Ça n'a pas d'importance. On est des petits amis, on joue dans le même bac à sable, n'est-ce pas ? On fait tout cela avec le sourire. Par exemple, vous pondez un petit texte, assorti d'une photo un peu provocatrice – sur un blog commun (c'est-à-dire, un endroit où tout le monde est plus ou moins chez soi). Un blog où on déconne.
Soudain, il y en a un qui n'a plus envie de déconner. Votre dernier billet le défrise grave. Bon. On pourrait imaginer qu'il vous passe rapidos un mail privé, du genre : « Ta photo avec le poing dans la foufoune, elle me dérange : tu ne voudrais pas la virer ? »
On peut imaginer la réponse de l'auteur, un truc du style : « Ben... ouais... je m'en branle... j'avais déjà oublié... je vire le tout... »
Au lieu de cela, arguant du fait qu'il est administrateur, le jeune homme choqué vire le billet en question sans prendre la peine de contacter l'auteur. Et comme il est très content de lui, il en fait même un nouveau billet : c'est toujours ça de pris.
[Et, là, je retourne sur le blog en question, pour mettre le billet en lien... trop tard : il a disparu ! N'a jamais existé, je suppose... C'est du genre : on assume, quoi...]
En tout cas, voilà : j'ai fait une chose pas belle, une chose sale, j'ai choqué le papa du kéké. Une main dans une chatte, c'est mal : sachez-le. Je suppose qu'une chatte tout court, ça doit déjà être mal. En tout cas, il est préférable de demander son autorisation à l'administrateur (vous savez : celui qui peut vous virer vos billets s'il lui déplaisent).
Après cela, on me dit quelque chose comme : « Waouf ! c'est pas grave, c'est pour rire ! » Bien sûr, je ris aussi. Un peu jaune, quand même.
Soudain, il y en a un qui n'a plus envie de déconner. Votre dernier billet le défrise grave. Bon. On pourrait imaginer qu'il vous passe rapidos un mail privé, du genre : « Ta photo avec le poing dans la foufoune, elle me dérange : tu ne voudrais pas la virer ? »
On peut imaginer la réponse de l'auteur, un truc du style : « Ben... ouais... je m'en branle... j'avais déjà oublié... je vire le tout... »
Au lieu de cela, arguant du fait qu'il est administrateur, le jeune homme choqué vire le billet en question sans prendre la peine de contacter l'auteur. Et comme il est très content de lui, il en fait même un nouveau billet : c'est toujours ça de pris.
[Et, là, je retourne sur le blog en question, pour mettre le billet en lien... trop tard : il a disparu ! N'a jamais existé, je suppose... C'est du genre : on assume, quoi...]
En tout cas, voilà : j'ai fait une chose pas belle, une chose sale, j'ai choqué le papa du kéké. Une main dans une chatte, c'est mal : sachez-le. Je suppose qu'une chatte tout court, ça doit déjà être mal. En tout cas, il est préférable de demander son autorisation à l'administrateur (vous savez : celui qui peut vous virer vos billets s'il lui déplaisent).
Après cela, on me dit quelque chose comme : « Waouf ! c'est pas grave, c'est pour rire ! » Bien sûr, je ris aussi. Un peu jaune, quand même.
Le néant m'habite
RépondreSupprimerCar naît en ma bite.
moi je l'aimais bien cette photo et puis le commentaire aussi... Putain de pensée unique...
RépondreSupprimerOui, bon... Ce n'est pas très grave, en même temps...
RépondreSupprimerMais, en même temps, si...
Vous parlez de ce billet ?
RépondreSupprimerhttp://hommesengages.blogspot.com/2009/05/la-debandade.html
(Je ne sais pas faire un lien...)
J'ai suivi l'affaire de loin en loin, je pense que Balmeyer a fait les choses beaucoup plus légèrement que vous ne l'envisagez... Un coup de folie, un coup de chaud, je ne sais... Mais vraiment pas dénué d'humour...
Vous avez raison, il aurait dû vous prévenir, je lui ai dit que c'était du n'importe quoi et il l'a reconnu...
on aura tout vu. voila les hommes engagés qui se crêpent la moumoutte.
RépondreSupprimerBalmeyer est abominablement coupable et mériterait au moins trois peines de mort, ou des peines de prison surajoutées longues de deux siècles comme aux States.
RépondreSupprimerOui mais quand même, s'il dit qu'il regrette ? S'il a eu un coup de folie? S'il est sincèrement malheureux d'avoir fait une boulette ? C'est Balmeyer, après tout ! Qui n'a pas, au cours de sa vie, de sa cybervie, un petit coup de faiblesse par ci par là ?
Olympe, n'allez pas nous offrir le miroir du comentateur mâle qui dit quand deux femmes s'expliquent ou s'engueulent "aenez la boue, les gants de boxe et les strings !" (espèce de féministe narquoise !)
RépondreSupprimerVotre titre est mensonger : on a coupé une foufoune et pas une bite !
RépondreSupprimerMenteur !
:-)
(Cette photo et son article était simplement vulgaire et pas franchement drôle !).
Si vous parlez de ceci , je l'ai retrouvé en cache… Je n'avais pas encore "lu"…
RépondreSupprimerCe billet restera dans les annales de la littérature...
RépondreSupprimerZoridae : je ne suis pas réellement fâché, vous savez. C'était histoire de marquer le coup. Et puis, vous noterez que, pour une fois, je n'ai pas fait de billet "à chaud", mais ai pris le temps de la réflexion...
RépondreSupprimerOlympe : apportez la boue et les strings !
Suzanne : pareil qu'à Zoridae : au fond, je m'en tamponne un peu, quoi...
Monsieur Poireau : Vulgaire ? Et vous pensez que ce n'était pas fait exprès ?
Le Coucou : bref, tout le monde est capable de retrouver ce truc sauf moi ! Comme d'hab' quoi...
Nicolas : j'allais le dire.
Didier : je n'ai pas dit que ce n'était pas exprès mais c'est sans doute l'argument qui a "choqué" Balmeyer qui est le vrai sujet de cet article-ci !
RépondreSupprimer:-))
Avant tout : vous étiez en copie mail de nos échanges avec Nicolas, où nous discutions de cette "censure". Avez-vous reçu ces mails, ou les avez-vous perdus comme c'est parfois arrivé ?
RépondreSupprimerSi vous n'avez pas reçu cette conversation, votre billet est assez justifié, si oui, je trouve que vous abusez (pour marquer le coup... sans doute...)
Bon, les enfants...
RépondreSupprimerBalmeyer : non, je ne me souviens nullement d'avoir reçu cela. Je vais tout de même vérifier dans ma "corbeille", des fois que...
RépondreSupprimerCela dit, tout cela est sans importance, ne vous mettez pas martel en tête, hein !
Balmeyer : ah, si merde, je les avais reçus ! Sauf que, pris au milieu de douze pubs à la con, ils sont partis direct à la corbeille sans être lus (ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, la dernière fois c'était mes contrats éditeur qui ont disparu...).
RépondreSupprimerCela dit, ça ne change rien au fait que ce billet a été supprimé sans que l'on m'en parle...
Bon, allez, l'affaire est close, on va dire.