Et penser que, pendant ce temps, la sandwicherie-kebab biiiiip ! et le resto du coeur biiiiip ! biiiiip ! ainsi que le fast food biiiiip ! biiiiip ! biiiiip ! vont continuer de nous refourguer leur pâtée indigeste, ça me donne envie de me mettre à la picole dès le matin ! Et qui, maintenant, va venir ici tartiner des 12 feuillets simple interligne, pour me démontrer que je suis un gros con ? Hein ? Pouvez me le dire, ça ?
je suis sûre que ce sacripant lit par derrière les épitaphes flatteuses et qu'il en jouit honteusement.
RépondreSupprimerEn tout cas, c'est ce que je ferais à sa place !
RépondreSupprimerSont fourbes et dissimulateurs, ces Ritaux...
Et imprévisibles, aussi.
RépondreSupprimerfinalement....
On ne peut pas empecher les ritaux de faire
RépondreSupprimermais pizza me fait quelque chose quand même, Nicolas nous dit qu'il respire encore, ouf :)
Mais oui, évidemment : sont t'increvables, ces gars-là...
RépondreSupprimerNicolas parlait de lancer une pétoche demandant la réouverture, mais je ne sais pas où ça en est.
RépondreSupprimerUn rital, des rideaux de fer ?
RépondreSupprimerDidier,
"Et qui, maintenant, va venir ici tartiner des 12 feuillets simple interligne, pour me démontrer que je suis un gros con ?"
Franchement, vous croyez qu'il a besoin de tant d'efforts ?
Olivier,
J'ai oublié la pétoche. Je vais la faire sur twitter. Vous n'avez qu'à vous inscrire. Et en plus, Dorham a même pas twitter, on pourra dire des conneries sur son dos.
Il faut dire que Twitter est limité à 140 caractères. Alors, avec Dorham...
RépondreSupprimerTiens ! Pour les twitteux, ça se passe ici.
RépondreSupprimer"T'as tout compris, les italiens sont mes juifs"
RépondreSupprimerEpitaphe
Il était (rip ?) italien ?
RépondreSupprimer"il était gai comme un italien quand il sait qu'il aurait de l'amour et du vin..."
C'est la radio qui croisille, c'est pas moi.
Tout le monde bosse ? Chiant. aucun avis sur mon dernier billet.
J'ai pas de compte, je peux même pas signer, pff !
RépondreSupprimerTiens, on parle de twitter, ça tombe bien, je venais pour ça.
RépondreSupprimerUne P.A. sur mesure pour vous, Didier : écrire des blogs de filles .
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RépondreSupprimerN'aurait-il pas droit, lui... ce rital comme vous dites, à un minimum de vie privée et de liberté comme tout le monde... un minimum de décompression après un "ras le bol".*
RépondreSupprimerDésolée mais ceux qui, pour moi, n'ont pas de "ras le bol" c'est qu'ils ont la bouche pleine...
Aujourd'hui, nous sommes tous des Dorham, par la pensée à tout le moins, parce que pour le talent c'est une autre paire de manche.
RépondreSupprimerAlors, du fond des ténèbres de la toile qui nous enserre tous les jours un peu plus dans ses liens inextricables, lançons ce cri d'espoir: "ICH BIN EIN DORHAMER"!
On peut imaginer en fond sonore, allegro ma non tropo, un choeur polyphonique corse, chantant "Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine".
Mouvement de solidarité lancé par blogbuzzer : on ferme les blogs jusqu'à ce que Dorham rouvre le sien.On peut en apprendre plus ici : http://www.blogbuzzer.com/
RépondreSupprimerManu
Jouissance totale :)))
RépondreSupprimerDidier...
Mais je n'en pense pas moins ! Vous resterez le seul réactionnaire de mon existence, je vous assure. Les autres me donnent des envies d'envois de rangers dans les dents. Vous êtes ma faiblesse en quelque sorte. Cela ne pouvait plus durer, Brandon !
oh lala... même Manutara est raide bourré le soir.
RépondreSupprimerDorham ! Faux-jeton !
RépondreSupprimerDorham : vous avez bien raison, il ne faut pas abuser des drogues dures, ça finirait par détruire. C'est comme moi avec les Ma Dalton humanitaro-sanglotantes : faut que j'arrête avant d'être accro.
RépondreSupprimerSuzanne : c'est son côté Riton...
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimertoi-même !
Voilà une bien triste nouvelle !
RépondreSupprimerDans l'indigence de la Pensée Française actuelle il occupait une place de choix. Sa réflexion, souvent éclairante, empruntait aux grands textes structurants de l'humanité. Exégète infatigable des Saintes Ecritures, il m'a éclairé sur le sens. Ici, il commentait. Son combat contre le racisme ordinaire s'est logé jusque chez lui, en famille. Nous regretterons son style et la douzaine de ses disciples. C'était le seul mec ayant un emploi, une famille, des enfants qui continuait à perdre son temps sur les blogs. Boule gratuite. Il va remettre cinq balles dans le bastringue. Pleurez pas devant le rideau ! Mtislav astique déjà son violoncelle.