Question posée par Olympe, en commentaire d'un précédent billet :
«la question que vous pourriez vous poser est celle de savoir dans quelle mesure vous vous comportez en macho dans votre vie quotidienne »
Bonne question, sans doute. Dans un premier temps, j'ai botté en touche, répondant que, à mon avis, c'était plutôt à la femme partageant mon existence de répondre à cette question.
Tout à l'heure, sirotant une bière, l'Irremplaçable et moi en avons reparlé. En effet, dans quelle mesure, me comporté-je comme un "macho" ? Ni elle ni moi n'avons trouvé de répnse satisfaisante. Catherine m'a dit quelque chose comme : « Qu'est-ce qu'elle entend exactement par “macho” ? »
C'est vrai : qu'entend-elle, Olympe, exactement par là ? Tout homme est-il le même “macho” que son voisin ? Vider le lave-vaisselle suffit-il à m'exonérer ? Ou passer l'aspirateur ? Ou les deux ? Difficile, non ? Et puis, chère Olympe, imaginons que je vive avec une femme qui, après avoir élevé trois enfants, aurait envie de NE PLUS RIEN FOUTRE ? De passer le reste de sa vie dans l'enclos de sa maison ? Et même (soyons fous), imaginons que son macho de mari soit encore obligé d'aller gagner l'argent minimum du ménage, mais qui, si on le lui demandait, serait ravi de ne plus quitter le petit enclos de sa maison ?
Vous en concluriez quoi ? Sur votre blog, vous vous présentez comme une "cadre supérieur" ayant je ne sais plus combien d'enfants. Parfait. Moi, j'ai zéro enfant, et m'en flatte. Ma femme en a trois ; grâce au ciel, adultes. On ne s'intéresse que l'un à l'autre, arrivés à nos âges. Selon quels critères dois-je déterminer si je suis "macho" ou non ? Votre réponse m'intéresse.
Carburant : bière Goudale.
Environnement sonore : Nat King Cole.
«la question que vous pourriez vous poser est celle de savoir dans quelle mesure vous vous comportez en macho dans votre vie quotidienne »
Bonne question, sans doute. Dans un premier temps, j'ai botté en touche, répondant que, à mon avis, c'était plutôt à la femme partageant mon existence de répondre à cette question.
Tout à l'heure, sirotant une bière, l'Irremplaçable et moi en avons reparlé. En effet, dans quelle mesure, me comporté-je comme un "macho" ? Ni elle ni moi n'avons trouvé de répnse satisfaisante. Catherine m'a dit quelque chose comme : « Qu'est-ce qu'elle entend exactement par “macho” ? »
C'est vrai : qu'entend-elle, Olympe, exactement par là ? Tout homme est-il le même “macho” que son voisin ? Vider le lave-vaisselle suffit-il à m'exonérer ? Ou passer l'aspirateur ? Ou les deux ? Difficile, non ? Et puis, chère Olympe, imaginons que je vive avec une femme qui, après avoir élevé trois enfants, aurait envie de NE PLUS RIEN FOUTRE ? De passer le reste de sa vie dans l'enclos de sa maison ? Et même (soyons fous), imaginons que son macho de mari soit encore obligé d'aller gagner l'argent minimum du ménage, mais qui, si on le lui demandait, serait ravi de ne plus quitter le petit enclos de sa maison ?
Vous en concluriez quoi ? Sur votre blog, vous vous présentez comme une "cadre supérieur" ayant je ne sais plus combien d'enfants. Parfait. Moi, j'ai zéro enfant, et m'en flatte. Ma femme en a trois ; grâce au ciel, adultes. On ne s'intéresse que l'un à l'autre, arrivés à nos âges. Selon quels critères dois-je déterminer si je suis "macho" ou non ? Votre réponse m'intéresse.
Carburant : bière Goudale.
Environnement sonore : Nat King Cole.
Un petit tuyau, cher Didier, pour vous qui, comme moi, appréciez la bière.
RépondreSupprimerA Lidl (et oui!) vous avez vendue par pack de six bouteilles de 50 cl une bière allemande fameuse et à un prix imbattable (j'ai oublié son nom mais vous ne pourrez pas vous tromper, il n'y a pas de choix) !
