Tout à l'heure, allant boire un café (version pour l'Irremplaçable) ou un quart de sauvignon (version tout public), en lisant Philippe Jullian (voir le billet précédent), à L'Ambiance d'à côté, je me retrouve à la table voisine d'une jeune femme, au cou Modigliani mais à la chair Rubens. Elle porte une jupe plissée rouge, sa coiffure est d'un temps révolu, la carnation de son visage aussi ; elle lit Totem et Tabou de Freud. Elle sort au bout de dix minutes, sans que nous ayons échangé un regard.
Un hippopotame à cou de girafe ?
RépondreSupprimerLes deux p, je ne sais pas.
RépondreSupprimerSo what?
RépondreSupprimerFranssoit : un sans faute.
RépondreSupprimerOrage : so ouate (thermogène)...
Elle aurait eu un corps Botero avec une tête Picasso et elle aurait été en train de lire la colonie pénitentiaire de Kafka, à votre place j'aurais carrément changé de café.
RépondreSupprimerVous l'avez échappé belle !
Nefisa, t'arrête de te moquer des émotions de ton tonton, sinon tu prends une mandale !
RépondreSupprimerVous avez déja terminé Matzneff?
RépondreSupprimerVous avez vécu "les Passantes", ce n'est pas donné à tout le monde...
RépondreSupprimerMais si, justement : c'est donné à tout le monde !
RépondreSupprimerNe soyez pas si humble!
RépondreSupprimerEt alors ? Vous ne vous mouillez pas beaucoup !
RépondreSupprimerJ'aime bien ces captures d'instants.
RépondreSupprimerZoridae : et alors ? Je suis censé me "mouiller" ?
RépondreSupprimerSuzanne : "capture d'instants" : juste...
C'était pas au Bar des Sports, ça...
RépondreSupprimerJe ne comprends pas pourquoi mon patronyme n'apparait pas...
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