J'aime beaucoup les animaux (et tout particulièrement les rats morts), mais, parfois, leurs soi-disant défenseurs (défenseurs des animaux, pas des rats morts) me plongent dans un état qui oscille entre la consternation et le rire nerveux. Témoins ceux dont je viens de faire la connaissance chez le Chafouin.
Ô Ciel ! que de vertus vous me faites haïr !, comme aurait dit le vieux Corneille...
Ô Ciel ! que de vertus vous me faites haïr !, comme aurait dit le vieux Corneille...
Corneille, c'était pas un animal ?
RépondreSupprimerL'illustration de ce billet est charmante. Elle m'évoque quelques tendres souvenirs pré-pubères, ainsi que de fort distrayantes expériences de taxidermie sur des animaux vivants.
RépondreSupprimerOù s'inscrit-on pour rejoindre le comité de soutien aux rats morts ?
Vous aimez beaucoup les rats morts ?
RépondreSupprimerJ'envisage la création d'un groupe d'amis des rats morts, sur Facebook...
RépondreSupprimerNicolas : non, c'est un chanteur africain.
Si vous voulez faire un billet sur des pigeons morts, j'ai des photos !
RépondreSupprimeril y a sous le rat mort des pauvres petites feuilles mortes, elles aussi, et personne pour les défendre. Monde cruel.
RépondreSupprimerMoi, je préfère les rats crevés !
RépondreSupprimerIl y a aussi les protecteurs des légumes, ne les oublions pas !
RépondreSupprimer:-))
Excellent !
RépondreSupprimerIl suffit parfois de regarder autour de soi pour découvrir des choses qui sont naturellement drôles !
Même pas besoin de carricaturer…
:-))
Didier, une confidence : j'aime bien les scorpions morts...
RépondreSupprimerMère Castor, dans les feuilles mortes des marronniers se trouvent d'adorables bestioles (la mineuse) qui colonisent l'arbre dès le printemps et dessoudent le feuillage: l'automne arrive alors en juillet... Je brûle donc impitoyablement toute feuille morte !
Si vous voulez une photo de la vièrge morte, j'ai une photo.
RépondreSupprimerC'est pas son fils qu'est mort ?
RépondreSupprimerJ'ai quelques photos de légumes morts aussi mais je dois bien avouer que c'est moins spectaculaire...
RépondreSupprimerIls sont morts de quoi ?
RépondreSupprimerBen de grippe mexicaine ! C'est très en vogue pour l'instant. C'est vachement plus classe que de mourir d'un cancer par exemple... ou du sida. Le sida du légume c'est très surfait de nos jours !
RépondreSupprimerT'as qu'à les manger en potée, avec du cochon.
RépondreSupprimerMademoiselle Ciguë : encore que le sang de navets soit assez visuellement réussi !
RépondreSupprimer:-)
Didier, nous, on serait plutôt du genre à mourir de listériose après ingestion de vacherin fermier au lait cru etc... Très classe aussi ! Sinon, pour rester zoophile, le "sodoku" est pas mal non plus..
RépondreSupprimerLe rat considéré comme une espèce en péril ce n'est sans doute pas pour tout de suite, mais en revanche, il paraît que la survie des moineaux de Paris (ceux de Londres aussi d'ailleurs), pose problème. La rénovation des quartiers, entre autres, le priverait de vieux murs pour nicher à son aise…
RépondreSupprimerA Marseille, le quota murin est de 7 pour un humain...
RépondreSupprimer@Monsieur Poireau
RépondreSupprimerne pas oublier qu'un animal a un système nerveux. Oui je sais je suis pas drôle.
Pour Le Coucou qui s'intéresse à la survie des moineaux..
RépondreSupprimerLes moineaux des vieux toits pépient à ma fenêtre,
Ils me regardent dîner, sans faim, à la carte :
Des âmes d'amis morts les habitent peut-être ?
Jules Laforgue (Complainte d'un certain dimanche)
Réincarné en rat mort, y'a mieux !
RépondreSupprimerIl y a trois jours, M. Yanka a sauvé de la gueule d'une de nos chattes un geai bleu, et le lendemain mon sapristi de chat belge a ramené dans la maison une grenouille que j'ai pu sauver aussi. Je n'arrête pas. Il m'arrive de mettre à l'abri des convoitises de gueule félines des hannetons, des bourdons et toutes les bestioles du monde. Il y a deux ans, c'est une couleuvre que j'ai arrachée des pattes du susdit chat belge (tandis que Mme Y., courageuse comme la squaw qu'elle est pourtant, s'était réfugiée au plus profond de la maison). Je n'arrête pas, vous dis-je. Là où ça coince, c'est que je ne suis pas sûr d'être aussi bon envers la bête à deux pattes qui a nom : humain. J'en laisserais bien quelques-uns se démerder dans la gueule d'un alligator. Léautaud et moi, nous eussions fait bon ménage (bonne ménagerie aussi, sans aucun doute).
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