Phénomène étrange : depuis ce matin, je ne peux pas mettre un pied dans la rue sans qu'un Arabe ne fonde sur moi pour me demander un renseignement. Le premier voulait savoir si la boîte aux lettres qui se trouvait à côté de nous, rue Baudin, était “pour la France”. J'ai cru pouvoir lui répondre que oui et, après avoir vérifié les adresses sur ses deux enveloppes, lui ai même indiqué dans laquelle des deux fentes il devait les glisser. Le second, alors que je fumais au bas de l'immeuble, avait rendez-vous avec le Dr Guéritou, rue Clément-Bayard. Le plus étonnant est que, venant à moi, il sortait précisément de ladite rue Bayard. Je l'ai donc renvoyé dans l'autre sens. Pour l'instant, j'ai donc eu 20/20. Mais je sais bien qu'ils arriveront à me piéger tôt ou tard. Avec une question vachement difficile. Ou alors, ils ont flairé le raciste viscéral et ils cherchent la rebuffade humiliante... C'est un peu perturbant...
Sinon, ça va. Hier, ayant un peu bu à midi, j'ai jugé plus sage de ne pas reprendre ma voiture. J'ai donc décidé d'aller prendre une bière à La Comète. L'endroit était désert, à ma survenue (comprenez que, en dehors du personnel, il n'y avait aucune tête connue de moi). J'en étais à me demander si j'étais bien à la bonne Comète, lorsque Mohammed est arrivé, ce petit con que ma femme trouve séduisant, avec un enfant dans une poussette, dont j'ai supposé que c'était les siens (le môme et la poussette). Puis, tout est rentré dans l'ordre, avec l'arrivée de Tonnégrande (d'abord) et de Nicolas (ensuite).
Quelques bières plus loin, j'ai quitté ces deux valeureux guerriers pour aller me nourrir dans mon restaurant vietnamien favori, avenue d'Ivry, après avoir tenté d'entraîner Nicolas à la République des blogs : l'a pas voulu viendre. J'y suis donc allé seul. Sur place, j'ai retrouvé Dagrouik, François Miclo (de Causeur), Marie-Laure Hypos, Jacques Rosselin et Maud Etienne (de Vendredi), d'autres encore, mais j'ai oublié qui.
À la fin, je suis rentré à Levallois. À un moment, un homme que je ne connaissais pas, assis au volant d'une voiture qui n'était pas la mienne, m'a réveillé pour me dire : « Monsieur, vous êtes arrivé... » Et c'était vrai ; je suis donc monté me coucher. Ce matin, Brice, mon chef bien-aimé, a salué mon arrivée au bureau du traditionnel « Salut ! Ça va ? ». Je lui ai répondu ceci : « Je ne sais pas encore, je te dirai ça quand j'aurai fini de dessaouler. »
C'est dire.
Sinon, ça va. Hier, ayant un peu bu à midi, j'ai jugé plus sage de ne pas reprendre ma voiture. J'ai donc décidé d'aller prendre une bière à La Comète. L'endroit était désert, à ma survenue (comprenez que, en dehors du personnel, il n'y avait aucune tête connue de moi). J'en étais à me demander si j'étais bien à la bonne Comète, lorsque Mohammed est arrivé, ce petit con que ma femme trouve séduisant, avec un enfant dans une poussette, dont j'ai supposé que c'était les siens (le môme et la poussette). Puis, tout est rentré dans l'ordre, avec l'arrivée de Tonnégrande (d'abord) et de Nicolas (ensuite).
Quelques bières plus loin, j'ai quitté ces deux valeureux guerriers pour aller me nourrir dans mon restaurant vietnamien favori, avenue d'Ivry, après avoir tenté d'entraîner Nicolas à la République des blogs : l'a pas voulu viendre. J'y suis donc allé seul. Sur place, j'ai retrouvé Dagrouik, François Miclo (de Causeur), Marie-Laure Hypos, Jacques Rosselin et Maud Etienne (de Vendredi), d'autres encore, mais j'ai oublié qui.
À la fin, je suis rentré à Levallois. À un moment, un homme que je ne connaissais pas, assis au volant d'une voiture qui n'était pas la mienne, m'a réveillé pour me dire : « Monsieur, vous êtes arrivé... » Et c'était vrai ; je suis donc monté me coucher. Ce matin, Brice, mon chef bien-aimé, a salué mon arrivée au bureau du traditionnel « Salut ! Ça va ? ». Je lui ai répondu ceci : « Je ne sais pas encore, je te dirai ça quand j'aurai fini de dessaouler. »
C'est dire.
... Qu'as-tu fait, Didier, du foie de ton baptême ?
RépondreSupprimerVous n'avez pas parlé de l'escalier! Monté sans encombre donc...ouf pour les genoux !
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerJe vous rappelle que vous n'aviez pas fini votre dernière bière à La Comète (on l'a gardée au frais) parce que vous n'aviez plus du tout soif.
Ah ! Et je suis inquiet : on n'a pas retrouvé votre bouquin à la Comète, cette fois.
RépondreSupprimerSuzanne : un foie ? Désolé, la maison n'a plus ça en stock ;depuis un bon moment.
RépondreSupprimerPluton : avec une courte pause au quatrième, ç'a été.
Nicolas : ça ne prouve pas que je n'avais plus soif, mais seulement que je sais être raisonnable.
Même à la République des blogs, j'ai réussi à ne pas l'oublier, ce putain de bouquin !
Hop ! Voilà le compte rendu officiel de la RdB.
RépondreSupprimerQuelle vie trépidante il a, notre Verlaine ardennais !
RépondreSupprimerYgor : Trépidante ? Trépidante ? Bof... non : un petit peu pidante, sans plus. Et juste hier...
RépondreSupprimerNous nous sommes salués et avons discuté un moment, mais enfin...
RépondreSupprimerMathieu : ah, vous, je me souviens ! j'ai même dit, hier soir, à Catherine, que vous y étiez, elle peut témoigner !
RépondreSupprimerJe confirme. Didier se souvenait vous avoir rencontrer.
RépondreSupprimerAh !
RépondreSupprimerDamned, je suis évoqué chez les Goux. Enfin, je suis un blogueur influent.
RépondreSupprimerSmiley, smiley !
M. ou Mme Toma ne sait faire qu'une phrase. Elle est sur tous les blogs ! Tu parles d'une auto-pub !
RépondreSupprimerC'est un spam !
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