J'attends vos "Eloge de la pute" et "Eloge de la poufiasse" avec énormément d'impatience, et je ne blague pas ! Allez, je vous l'avoue : ce que j'aime chez vous, c'est que vous me faites penser à ce que j'aime dans la France littéraire et journalistique de l'entre-deux-guerres. Cette expression "brut de décoffrage", ce goût des troquets, bars et cafés, cet amour primal du sexe féminin, cette franchise sans complexe concernant vos opinions politiques, c'est un peu de Céline, Simenon et consorts qui survivent par vous. Voilà, du coup, je trinque (à la Hoeggarden) à votre santé avec ma comtesse (au Coca (elles sont prudes, ces aristos!)) à votre santé !
Pascal : je ne vaux pas les compliments dont vous m'abreuvez ! Néanmoins, si l'entre-deux-guerres vous intéresse, faites-moi le plaisir de lire Rue des maléfices de Jacques Yonnet (pas cher) : vous m'en direz des nouvelles...
J'ai beaucoup aimé "Rue des maléfices", grâce à vous cher Didier !! Quant au billet du jour, "décapfour" est un excellent produit quoique un tantinet agressif pour les muqueuses...
@ Pluton, Mais il existe aussi décapfour sans "soude caustique", réserve faite pour les "fours intimes"
@ Pascal Labeuche, Suite à un vilain trou de mémoire, je n'arrivais plus à remettre dans l'ordre l'expression "brut de décoffrage"... merci pour l'aide apportée (lol) cher Aide-mémoire. Perso, j'attends aussi l'éloge à la pouffe, sans rire c'est évident
Hé ben...
RépondreSupprimerHé ben...
RépondreSupprimerHé ben...
RépondreSupprimerje me demande finalement si je poursuis les recherches pour un billet expliquant ce qu'est un macho.
RépondreSupprimerPas du tout. Didier parlait d'un travelo.
RépondreSupprimerAu moins, cher Didier, votre défunt billet sur les pouffes était moins laconique...
RépondreSupprimerLes putes vous inspireraient-elles moins ?
Même si ça n'a rien à voir, Didier, c'est qui Juanito ?
RépondreSupprimerC'est bizarre d'associer four et pute, je me demande à quoi vous pensiez…
RépondreSupprimer:-))
Olympe : on est au-delà du macho, là...
RépondreSupprimerPascal : personne n'a plus fréquenté les putes que moi ! Je songe d'ailleurs à un Éloge de la pute...
Monsieur Poireau : une amie portugaise, un jour, voulant parler de son for intérieur a finalement évoqué son four intime : on a bien ri.
RépondreSupprimerJ'attends vos "Eloge de la pute" et "Eloge de la poufiasse" avec énormément d'impatience, et je ne blague pas !
RépondreSupprimerAllez, je vous l'avoue : ce que j'aime chez vous, c'est que vous me faites penser à ce que j'aime dans la France littéraire et journalistique de l'entre-deux-guerres.
Cette expression "brut de décoffrage", ce goût des troquets, bars et cafés, cet amour primal du sexe féminin, cette franchise sans complexe concernant vos opinions politiques, c'est un peu de Céline, Simenon et consorts qui survivent par vous.
Voilà, du coup, je trinque (à la Hoeggarden) à votre santé avec ma comtesse (au Coca (elles sont prudes, ces aristos!)) à votre santé !
Pascal : je ne vaux pas les compliments dont vous m'abreuvez ! Néanmoins, si l'entre-deux-guerres vous intéresse, faites-moi le plaisir de lire Rue des maléfices de Jacques Yonnet (pas cher) : vous m'en direz des nouvelles...
RépondreSupprimerL'évocation du four pourrait prêter à confusion...
RépondreSupprimerJe vais suivre votre conseil.
RépondreSupprimerEt je suis fasciné par la France de l'Entre-deux-Guerres.
Ça me rappelle la pub à la télé pour Jex Four par Alice Sapritch.
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé "Rue des maléfices", grâce à vous cher Didier !!
RépondreSupprimerQuant au billet du jour, "décapfour" est un excellent produit quoique un tantinet agressif pour les muqueuses...
@ Pluton,
RépondreSupprimerMais il existe aussi décapfour sans "soude caustique", réserve faite pour les "fours intimes"
@ Pascal Labeuche,
Suite à un vilain trou de mémoire, je n'arrivais plus à remettre dans l'ordre l'expression "brut de décoffrage"... merci pour l'aide apportée (lol) cher Aide-mémoire.
Perso, j'attends aussi l'éloge à la pouffe, sans rire c'est évident