Qu'est-ce que vous vous emmerdez à répondre aux gonzesses ? V'z'etes bourré ?
RépondreSupprimerPascal Labeuche dit vrai au sujet de la bière Lidl.
RépondreSupprimerPascal : salaud de pauvre !
RépondreSupprimerNicolas : Je persiste à bien aimer les gonzesses...
Potiron : ne répondez jamais à M. Labeuche, c'est une espèce de lecteur de Renaud Camus : rien de pire...
Ah ! Un amiral qui m'approuve !
RépondreSupprimercomme je sens que chacun de mes mots sera pesé et soupesé, je vais prendre un peu de temps avant de vous faire réponse
RépondreSupprimervotre titre est une erreur ! j'ai jamais vu pire piège à gonzesse qu'un landau ou une poussette ! même les chiens à côté c'est du pipi de chat !
RépondreSupprimersmiley tout ça
Olympe : vos mots ne seront pas "pesés". Mais enfin, je suis fatigué, je vais me coucher, à demain...
RépondreSupprimerLes lecteurs de Renaud Camus sont décidément partout.
RépondreSupprimerAmiral : Partout ? Apparemment pas dans les librairies...
RépondreSupprimerBonne nuit "cher" Pascal et s'il vous manque un Camus, n'hésitez pas, sans être libraire, etc.
RépondreSupprimerPascaliste : "Cher"...tiens tiens tiens...Et bien approvisionnée (ou approvisionné) en plus... Le "Journal Romain", parfois, non ?...
RépondreSupprimerJe vous souhaite une douce nuit...
Pas facile de répondre à la question de Catherine "C'est quoi, un macho, au juste ?"
RépondreSupprimerIl me semble que la liberté consiste justement à pouvoir être différent, et que la tolérance permet d'accepter ces différences.
Mais aujourd'hui on est plutôt en présence de la pensée unique.
La réponse de Flèche me convient parfaitement....
RépondreSupprimerUne pensée unique... grrrrr...
c'est carrément faire abstraction de sa propre personnalité...
Je n'aime pas trop la bière, sinon je trinquerais avec vous messieurs..
Et puis, je vais rester dans mon coin à regarder passer les coms...
Comme disait un ami de mon père, à son premier petit verre de calva le matin
"Cales-toi bien dans un coin, tu vas regarder passer les autres"...
Salutate
... je me demande si "des fois" être "simplement" hétérosexuel.. ça fait d'un homme un macho.. mais si mais si...
RépondreSupprimerGeargies
Alors, pour la bière, Didier, voici la marque : "Perlenbacher".
RépondreSupprimerQuel ne fut pas mon effroi, à l'instant, au Lidl de mon village, lorsque, la bave aux lèvres devant le rayon "bières", je m'aperçus que le conditionnement (provisoirement je l'espère) de ce nectar avait changé. Bouteilles de 25 cl ! Arghh! Les "50" étaient plus alléchantes, tant pis, le contenu est le même.
Enfin bref, tout le monde s'en fout.
Ah, tiens, au fait, personne n'aurait de nouvelles de mon admiratrice (ou admirateur) ?
Didier : vous êtes un macho très théorique. Loin de moi l'idée de vous défendre (ou de vous casser votre plan rappeur les dents en or), mais vous êtes hyper-courtois, top-prévenant, limite over-poli. Un rapace en chocolat. Ou alors vous vous êtes retenu très fort très fort.
RépondreSupprimerOn rigole on rigole avec le machisme, mais des machos bas du front j'en côtoie, parfois, et, avec leurs blagues minables et leur gags desséchés, ce sont aussi des conards exaspérants avec qui on aurait pas idée de faire... des blagues macho.
Pascal : la Schoënenberger-truc, aussi chez Lidl, emballage vert-morgue un peu mou, sans compter la Valstar, qui m'a valu un pseudonyme par ailleurs.
J'ai lu mais je n'ai pas envie de participer à ce débat.
RépondreSupprimerJe pense qu'on est toujours le macho de quelqu'une et un brave gars pour l'autre. Y'a pas de définition officielle, l'Académie vien à peine de terminer la lettre G…
:-))
Tiens tout à l'heure dans la rue j'ai croisé un couple. La femme strictement voilée, en bonne musulmane. Le mari pousse le landau... en bon mari !
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