à Orelsan, je ne le connais pas, je m'en vais de ce pas l'écouter la semaine prochaine, et je vous dis avec passion que je n'ai pas la moindre opinion sur cette affaire, et je pars comme un prince (salopes, va).
sinon y a DIdier Morville si elles veulent choper du "vrai" méchant, mais bon, JoeyStarr va être moins facile à impressioner...
RépondreSupprimerpardon je sors
et j'aime beaucoup JoeyStarr l'artiste, il tape ses femmes, il est violent.
Que dois-je faire ?
(toujours des questions)
(c'est une vraie question)
(l'artiste qu'on aime)
(ou bien l'humain qui déconne grave ?)
Cher Pascal Labeuche : même après avoir écouté " Répliques " ce matin (sur Cioran avec Clément Rosset et Pierre Pachet) je n'arrive pas très bien à comprendre la citation que vous donnez.
RépondreSupprimerSigné : une parmi celles qui vous ont préparé un sandwich au concombre.
Sinon, je me tiens prudemment à l'écart des rappeurs, blancs, bistres ou noirs, un mauvais coup est si vite arrivé.
Chère Emma (?), il s'agissait juste d'un petit clin d'oeil ironique : il est question dans la chanson d'Orelsan d'amante qui le quitte mais, vu la vulgarité et la bêtise du texte, cela ne l'a pas rendu philosophe pour autant.
RépondreSupprimerPour le sandwich : Ah bon ?
Mes bons amis, je suis rentré tard de chez ma sœurette (voir le nouveau billet), je suis fatigué, une sorte de fils vieilli, voyez...
RépondreSupprimerJ'arrive certes un peu tard, mais, de grâce, arrêtez, les uns et les autres, de vous acharner comme vous le faites sur Poupinou. Car sachez que ce n'est pas facile pour lui d'être né petit bourge en province quand il aurait tant aimé être une vraie racaille de banlieue – ou même, sans vouloir trop demander, le fils d'une ouvrière mère célibataire licenciée de chez Moulinex à Alençon.
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